Le jeudi 30 et le vendredi 31 mars 2023, je serai à Dol-de-Bretagne (35), pour intervenir, le jeudi après-midi et le vendredi, devant tous les élèves de 5ème du collège lycée Saint Magloire (http://www.saintmagloire.fr/) et, le jeudi soir, devant les parents d’élèves, à chaque fois sur le thème du bon usage des écrans et des réseaux sociaux.
À l’invitation de l’Apel Saint Magloire du collège lycée Saint Magloire de Dol de Bretagne, conjointement avec le lycée agricole Les Vergers (https://www.lyceelesvergers.fr/)
Voici la vidéo de mon intervention lors de la table ronde « Les enfants et les réseaux sociaux : qui utilise qui ? » organisée le vendredi 4 février 2022 à Strasbourg, dans le cadre du Forum Européen de Bioéthique.
Le constat :
Les enfants utilisent les réseaux sociaux de plus en plus précocement.
En quelques années à peine, ce média a pris le pas sur la télévision, la radio et les journaux papiers. Qu’il s’agisse d’un outil de divertissement, de communication, de séduction ou d’information, les réseaux sociaux occupent une place importante dans la vie de nos enfants, parfois au détriment d’autres activités et de leur vie privée. Faut-il s’en inquiéter ?
Peut-on mettre de la régulation et de la tempérance dans un outil dont la vocation reste d’amasser des data de manière démesurée ?
Ma réponse :
Mon intervention explique le modèle économique des réseaux sociaux, décrit les algorithmes informatiques que ces plateformes ont mis au point pour capter notre attention, dénonce les conséquences de cette économie de l’attention sur les jeunes et passe en revue les questions éthiques que soulèvent ces pratiques.
Je propose qu’une loi oblige les réseaux sociaux à brider ces algorithmes quand ils s’adressent à des jeunes.
Vous pouvez voir l’intégralité de la table-ronde avec les interventions des autres participants sur https://youtu.be/8DhUWpQf6Yc
Pour plus d’informations, accéder au programme ou suivre l’actualité du Forum Européen de Bioéthique : forumeuropeendebioethique.eu
J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur les outils développés pour permettre aux chercheurs d’accéder plus facilement aux données des administrations. Pour l’instant, les feuilles de soin de la Sécurité sociale, les déclarations de revenus, les résultats scolaires, les choix d’orientations, qui contiennent des informations personnelles et sensibles, ne sont accessibles – heureusement – qu’après avoir montré patte blanche. Une des pistes explorées est de réaliser, à partir des fichiers originaux et grâce à l’intelligence artificielle, de vrais-faux jeux de données ne contenant plus d’informations confidentielles.
J’ai publié jeudi 12 août 2021 dans le quotidien Les Échos une enquête sur ce que pourrait être l’intelligence artificielle dans 20 ans : 2041 : quand l’IA nous manipulera Plutôt qu’une IA généralisée qui voudrait contrôler l’humanité, les experts craignent, pour l’avenir, des algorithmes détournés pour nous influencer. Cet essai commence par un scénario de plus en plus plausible : « Dès la nouvelle présidente de la République élue, les services d’espionnage de la Grande Nation – officiellement alliée de la France – réussirent à installer un algorithme d’intelligence artificielle sur son smartphone… »
J’ai publié ce matin dans le quotidien les Échos une enquête sur le projet de règlement européen encadrant l’intelligence artificielle. Beaucoup de chefs d’entreprise s’inquiètent des conséquences du projet de règlement que la Commission européenne a présenté en avril dernier pour encadrer l’IA : les futurs décrets d’application sauront-ils établir un équilibre entre la protection des consommateurs et la poursuite de l’innovation ?
J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur l’utilisation des jumeaux numériques dans l’industrie. « Un jumeau numérique est un modèle numérique d’un système physique, capable de se synchroniser en temps réel avec celui-ci et de le piloter ». Ce concept de jumeau numérique, appliqué à des objets plus ou moins simples, est apparu au début des années 2000 aux Etats-Unis. Aujourd’hui, il est en passe de franchir une nouvelle étape en cherchant à simuler et à prédire le comportement de systèmes extrêmement complexes comme des chaînes logistiques, des réacteurs nucléaires, des usines entières, et même… la planète Terre.
Cet article est accessible en cliquant sur ce lien :
J’ai publié ce matin dans Les Échos, une enquête sur l’avenir de l’intelligence artificielle. L’IA est à un tournant : si les applications se multiplient dans les entreprises, les révolutions grand public de la voiture autonome ou des assistants personnels nécessiteront de nouvelles avancées conceptuelles dont nous sommes encore bien loin.
J’ai publié ce matin dans Les Échos une enquête sur les ambitions d’Amazon dans le domaine de l’intelligence artificielle et sur les inquiétudes qu’elles suscitent chez certains des utilisateurs de son service de cloud.
Le géant de Seattle a mis les bouchées doubles pour rattraper son retard dans le « deep learning ». Aujourd’hui, l’IA est au coeur de son activité marchande, de ses appareils domotiques, comme l’assistant vocal Echo, mais surtout de sa « cash machine », son service de cloud AWS.
Activez le son pour entendre Donald Trump faire l’éloge des Échos. Mais est-ce vraiment le président des États-Unis qui parle ? Pour en savoir plus, lisez l’enquête que j’ai publiée ce matin sur les deepfakes », ces faux contenus « plus vrais que nature » réalisés à l’aide d’outils d’intelligence artificielle :
J’ai publié hier dans le quotidien Les Échos, une enquête sur les « données au service du bien commun ».
L’intérêt de la communauté scientifique et du monde des affaires pour la conduite de politiques publiques (santé, transports…) à partir de données collectées par des entreprises privées ne cesse de grandir. Ces derniers mois, les tribunes signées par des chercheurs et vantant les mérites potentiels des « Data for Public Good » ou des « données au service du bien commun » se sont multipliées en France et à l’étranger.
Ces spécialistes pensent que les données collectées par le secteur privé permettront de prédire les épidémies de grippe (malgré l’échec de Google Flu Trends), les pandémies alimentées par les moustiques, les taux d’occupation des lits dans les hôpitaux, les besoins en eau des bergers et de leurs troupeaux, les crises financières (à partir des fluctuations des dépôts bancaires), les perspectives économiques (grâce à la consommation d’électricité), etc.
Internet, téléphone mobile, jeux vidéo… la révolution numérique affecte toute notre vie
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