Archives de catégorie : Articles parus dans le quotidien Les Echos

Après le logiciel libre, le matériel libre

CaptureLesEchos2015-04-14

J’ai publié mardi 14 avril 2015 dans le quotidien Les Echos une enquête sur le phénomène de l’Open Source Hardware  : de plus en plus de designers et d’industriels renoncent à une partie de leurs droits sur leurs créations. Un mouvement pas toujours désintéressé…

Anecdotique il y a quelques années, le mouvement de l’« open hardware » prend de l’ampleur aux Etats-Unis, en Allemagne, au Japon… et en France. On peut désormais télécharger sur Internet des plans gratuits de voitures , d’ éoliennes , de ruches , de compteurs électriques intelligents , de drones sous-marins , de mains artificielles,  de trains miniatures
Pour en savoir plus : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204283695263-apres-le-logiciel-libre-voici-le-materiel-libre-1110940.php?3G0rhhqdH8CuL4pS.99

Cet article comporte également un encadré,  Créativité débridée dans l’électronique, sur les cartes électroniques et les microcontrôleurs disponibles en « open source » (Arduino, Wiring, Galileo…) :
http://www.lesechos.fr/journal20150414/lec1_idees_et_debats/0204283695354-creativite-debridee-dans-lelectronique-1110933.php

L’assurance et les défis des objets connectés

Les assureurs veulent utiliser les informations collectées par les capteurs de nos voitures ou de nos maisons pour personnaliser les contrats. Mais n’osent pas toucher à leur offre santé. Pour l’instant

J’ai publié ce matin dans le quotidien les Echos une enquête sur l’intérêt que les compagnies d’assurances portent aux objets connectés :

« Grâce aux capteurs dont ils sont équipés, ces objets produisent des données, beaucoup de données […] Ces objets, et les informations qu’ils transmettent sur nos comportements, intéressent au premier chef les assureurs, désireux de toujours mieux évaluer nos profils : jeune conducteur prudent, homme de cinquante-cinq ans sédentaire, citadin qui ne branche jamais l’alarme de son domicile, etc. »

Vous pouvez lire la suite sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204190147952-pourquoi-les-objets-connectes-font-rever-les-compagnies-dassurances-1098284.php?fyoLBWxD24wTtpw3.99

Cet article compote également un encadré sur une start-up américaine qui invite les propriétaires de smartphones à se fixer des objectifs hebdomadaires en termes d’alimentation ou de pratique du sport : si les objectifs sont atteints, l’internaute perçoit une récompense de quelques dollars ; sinon, il doit verser une amende ! Ce système de « carotte/bâton » préfigure-t-il nos futures relations avec la Sécurité Sociale ou notre mutuelle ? Vous pouvez lire « Punir ou récompenser » en cliquant sur le lien suivant : http://www.lesechos.fr/journal20150303/lec1_idees_et_debats/0204193507679-punir-ou-recompenser-1098152.php

La technologie au chevet des abeilles

Le Csiro, l'organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique, a fait attacher, début 2014, des puces RFID sur le dos de 5 000 abeilles - Photo Csiro
Le Csiro, l’organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique, a fait attacher, début 2014, des puces RFID sur le dos de 5 000 abeilles – Photo Csiro

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur les nouvelles technologies utilisées pour mieux comprendre les causes du déclin des abeilles et faciliter le travail des apiculteurs.

Depuis plusieurs décennies, en France et en Europe, et plus récemment aux Etats-Unis, on assiste à une inquiétante augmentation de la mortalité des abeilles. A terme, une centaine de millions de ruches d’élevage sont menacées dans le monde, soit quelque 4 000 milliards d’abeilles.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204122859076-la-technologie-au-chevet-des-abeilles-1089428.php?7wKs5rovstkegtAV.99

Cet article comporte également un encadré :

Pourquoi les abeilles adorent la ville

Jusqu’où peut-on faire travailler les clients ?

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur le travail du consommateur, un concept élaboré par la sociologue du travail Marie-Anne Dujarier*  (université Sorbonne Nouvelle, CNAM-CNRS). Le concept de libre-service a-t-il été poussé trop loin, en magasin ou sur Internet ? Certaines entreprises reviennent à présent en arrière ou cherchent à proposer une compensation.

Un samedi matin dans un supermarché du 14e arrondissement de Paris, où les clients doivent slalomer entre les marchandises en cours d’installation. Certains d’entre eux se servent directement dans les cartons. Un peu plus loin, un consommateur, qui attend devant les automates de paiement, où la file d’attente semble avancer plus vite que devant les caisses « avec humain », grommelle : « Non seulement, il n’y a pas assez de personnel pour déballer les produits, mais en plus, si je veux gagner du temps, je dois les scanner moi-même aux caisses automatiques ! »

Difficile, désormais, d’échapper au « travail du consommateur »…

Pour lire la suite :  http://www.lesechos.fr/journal20150127/lec1_idees_et_debats/0204105171860-jusquou-peut-on-faire-travailler-les-clients-1087127.php?4cCRZyPkwhJhK1Zw.99

Cet enquête comporte également un encadré :

Quand le numérique fait mettre en avant les rapports humains

_________

* Le travail du consommateur, Marie-Anne Dujarier, La Découverte, 2014, 264 pages, 9,90 €

Comment initier les enfants au numérique ?

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos, une  enquête sur l’initiation des enfants à la programmation informatique :

En France, l’apprentissage de l’informatique est surtout assuré par des associations. Les experts plaident pour son introduction à l’école. Le plus vite possible. « Enseigner l’informatique à l’école accélérerait les évolutions pédagogiques, détaille Sophie Pène, professeur à l’université Paris Descartes. Il ne s’agirait évidemment pas de cours de code au tableau, mais de projets en groupe, ­concrets, fondés sur l’apprentissage par l’essai et l’erreur. Cela serait une source de motivation et de ­confiance pour tous les élèves, et enclencherait leur réflexion sur la transformation en cours de la société par le numérique, préparant ainsi des citoyens plus avertis. »

Cette enquête comprend une liste d’ateliers le mercredi après-midi, le week-end ou pendant les vacances scolaires pour initier les enfants, les préados ou les ados, ainsi qu’une liste de ressources en ligne pour qu’ils apprennent seuls ou à plusieurs.

En savoir plus sur : http://www.lesechos.fr/journal20141216/lec1_idees_et_debats/0204012350911-comment-initier-les-enfants-au-numerique-1075374.php?GEWxThPLd2gBofvq.99

Rendez-nous nos données !

J’ai publié ce matin dans les Echos une enquête sur la protection des données personnelles sur le Web, un enjeu crucial pour les années à venir, les internautes se montrant de plus en plus sensibles à l’utilisation de ces informations. Réseaux sociaux, entreprises et chercheurs travaillent à des solutions.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20141125/lec1_idees_et_debats/0203904882078-proteger-la-vie-privee-un-business-davenir-1067705.php?YRkPceERb6D2HP16.99

Cet article comprend également deux encadrés :

• une interview de la présidente de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés), Isabelle Falque-Pierrotin : « Ceux qui pensent être propriétaires de nos données se trompent »

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0203937716964-isabelle-falque-pierrotin-ceux-qui-pensent-etre-proprietaires-de-nos-donnees-se-trompent-1067857.php?h37KD1tc88re4wRA.99

• Héberger ses données chez soi

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20141125/lec1_idees_et_debats/0203904882396-heberger-ses-donnees-chez-soi-1067774.php

Comment détecter les mensonges sur Internet

Les Echos du 7 octobre 2014

J’ai publié ce matin dans les Echos une enquête sur les moyens de lutter contre une des plaies du Web : les faux avis de consommateurs.

De nouvelles armes contre les faux avis du Net.

Comment garantir la véracité des avis de consommateurs postés sur Internet ? De nouvelles méthodes cherchent à associer algorithmes et « sagesse des foules ».
Pour en savoir plus : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0203829474102-de-nouvelles-armes-contre-les-faux-avis-du-net-1050668.php?zETItfOvu28mqxo6.99

Editeurs de logiciels : la grosse galette des audits de licence

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur les indemnités, parfois astronomiques, que les éditeurs de logiciels infligent à leurs clients qui ne respectent pas les contrats de licences.

Certains éditeurs de logiciels infligeraient à leurs clients des amendes de plusieurs millions d’euros.Ils sanctionnent ainsi le non-respect des contrats de licences.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journalistes/index.php?id=1304&pQcS3YxBy6CHglxj.99 ou
http://po.st/M6vxI9

Trois inventions dues au hasard : le verre feuilleté, l’impression jet d’encre et le «scratch»

J’ai publié dans le quotidien Les Echos trois articles dans le cadre d’une série d’été consacrée aux inventions dues au hasard :

Le verre feuilleté, tombé de l’échelle
Edouard Benedictus rangeait son laboratoire quand il fit tomber un bocal. Sa découverte allait transformer l’industrie verrière.

Seringue et cafetière à l’origine du jet d’encre
La technologie de l’impression à jet d’encre fut découverte au même moment en Californie et au Japon.

Une promenade à l’origine du Velcro®

C’est en voulant ôter des chardons accrochés à ses habits que George de Mestral eut l’idée des célèbres fixations.

Trois inventions dues au hasard : le verre feuilleté, l'impression jet d'encre et le «scratch»

J’ai publié dans le quotidien Les Echos trois articles dans le cadre d’une série d’été consacrée aux inventions dues au hasard :

Le verre feuilleté, tombé de l’échelle
Edouard Benedictus rangeait son laboratoire quand il fit tomber un bocal. Sa découverte allait transformer l’industrie verrière.

Seringue et cafetière à l’origine du jet d’encre
La technologie de l’impression à jet d’encre fut découverte au même moment en Californie et au Japon.

Une promenade à l’origine du Velcro®

C’est en voulant ôter des chardons accrochés à ses habits que George de Mestral eut l’idée des célèbres fixations.