L’assurance et les défis des objets connectés

Les assureurs veulent utiliser les informations collectées par les capteurs de nos voitures ou de nos maisons pour personnaliser les contrats. Mais n’osent pas toucher à leur offre santé. Pour l’instant

J’ai publié ce matin dans le quotidien les Echos une enquête sur l’intérêt que les compagnies d’assurances portent aux objets connectés :

« Grâce aux capteurs dont ils sont équipés, ces objets produisent des données, beaucoup de données […] Ces objets, et les informations qu’ils transmettent sur nos comportements, intéressent au premier chef les assureurs, désireux de toujours mieux évaluer nos profils : jeune conducteur prudent, homme de cinquante-cinq ans sédentaire, citadin qui ne branche jamais l’alarme de son domicile, etc. »

Vous pouvez lire la suite sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204190147952-pourquoi-les-objets-connectes-font-rever-les-compagnies-dassurances-1098284.php?fyoLBWxD24wTtpw3.99

Cet article compote également un encadré sur une start-up américaine qui invite les propriétaires de smartphones à se fixer des objectifs hebdomadaires en termes d’alimentation ou de pratique du sport : si les objectifs sont atteints, l’internaute perçoit une récompense de quelques dollars ; sinon, il doit verser une amende ! Ce système de « carotte/bâton » préfigure-t-il nos futures relations avec la Sécurité Sociale ou notre mutuelle ? Vous pouvez lire « Punir ou récompenser » en cliquant sur le lien suivant : http://www.lesechos.fr/journal20150303/lec1_idees_et_debats/0204193507679-punir-ou-recompenser-1098152.php

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