L'histoire des lentilles de contact

Les lentilles de contact actuelles, jetables et peu coûteuses, sont apparues grâce aux progrès réalisés au niveau des matériaux et des processus industriels.

L’ophtalmologue Robert Heitz, auteur d’une somme sur l’histoire des lentilles de contact, prévient d’emblée :  » J’ai visité de nombreux fabricants de lentilles de contact. Chacun garde jalousement ses secrets. «  Sur ce marché, estimé à 3,56 milliards d’euros par an, les acteurs s’affrontent à coup d’innovations technologiques. L’américain Johnson & Johnson Vision Care contrôle 45 % des ventes de lentilles souples, Ciba Vision, (groupe suisse Novartis) 19 %, et deux autres américains, CooperVision et Bausch & Lomb, autour de 15 %. Des indépendants, dont le japonais Menicon, se partagent le solde de 5 %. Les entreprises et les quelque 125 millions de personnes qui portent aujourd’hui des lentilles dans le monde le doivent à Adolf Eugen Fick. Vous pouvez lire la suite de cet article sur le site des Echos, quotidien qui a publié cette enquête le 22 juillet dernier sous le titre Lentilles de contact : rien que pour vos yeux.

L’histoire des lentilles de contact

Les lentilles de contact actuelles, jetables et peu coûteuses, sont apparues grâce aux progrès réalisés au niveau des matériaux et des processus industriels.

L’ophtalmologue Robert Heitz, auteur d’une somme sur l’histoire des lentilles de contact, prévient d’emblée :  » J’ai visité de nombreux fabricants de lentilles de contact. Chacun garde jalousement ses secrets. «  Sur ce marché, estimé à 3,56 milliards d’euros par an, les acteurs s’affrontent à coup d’innovations technologiques. L’américain Johnson & Johnson Vision Care contrôle 45 % des ventes de lentilles souples, Ciba Vision, (groupe suisse Novartis) 19 %, et deux autres américains, CooperVision et Bausch & Lomb, autour de 15 %. Des indépendants, dont le japonais Menicon, se partagent le solde de 5 %. Les entreprises et les quelque 125 millions de personnes qui portent aujourd’hui des lentilles dans le monde le doivent à Adolf Eugen Fick. Vous pouvez lire la suite de cet article sur le site des Echos, quotidien qui a publié cette enquête le 22 juillet dernier sous le titre Lentilles de contact : rien que pour vos yeux.

Ce que pense la Peep de mon livre Les 90 questions que tous les parents se posent – téléphone mobile, Internet, jeux vidéo…


Voici le commentaire que la Peep (Fédération des Parents d’Elèves de l’Enseignement Public) vient de publier sur son site, au sujet de mon livre Les 90 questions que tous les parents se posent – téléphone mobile, Internet, jeux vidéo…

«[Dans cet ouvrage] Jacques Henno met à la disposition de tous les parents les réflexions, les interrogations, les astuces et les réponses que les nouvelles technologies l’ont amené à creuser pour accompagner au mieux ses propres enfants […] Sans tabou, ni prosélytisme, l’auteur guide les parents dans l’univers des logiciels, des jeux vidéo et des sites Internet afin que nos enfants tirent le meilleur parti de ces fabuleux outils, Véritable guide pratique foisonnant d’adresses, de références et d’idées de démarches fort utiles, l’ouvrage ne nie pas les dangers et les limites de ces nouveaux totems adolescents, mais il permet de s’en libérer pour en faire un usage raisonné, réfléchi et constructif. […] Ouvrage à recommander surtout si vous vous sentez dépassés par la virtuosité de vos chères têtes blondes dans tous ces domaines, et parce que vous avez le droit -sinon le devoir- de les protéger d’images comme de contenus choquants et ravageurs.»

Les écolabels en quête d'une image plus claire


Le programme Energy Star impose des critères plus contraignants aux fabricants de matériels informatiques. Même si, vu le manque de notoriété des écolabels, les entreprises françaises ne ressentent pas le besoin de les afficher sur leurs produits…

Depuis le 1 juillet, les fabricants d’ordinateurs, d’imprimantes et de scanners souhaitant apposer sur leurs matériels l’écolabel Energy Star doivent respecter des critères plus stricts en termes de consommation d’électricité. Soutenant le programme Energy Star avec l’Agence américaine pour la protection de l’environnement, la Commission européenne espère que ces nouvelles contraintes, une fois appliquées à tous les équipements de bureau, permettront d’économiser 22 térawattheures d’électricité en Europe d’ici à six ans (l’équivalent de la consommation annuelle de l’Irlande).

Seul problème : la visibilité du symbole d’Energy Star parmi les quelque 300 écolabels qui, selon le site américain Ecolabelling.org, se disputent l’attention du grand public. Rien qu’en Amérique du Nord, il y en aurait 82. Et pas moins de 118 en Europe ! « Aux Etats-Unis, on voit apparaître un nouvel écolabel presque chaque semaine », sourit Scot Case, directeur général du programme nord-américain EcoLogo, très populaire au Canada. Un vrai bazar où se côtoient des labels internationaux, nationaux ou des récompenses autodécernées par les entreprises. Comme le Flybe Aircraft Ecolabel que la compagnie aérienne régionale Flybe a apposé sur ses propres avions !

Lire la suite de cette enquête sur le site du quotidien Les Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02056600154-les-ecolabels-en-quete-d-une-image-plus-claire.htm

Jacques Henno

Article paru dans Les Echos le 8 juillet 2009.

Les écolabels en quête d’une image plus claire


Le programme Energy Star impose des critères plus contraignants aux fabricants de matériels informatiques. Même si, vu le manque de notoriété des écolabels, les entreprises françaises ne ressentent pas le besoin de les afficher sur leurs produits…

Depuis le 1 juillet, les fabricants d’ordinateurs, d’imprimantes et de scanners souhaitant apposer sur leurs matériels l’écolabel Energy Star doivent respecter des critères plus stricts en termes de consommation d’électricité. Soutenant le programme Energy Star avec l’Agence américaine pour la protection de l’environnement, la Commission européenne espère que ces nouvelles contraintes, une fois appliquées à tous les équipements de bureau, permettront d’économiser 22 térawattheures d’électricité en Europe d’ici à six ans (l’équivalent de la consommation annuelle de l’Irlande).

Seul problème : la visibilité du symbole d’Energy Star parmi les quelque 300 écolabels qui, selon le site américain Ecolabelling.org, se disputent l’attention du grand public. Rien qu’en Amérique du Nord, il y en aurait 82. Et pas moins de 118 en Europe ! « Aux Etats-Unis, on voit apparaître un nouvel écolabel presque chaque semaine », sourit Scot Case, directeur général du programme nord-américain EcoLogo, très populaire au Canada. Un vrai bazar où se côtoient des labels internationaux, nationaux ou des récompenses autodécernées par les entreprises. Comme le Flybe Aircraft Ecolabel que la compagnie aérienne régionale Flybe a apposé sur ses propres avions !

Lire la suite de cette enquête sur le site du quotidien Les Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02056600154-les-ecolabels-en-quete-d-une-image-plus-claire.htm

Jacques Henno

Article paru dans Les Echos le 8 juillet 2009.

L'éco-conception se pratique en club

Lancé en 2007 par des passionnés de l’éco-conception, ce regroupement d’entreprises est désormais ouvert à de nouveaux membres.

L’éco-conception fait des émules et devient un passage obligé. Pourquoi ne pas s’inspirer des meilleures pratiques des sociétés les plus avancées en la matière ? C’est l’objectif du regroupement d’entreprises baptisé « Creer » (Cluster Research : Excellence in Ecodesign & Recycling), qui va justement pouvoir accueillir de nouveaux adhérents, grâce au statut d’association dont il vient de se doter. Ce club dédié à l’éco-conception et au recyclage a été lancé en mars 2007 par six industriels (Areva T&D, SEB, Plastic Omnium, Renault, Steelcase et Veolia Environnement), le Cetim (Centre technique des industries mécaniques) et l’Ensam (Ecole nationale supérieure d’arts et métiers) de Chambéry. La définition est précise. Il s’agit de concevoir des produits en minimisant leurs impacts sur l’environnement, tout au long de leur cycle de vie, depuis l’extraction des matières premières qui entrent dans leur composition jusqu’à leur recyclage. Et la démarche ne s’improvise pas.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02052983884-l-eco-conception-se-pratique-en-club.htm

Article paru dans le quotidien Les Echos le 6 juillet 2009

Jacques Henno

L’éco-conception se pratique en club

Lancé en 2007 par des passionnés de l’éco-conception, ce regroupement d’entreprises est désormais ouvert à de nouveaux membres.

L’éco-conception fait des émules et devient un passage obligé. Pourquoi ne pas s’inspirer des meilleures pratiques des sociétés les plus avancées en la matière ? C’est l’objectif du regroupement d’entreprises baptisé « Creer » (Cluster Research : Excellence in Ecodesign & Recycling), qui va justement pouvoir accueillir de nouveaux adhérents, grâce au statut d’association dont il vient de se doter. Ce club dédié à l’éco-conception et au recyclage a été lancé en mars 2007 par six industriels (Areva T&D, SEB, Plastic Omnium, Renault, Steelcase et Veolia Environnement), le Cetim (Centre technique des industries mécaniques) et l’Ensam (Ecole nationale supérieure d’arts et métiers) de Chambéry. La définition est précise. Il s’agit de concevoir des produits en minimisant leurs impacts sur l’environnement, tout au long de leur cycle de vie, depuis l’extraction des matières premières qui entrent dans leur composition jusqu’à leur recyclage. Et la démarche ne s’improvise pas.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02052983884-l-eco-conception-se-pratique-en-club.htm

Article paru dans le quotidien Les Echos le 6 juillet 2009

Jacques Henno