J’ai participé ce mercredi à un débat sur Europe 1 consacré aux relations que nos ados entretiennent avec Facebook et la télé-réalité. A réécouter sur http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emissions/Europe-1-Midi/Sons/Europe-1-midi-Facebook-Nabilla-Les-parents-comprennent-ils-encore-l-univers-de-leurs-ados-31-07-13-1598719/
Quand le réchauffement climatique échauffe les esprits
Pour lutter contre les conséquences des gaz à effet de serre, certains scientifiques proposent de manipuler la nature.

Les portraits des Buffon (le naturaliste), Lagrange (astronome), Lavoisier (chimiste) et autres savants qui ornent la Grande Salle des Séances de l’Institut de France, quai de Conti, à Paris, en semblaient tout retournés. Les membres de l’Académie des sciences se réunissent là tous les mardis. Or, la semaine dernière ces Messieurs ont débattu des meilleures façons de bousculer Dame Nature pour lutter contre le réchauffement de la Terre. Au menu de cette conférence-débat sur «l’ingénierie climatique planétaire» ou «géo-ingénierie», des projets a priori un peu farfelus : injection d’aérosols dans la stratosphère pour renvoyer une partie du rayonnement solaire et donc diminuer la température ; ajout de fer dans l’océan pour stimuler les phytoplanctons et du coup augmenter les quantités de carbone qu’ils fixent ; transformation des forêts en bio-char, du charbon de bois qui va emprisonner le carbone dans les sols, tout en les amendant ; etc.
Pour lire l’article que j’ai publié ce matin dans Les Echos sur la géo-ingénierie ou l’ingénierie climatique planétaire cliquez ici.

Le décor de la Grand salle des séances de l’Institut de France, où s’est tenue, mardi dernier 25 juin 2013, la conférence-débat que l’Académie des Sciences a consacrée à l’ingénierie climatique planétaire comprend :
- des statues de plein pied : ce sont celles de Nicolas Poussin, Jean de la Fontaine, Molière ((Jean-Baptiste Poquelin), Pierre Corneille et Jean Racine ;
- des bustes de scientifiques : Jussieu (Antoine de), Cauchy (le baron Augustin), Lagrange (comte Joseph-Louis de); Gaspard Monge…
- des portraits en médaillons : Jean Le Rond d’Alembert (astronome…), Antoine Lavoisier, Joseph-Louis de Lagrange, Georges-Louis Leclerc, comte de BUFFON, Coulomb (Charles-Augustin), mais aussi de Rousseau, Voltaire, Fénelon, David, Boileau…
- sans compter les noms écrits en lettres dorées comme celui d’Alexis Claude Clairaut (mathématicien)…
(source : Délégation à l’Information Scientifique et à la Communication – Académie des sciences)
Des capteurs à l’écoute des villes

La baisse des prix des détecteurs et des télécommunications permet d’améliorer les services en faisant remonter des informations des transports, des poubelles ou des lampadaires.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/debat/0202829791351-comment-les-capteurs-vont-changer-la-ville-576567.php
Des capteurs à l'écoute des villes

La baisse des prix des détecteurs et des télécommunications permet d’améliorer les services en faisant remonter des informations des transports, des poubelles ou des lampadaires.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/debat/0202829791351-comment-les-capteurs-vont-changer-la-ville-576567.php
Cette semaine, France Culture, France Info et France 5 m’ont invité pour parler du programme américain de surveillance électronique
• Mardi 11 juin, j’ai été l’invité du journal de 18H de Tara Schlegel, pour parler du scandale Prism, le système d’espionnage américain, révélé par Edward Snowden ; vous pouvez réécouter mon intervention en suivant ce lien :
• Jeudi 13 juin, je suis intervenu pendant Les Choix de France Info, l’émission de Jean Leymarie, pour parler de nos «Données personnelles : quelles traces laissons-nous ?», à réécouter sur :
• Enfin, toujours, jeudi, j’étais sur le plateau de C Dans l’air, dont le thème était «Qui espionne qui ?»
http://www.france5.fr/c-dans-l-air/international/qui-espionne-qui-39118
Cette semaine, France Culture, France Info et France 5 m'ont invité pour parler du programme américain de surveillance électronique
• Mardi 11 juin, j’ai été l’invité du journal de 18H de Tara Schlegel, pour parler du scandale Prism, le système d’espionnage américain, révélé par Edward Snowden ; vous pouvez réécouter mon intervention en suivant ce lien :
• Jeudi 13 juin, je suis intervenu pendant Les Choix de France Info, l’émission de Jean Leymarie, pour parler de nos «Données personnelles : quelles traces laissons-nous ?», à réécouter sur :
• Enfin, toujours, jeudi, j’étais sur le plateau de C Dans l’air, dont le thème était «Qui espionne qui ?»
http://www.france5.fr/c-dans-l-air/international/qui-espionne-qui-39118
Espionnage américain : les données qu’Apple, Facebook ou Google possèdent sur nous sont extrêmement indiscrètes
The Guardian et The Washington Post ont révélé que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques, pouvait avoir directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier.
Pour se rendre compte à quel point les données archivées par ces géants de l’Internet révèlent tout de nous, y compris notre intimité, il suffit de créer une publicité sur Facebook.
Voici déjà plusieurs mois que j’ai constaté que Facebook permettait aux annonceurs de cibler des publicités en fonction de nos centres d’intérêt supposés pour certaines pratiques sexuelles ou certaines drogues illicites (lire l’épisode 1 : Les publicités Facebook ciblent nos préférences sexuelles ! ; l’épisode 2 avec l’avis de la CNIL et de son homologue irlandais ; l’épisode 3, avec la réponse officielle, mais décevante, de Facebook, ainsi qu’une interview de Benoit Dupont, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sécurité, identité et technologie de l’Université de Montréal ; l’épisode 4 avec l’ultimatum que la CNIL irlandaise avait lancé à Facebook ; l’épisode 5 pour apprendre comment Facebook nous range dans telle ou telle catégorie pour nous afficher des publicités ciblées).
La saisie d’écran ci-dessous, réalisée ce matin même, prouve qu’il est toujours possible de concevoir une publicité sur Facebook ciblant les internautes en fonction de données sensibles.
Espionnage américain : les données qu'Apple, Facebook ou Google possèdent sur nous sont extrêmement indiscrètes
The Guardian et The Washington Post ont révélé que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques, pouvait avoir directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier.
Pour se rendre compte à quel point les données archivées par ces géants de l’Internet révèlent tout de nous, y compris notre intimité, il suffit de créer une publicité sur Facebook.
Voici déjà plusieurs mois que j’ai constaté que Facebook permettait aux annonceurs de cibler des publicités en fonction de nos centres d’intérêt supposés pour certaines pratiques sexuelles ou certaines drogues illicites (lire l’épisode 1 : Les publicités Facebook ciblent nos préférences sexuelles ! ; l’épisode 2 avec l’avis de la CNIL et de son homologue irlandais ; l’épisode 3, avec la réponse officielle, mais décevante, de Facebook, ainsi qu’une interview de Benoit Dupont, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sécurité, identité et technologie de l’Université de Montréal ; l’épisode 4 avec l’ultimatum que la CNIL irlandaise avait lancé à Facebook ; l’épisode 5 pour apprendre comment Facebook nous range dans telle ou telle catégorie pour nous afficher des publicités ciblées).
La saisie d’écran ci-dessous, réalisée ce matin même, prouve qu’il est toujours possible de concevoir une publicité sur Facebook ciblant les internautes en fonction de données sensibles.