« Les fake news aident à simplifier et ordonner le réel »

À lire également sur le sujet des Fake News, l’interview que j’ai réalisée, toujours pour Les Échos, de Patrick Chastenet, professeur de science politique au Centre Montesquieu de Recherche Politique de Bordeaux et qui a dirigé l’ouvrage collectif « La propagande » (Cahiers Jacques-Ellul n°4, L’Esprit du Temps/PUF) 

« Les fake news aident à simplifier et ordonner le réel »

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À Crosne, le 30 novembre prochain, pour parler de « Télévision, smartphone, jeux vidéo… : quelle place pour les écrans dans nos familles ? »

Je serai à Crosne (91560), jeudi 30 novembre 2017, en début de soirée, pour une conférence de deux heures environ sur le thème « Télévision, smartphone, jeux vidéo… : quelle place pour les écrans dans nos familles ? ».

À l’invitation de la FCPE Crosne.

Centre de loisirs Le Petit Prince, Rue de Schotten, Crosne

A Besançon (Doubs), les 7 et 8 décembre prochains, pour intervenir devant collégiens, lycéens et parents sur le bon usage des nouvelles technologies

Les 7 et 8 décembre 2017, je serai à Besançon (Doubs), à l’invitation de la direction d’un ensemble scolaire pour  :

• intervenir en deux fois devant tous les élèves de sixième de cet établissement, sur le thème du bon usage des nouvelles technologies ;

•  donner deux conférences aux lycéens de seconde sur les nouvelles technologies ;

• parler le jeudi soir aux parents d’élèves sur le thème : « Aider nos enfants à faire bon usage des nouvelles technologies et des réseaux sociaux ».

« Fake news » : il y a urgence !

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur les recherches en cours un peu partout dans le monde sur de nouvelles façons de lutter contre les fake news.

En 2022, la désinformation pourrait avoir supplanté l’information sur Internet. Aucune solution miracle n’a encore vu le jour pour éradiquer les « fake news », mais universitaires, associations et réseaux sociaux explorent toutes les voies. Parmi les solutions envisagées : repérer automatiquement les informations douteuses, contraindre les réseaux sociaux à faire le ménage, ou frapper les sites qui publient des fausses nouvelles au portefeuille, en poussant les annonceurs à les boycotter.

Pour lire l’intégralité de cet article : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/030766385737-quelles-pistes-contre-les-fake-news-2124450.php 

Jeudi 19 octobre 2017, à Longevilles-Mont-d’Or (25370), pour parler de « Nos enfants et les nouvelles technologies : comment les aider à en faire bon usage »

Le jeudi 19 octobre 2017, je serai à Longevilles-Mont-d’Or (25370), de 20H à 22H30 environ, pour intervenir devant des parents, sur le thème « Nos enfants et les nouvelles technologies : comment les aider à en faire bon usage » :

• temps passé devant les écrans par les adultes et les enfants,

• les pièges et dangers à éviter,

• comment tirer le meilleur profit de ces outils,

• impact des écrans sur la créativité, l’esprit critique et le libre arbitre des enfants,

•  conseils pratiques permettant aux parents de mieux encadrer et faire fructifier l’activité de leurs enfants sur les écran…

À l’invitation de l’association Les P’tits Brigands, membre de Familles Rurales

20H
salle des fêtes, 25370 Longevilles-Mont-d’Or

À Niort (79) le mardi 6 février 2018 pour parler des « Écrans, une « addiction » ? »

Je serai à Niort (79), le mardi 6 février 2018, pour parler des « Écrans, une « addiction » ? », à l’invitation d’une association familiale.

Selon plusieurs psychiatres, certains jeux vidéo en ligne (les MMOG – Massively Multiplayer Online Games ; les jeux en ligne massivement multijoueur) peuvent entraîner une forme de dépendance lorsqu’ils sont pratiqués à certains moments charnières de la vie ou lorsque le joueur traverse une épreuve personnelle : adolescence, entrée à l’université, premier emploi, vie en couple, chômage, divorce…

Les autres utilisations des écrans numériques ne semblent pas entraîner de dépendance au sens psychiatrique mais sont extrêmement chronophages. D’autant que les entreprises qui sont à l’origine des réseaux sociaux et autres applications que nous utilisons sur nos tablettes ou nos smartphones font tout pour que nous y passions le maximum de temps : leur modèle économique est basé sur la distraction, la “captation” de l’attention : plus ces applications nous envoient de notifications (les petites alertes qui apparaissent sur les smartphones même lorsque ceux-ci sont en veille), plus nous allons prendre notre téléphone en main, passer du temps sur ces réseaux sociaux qui vont en profiter pour nous afficher de la publicité et gagner ainsi de l’argent. Autrement dit, ces applications sont conçues dès le départ pour nous “accrocher” et réduire ainsi un peu notre liberté.

20H30

À Ouarville (28) le mardi 14 novembre 2017pour parler d’« Internet, jeux vidéo, réseaux sociaux, smartphones… sources d' »addiction » pour nos enfants ? »

Je serai à Ouarville (28), le mardi 14 novembre 2017, en début de soirée pour parler d’« Internet, jeux vidéo, réseaux sociaux, smartphones… sources d' »addiction » pour nos enfants ? », à l’invitation d’une association familiale.

Selon plusieurs psychiatres, certains jeux vidéo en ligne (les MMOG – Massively Multiplayer Online Games ; les jeux en ligne massivement multijoueur) peuvent entraîner une forme de dépendance lorsqu’ils sont pratiqués à certains moments charnières de la vie ou lorsque le joueur traverse une épreuve personnelle : adolescence, entrée à l’université, premier emploi, vie en couple, chômage, divorce…

Les autres utilisations des écrans ne semblent pas entraîner de dépendance au sens psychiatrique mais sont extrêmement chronophages. D’autant que les entreprises qui sont à l’origine des réseaux sociaux et autres applications que nous utilisons sur nos tablettes ou nos smartphones font tout pour que nous y passions le maximum de temps : leur modèle économique est basé sur la distraction, la “captation” de l’attention : plus ces applications nous envoient de notifications (les petites alertes qui apparaissent sur les smartphones même lorsque ceux-ci sont en veille), plus nous allons prendre notre téléphone en main, passer du temps sur ces réseaux sociaux qui vont en profiter pour nous afficher de la publicité et gagner ainsi de l’argent. Autrement dit, ces applications sont conçues dès le départ pour nous “accrocher” et réduire ainsi un peu notre liberté.