J’ai publié ce matin dans Les Échos une enquête sur l’utilisation de la réalité virtuelle à des fins scientifiques, médicales, militaires, de formation, ou de divertissement et des problèmes éthiques que cela peut poser.Sensibilisation à la vie d’un SDF, simulation de l’annonce par un cadre de la fermeture d’une usine à des salariés, traitement des phobies, jeux vidéo…, les usages de la RV se multiplient dans les laboratoires de recherche, les ONG, les entreprises, les hôpitaux, les salles d’arcades, les foyers…Cet engouement pour la RV tient bien sûr à la baisse des coûts. Il est désormais possible d’acquérir un casque de RV autonome pour moins de 450 €. Pourtant, ces casques ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Si la RV intéresse autant de monde, c’est qu’elle est soupçonnée de pouvoirs inédits.
J’ai publié ce matin dans Les Échos une enquête sur « Les sciences comportementales au service des politiques publiques »
Depuis 2010, les chercheurs et consultants ayant utilisé les sciences sociales pour modifier le comportement des citoyens, ont rencontré de nombreux succès, pour un faible coût.
Convaincus par ces résultats, l’OCDE, la banque mondiale et l’Union européenne ont publié des rapports encourageant cette nouvelle approche. Selon l’OCDE, 216 équipes la mettent en pratique à travers le monde. Même l’Etat français s’y est mis. La DITP (Direction interministérielle pour l’accompagnement des transformations publiques), une des deux agences en charge de l’amélioration de l’action des administrations françaises, emploie désormais trois personnes au sein de sa section « Méthodes innovantes, sciences comportementales et écoute usagers ».
L’étude britannique de 2013 sur les 765 vies sauvées à la suite de l’interdiction de donner à un patient, en pharmacie, plus de 32 comprimés de paracétamol à la fois et, dans le commerce, 16, ce qui complique la tâche des suicidants et en dissuade une partie : https://www.bmj.com/content/346/bmj.f403.long
L’étude Néo-zélandaise qui a montré qu’encourager les citoyens à donner leur sang en les payant risquait de provoquer l’effet inverse : les volontaires craignaient d’être soupçonnés de cupidité : https://www.bmj.com/content/312/7039/1131
J’ai publié ce matin dans Les Échos une enquête sur les ambitions d’Amazon dans le domaine de l’intelligence artificielle et sur les inquiétudes qu’elles suscitent chez certains des utilisateurs de son service de cloud.
Le géant de Seattle a mis les bouchées doubles pour rattraper son retard dans le « deep learning ». Aujourd’hui, l’IA est au coeur de son activité marchande, de ses appareils domotiques, comme l’assistant vocal Echo, mais surtout de sa « cash machine », son service de cloud AWS.
J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur consommation d’électricité induite par tous les logiciels qui tournent sur nos écrans.
Les enjeux sont considérables pour la planète. Si la moitié de l’empreinte carbone du numérique provient de la production des équipements, l’autre moitié se répartit en trois tiers : la consommation des serveurs dans les data centers, les réseaux de télécommunication et les quelque 15 milliards de terminaux et périphériques sur lesquels tournent des logiciels.
J’ai publié mardi dans le quotidien Les Échos un article sur cinq chercheurs français qui ont peut-être découvert une alternative au glyphosate, l’herbicide le plus utilisé au monde mais aussi le plus controversé (il a été classé comme « cancérogène probable » dans un rapport qui fait référence, publié en mars 2015 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), dépendant de l’ONU).
À lire sur Lesechos.fr > Régions > Innovateurs > Un nouvel herbicide d’origine naturelle proche du glyphosate ou http://bit.ly/echosglypho
J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur l’idée émise par quelques Etats, organismes internationaux ou entreprises de proposer une identité numérique unique qui permettrait à tout le monde de s’identifier, partout. Le support de cette identité pourrait être électronique (sous forme de carte à puce ou sans contact…) ou purement digital (une suite de chiffres). L’identifiant serait validé grâce à des données biométriques, financières (compte bancaire) ou à un profil Internet (compte Facebook, Google…). Il donnerait accès à l’état civil, aux informations de santé, financières, etc., de son propriétaire.
J’ai publié ce matin dans le quotidien LesEchos une enquête sur les livraisons en ville : « Sortir du casse-tête de la logistique urbaine ».
Qui ne rêve d’un centre-ville débarrassé des camionnettes diesel dont les chauffeurs, en pleines heures de pointe, s’arrêtent en double file pour aller livrer, à chaque fois… un seul colis ? Selon une étude de l’université de Berlin, citée par l’Aslog ( l’Association française de la supply chain et de la logistique), à n’importe quel moment de la matinée, environ 600 véhicules seraient garés en double file dans la capitale allemande pour effectuer une livraison. Certains chercheurs préconisent de normaliser les contenants et de mutualiser les livraisons, afin de permettre la création d’un Internet des marchandises.
Activez le son pour entendre Donald Trump faire l’éloge des Échos. Mais est-ce vraiment le président des États-Unis qui parle ? Pour en savoir plus, lisez l’enquête que j’ai publiée ce matin sur les deepfakes », ces faux contenus « plus vrais que nature » réalisés à l’aide d’outils d’intelligence artificielle :
J’ai publié hier dans le quotidien Les Échos, une enquête sur les « données au service du bien commun ».
L’intérêt de la communauté scientifique et du monde des affaires pour la conduite de politiques publiques (santé, transports…) à partir de données collectées par des entreprises privées ne cesse de grandir. Ces derniers mois, les tribunes signées par des chercheurs et vantant les mérites potentiels des « Data for Public Good » ou des « données au service du bien commun » se sont multipliées en France et à l’étranger.
Ces spécialistes pensent que les données collectées par le secteur privé permettront de prédire les épidémies de grippe (malgré l’échec de Google Flu Trends), les pandémies alimentées par les moustiques, les taux d’occupation des lits dans les hôpitaux, les besoins en eau des bergers et de leurs troupeaux, les crises financières (à partir des fluctuations des dépôts bancaires), les perspectives économiques (grâce à la consommation d’électricité), etc.
J’ai publié mardi dernier dans le quotidien Les Échos une enquête sur la réduction des déchets :
« Réutiliser, à Kornos (Chypre), des décorations de Noël des années passées dans les maisons et dans les rues ; bannir les bouteilles en plastique d’une école d’Enniskillen (Irlande du Nord)… Au total, 9.369 projets de ce type participent à la Semaine européenne de réduction des déchets qui se déroule du 17 au 25 novembre. Objectif ? Nous sensibiliser « à la gestion durable des ressources et des déchets ». Selon la Banque mondiale, les déchets représentaient déjà, en 2016, 0,74 kg par personne et par jour dans le monde. Un chiffre qui devrait progresser de 70 % d’ici à 2050 ! Les enjeux sont considérables. Réduire les déchets, c’est consommer moins de matières premières et rejeter moins de polluants… »
Internet, téléphone mobile, jeux vidéo… la révolution numérique affecte toute notre vie
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