Archives de catégorie : Articles parus dans le quotidien Les Echos

Cet été, ne rapportez pas de plantes de vos vacances !

Après avoir lu l’article que j’ai publié ce matin dans Les Echos sur les insectes invasifs qui coûtent, chaque année, 69 milliards d’euros à l’économie mondiale, vous hésiterez, à la fin de vos prochaines vacances avant de mettre une plante-souvenir dans vos valises …

 

Cet article comporte également un encadré sur les moustiques génétiquement modifiés utilisés pour lutter contre l’épidémie de Zika au Brésil : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/030344336739-de-sympathiques-moustiques-2088881.php 

 

Jusqu’où interdire la voiture en ville ?

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur les architectes, urbanistes et collectivités locales qui commencent à réfléchir à un monde « post car » , sans voiture individuelle, avec des centres-villes « apaisés », repensés autour des piétons, des vélos et où la voiture deviendrait un transport en commun.

Par exemple, « le Forum international des transports, affilié à l’OCDE, a réalisé une simulation sur Lisbonne, au Portugal : une flotte de taxis collectifs (6 places maximum) et de minibus (jusqu’à 16 places) connectés pourrait remplacer 97 % des véhicules circulant dans les rues. »
Pour en savoir plus : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211867002447-jusquou-interdire-la-voiture-en-ville-2082156.php#BcqJbTH2MOO9mW0M.99

Cette enquête comprend également un encadré sur les limites du covoiturage : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0212008012942-les-limites-du-covoiturage-2082238.php

Industrie 4.0 : le défi de l’hypersurveillance

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur la réalité augmentée et les outils connectés qui permettent déjà de guider les opérateurs de production ou de maintenance. Mais qui, demain,  pourraient aussi servir à les surveiller. En permanence.

Nous verrons peut-être bientôt notre garagiste chausser des lunettes de réalité augmentée qui lui montreront, étape par étape, comment réparer notre voiture. Mais qui enregistreront aussi le moindre de ses faits et gestes, ce qui permettra de savoir combien de temps il aura mis pour mener à bien sa tâche, s’il faut l’envoyer en formation… ou s’il doit changer d’emploi. Voilà un des scénarios sur lesquels planchent les consultants, industriels et syndicalistes qui réfléchissent à l’usine 4.0…

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211778113962-industrie-40-le-defi-de-lhypersurveillance-2064720.php#EGl4KwYM4dyIsfTT.99

Cette enquête comprend également un encadré  sur le risque juridique que la traçabilité associée à la réalité augmentée est susceptible de faire courir à l’employeur :
http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211778114090-un-risque-juridique-pour-lemployeur-2064770.php#x5Ai6YksSoOOqGG7.99

Quelle règles pour la cyber guerre froide ?

Capture Les Echos 3 janvier 2017J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos un article sur les cyberdiplomates, les diplomates occidentaux qui se mobilisent pour réguler les conflits dans le cyberespace. Avant qu’un Etat ou une organisation terroriste ne paralyse tout Internet.

Nouvelles menaces, nouveau métier. La montée en puissance des attaques sur le Net, dont le point culminant fut en 2016 l’ingérence d’hackers russes dans la présidentielle américaine, fait émerger la profession de cyberdiplomate, c’est-à-dire de diplomate chargé des négociations internationales sur la cybersécurité. Dans l’ombre, ces spécialistes s’activent pour tenter de réguler les cyberguerres…

Pour lire la suite de cet article : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211651883116-quelles-regles-pour-la-cyberguerre-froide-2053939.php

Cette enquête comprend également un encadré sur les algorithmes que des centres de recherche tentent de mettre au point pour traquer les coupables des cyberattaques :
http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0211651164045-des-algorithmes-pour-traquer-les-coupables-des-cyberattaques-2053981.php

Les implants médicaux, futures cibles pour les pirates

Capture Les Echos 29 novembre 2016J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur les appareils médicaux implantés dans le corps et qui  sont de plus en plus facilement piratables, comme l’ont révélé plusieurs études scientifiques. Les parades restent à mettre au point.

 

Très mauvaise nouvelle pour les millions de porteurs à travers le monde d’un stimulateur cardiaque, d’une pompe à insuline, d’électrodes pour la stimulation cérébrale profonde (utilisées pour soulager des douleurs chroniques ou pour atténuer les tremblements provoqués par la maladie de Parkinson) : ces implants sont facilement piratables. Avec des conséquences potentiellement dramatiques… La suite sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211451070124-les-implants-medicaux-futures-cibles-pour-les-pirates-2046323.php

Cet article comprend également un encadré sur la discrétion observée par les fabricants de ces implants sur les risques de piratage qu’encourent leurs porteurs : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211451118962-des-fabricants-tres-discrets-2046307.php

Le jeu vidéo est-il l’avenir de l’info ?

capture-les-echos-18-oct-16-newsgamesJ’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos un article sur les newsgames, les jeux d’information.

De plus en plus de journaux et de sites d’informations utilisent des jeux vidéo à des fins pédagogiques, mais aussi pour tenter d’attirer un public plus jeune, habitué à cette forme de médias.

Pour lire cet article, suivez ce lien : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211275214525-le-jeu-video-est-il-lavenir-de-linfo-2035733.php

Cette enquête comprend également un encadré sur l’utilisation de la réalité virtuelle par la presse : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211275214653-la-realite-virtuelle-divise-les-journalistes-2035694.php 

Qui va profiter de la « blockchain » ?

Matthäus Wander - Graphic of data fields in Bitcoin block chainJ’ai publié hier matin dans le quotidien Les Echos un article sur la technologie blockchain, l’innovation à l’origine du bitcoin. « Elle assure une transparence des échanges qui pourrait modifier le fonctionnement de nos systèmes de régulation centralisés, diminuer les coûts et transformer de nombreux domaines : l’assurance, l’immobilier, le commerce, les élections… » Cet avertissement figure sur le site Internet d’une organisation qui pourrait un jour être victime de la « blockchain » : la Banque de France !
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20160607/lec1_idees_et_debats/021991000913-qui-va-profiter-de-la-blockchain-2004286.php?YDTwr4is3UtxrOuv.99http://www.lesechos.fr/journal20160607/lec1_idees_et_debats/021991000913-qui-va-profiter-de-la-blockchain-2004286.php

L’article comporte également un encadré sur les problèmes « techniques » que pose la technologie blockchain :

Une technologie trop gourmande en puissance informatique ?
http://www.lesechos.fr/journal20160607/lec1_idees_et_debats/021991861826-une-technologie-trop-gourmande-en-puissance-informatique-2004239.php

 

J’ai publié ce matin dans Les Echos une enquête sur « Les défis de la collaboration homme-robot »

Un robot assemblé par Akéoplus, une entreprise de Château-Gaillard (01), pour contrôler une armoire électrique destinée à un avion de ligne. Les 1 500 contrôles nécessaires demandent une heure de travail à un opérateur qui doit en plus en assurer le reporting. Trois à quatre jours suffisent pour apprendre à un robot à effectuer les mêmes contrôles en 15 minutes tout en enregistrant (y compris à l’aide de photos) tout ce qu’il fait.
Un robot assemblé par Akéoplus, une entreprise de Château-Gaillard (01), pour contrôler une armoire électrique destinée à un avion de ligne. Les 1 500 contrôles nécessaires demandent une heure de travail à un opérateur qui doit en plus en assurer le reporting. Trois à quatre jours suffisent pour apprendre à un robot à effectuer les mêmes contrôles en 15 minutes tout en enregistrant (y compris à l’aide de photos) tout ce qu’il fait.

Aujourd’hui, les opérateurs pilotent des robots à distance. Demain, ils encadreront des robots collaboratifs. Il est déjà possible d’apprendre des gestes à un robot en le prenant par le bras, bardé de capteurs et de touches sur lesquelles il suffit de cliquer pour enregistrer une séquence. Mais les prochaines générations seront capables d’apprendre en dialoguant avec les humains. Comment gérer cette nouvelle forme de relations professionnelles ?

Retrouvez l’article que j’ai publié dans le numéro des Echos daté du 17 mai 2016 en cliquant ici : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/021925974973-les-defis-de-la-collaboration-homme-robot-1222221.php?Jfkmu3IsViCFL3AQ.99

Cet article comporte également un encadré : Un phénomène irréductible ? http://www.lesechos.fr/journal20160517/lec1_idees_et_debats/021926065349-un-phenomene-irreductible-1222284.php

Comment le Big Data va bousculer le crédit

CaptureLesEchos2016-03-18J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos un article sur une nouvelle tendance qui arrive des Etats-Unis et d’Asie : utiliser les données publiques, les réseaux sociaux et les algorithmes prédictifs pour évaluer, en quelques minutes, les capacités de remboursement des individus ou des petites entreprises.

Pour évaluer le risque que représente un emprunteur, des start-up, (Affirm, Biz2credit, Zest Finance aux Etats-Unis…) et en Asie (Lenddo aux Philippines…).scannent des centaines de « signaux faibles » : temps passé à taper son adresse e-mail (pour détecter les copier-coller, souvent symptomatiques d’une adresse créée pour la circonstance…), horaire de la demande (les formulaires remplis la nuit suscitent la méfiance…), identité sur les réseaux sociaux, descriptif du travail sur Linkedin, nombre d’amis sur Facebook, heures et fréquence d’envoi des courriels…

Pour en savoir plus :

Comment le Big Data va bousculer le crédit

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos un article sur « Peut-on nous rendre plus accro au Web ? »

Sites Web et applications pour smartphones rivalisent d’astuces pour accroître leur trafic en nous rendant dépendants. Des pratiques qui commencent à être montrées du doigt.

CaptureLesEchos2016-02-02Le temps, c’est de la publicité…  Pour pouvoir gagner de l’argent en exposant leurs visiteurs à de la publicité, toutes les marques et tous les concepteurs de site ou d’appli souhaitent garder ces derniers le plus longtemps possible  ou les faire revenir le plus souvent. Comment monter sur le podium ? Dans la Silicon Valley, la réponse est simple : il faut rendre les internautes « accros ». Un consultant, Nir Eyal, a même théorisé cette approche dans un livre, « Hooked : How to Build Habit-Forming Products » (Penguin, 2014). Nir Eyal est également un des créateurs de l’Habit Summit (Sommet sur la dépendance), dont la 3eédition se tiendra le 22 mars à l’université Stanford…

Pour lire la suite de cet article : Peut-on nous rendre plus accro au Web ?

Cet article comporte également un encadré sur deux initiatives américaines pour nous faire prendre conscience de notre « addiction » au Web ou aux applis : Ils veulent réduire la dépendance des internautes