Tous les articles par Jacques Henno

Independent journalist, speaker, writer focused on ICT / Journaliste, auteur et conférencier, spécialiste des nouvelles technologies.

L’assurance et les défis des objets connectés

Les assureurs veulent utiliser les informations collectées par les capteurs de nos voitures ou de nos maisons pour personnaliser les contrats. Mais n’osent pas toucher à leur offre santé. Pour l’instant

J’ai publié ce matin dans le quotidien les Echos une enquête sur l’intérêt que les compagnies d’assurances portent aux objets connectés :

« Grâce aux capteurs dont ils sont équipés, ces objets produisent des données, beaucoup de données […] Ces objets, et les informations qu’ils transmettent sur nos comportements, intéressent au premier chef les assureurs, désireux de toujours mieux évaluer nos profils : jeune conducteur prudent, homme de cinquante-cinq ans sédentaire, citadin qui ne branche jamais l’alarme de son domicile, etc. »

Vous pouvez lire la suite sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204190147952-pourquoi-les-objets-connectes-font-rever-les-compagnies-dassurances-1098284.php?fyoLBWxD24wTtpw3.99

Cet article compote également un encadré sur une start-up américaine qui invite les propriétaires de smartphones à se fixer des objectifs hebdomadaires en termes d’alimentation ou de pratique du sport : si les objectifs sont atteints, l’internaute perçoit une récompense de quelques dollars ; sinon, il doit verser une amende ! Ce système de « carotte/bâton » préfigure-t-il nos futures relations avec la Sécurité Sociale ou notre mutuelle ? Vous pouvez lire « Punir ou récompenser » en cliquant sur le lien suivant : http://www.lesechos.fr/journal20150303/lec1_idees_et_debats/0204193507679-punir-ou-recompenser-1098152.php

La technologie au chevet des abeilles

Le Csiro, l'organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique, a fait attacher, début 2014, des puces RFID sur le dos de 5 000 abeilles - Photo Csiro
Le Csiro, l’organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique, a fait attacher, début 2014, des puces RFID sur le dos de 5 000 abeilles – Photo Csiro

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur les nouvelles technologies utilisées pour mieux comprendre les causes du déclin des abeilles et faciliter le travail des apiculteurs.

Depuis plusieurs décennies, en France et en Europe, et plus récemment aux Etats-Unis, on assiste à une inquiétante augmentation de la mortalité des abeilles. A terme, une centaine de millions de ruches d’élevage sont menacées dans le monde, soit quelque 4 000 milliards d’abeilles.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0204122859076-la-technologie-au-chevet-des-abeilles-1089428.php?7wKs5rovstkegtAV.99

Cet article comporte également un encadré :

Pourquoi les abeilles adorent la ville

Jusqu’où peut-on faire travailler les clients ?

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur le travail du consommateur, un concept élaboré par la sociologue du travail Marie-Anne Dujarier*  (université Sorbonne Nouvelle, CNAM-CNRS). Le concept de libre-service a-t-il été poussé trop loin, en magasin ou sur Internet ? Certaines entreprises reviennent à présent en arrière ou cherchent à proposer une compensation.

Un samedi matin dans un supermarché du 14e arrondissement de Paris, où les clients doivent slalomer entre les marchandises en cours d’installation. Certains d’entre eux se servent directement dans les cartons. Un peu plus loin, un consommateur, qui attend devant les automates de paiement, où la file d’attente semble avancer plus vite que devant les caisses « avec humain », grommelle : « Non seulement, il n’y a pas assez de personnel pour déballer les produits, mais en plus, si je veux gagner du temps, je dois les scanner moi-même aux caisses automatiques ! »

Difficile, désormais, d’échapper au « travail du consommateur »…

Pour lire la suite :  http://www.lesechos.fr/journal20150127/lec1_idees_et_debats/0204105171860-jusquou-peut-on-faire-travailler-les-clients-1087127.php?4cCRZyPkwhJhK1Zw.99

Cet enquête comporte également un encadré :

Quand le numérique fait mettre en avant les rapports humains

_________

* Le travail du consommateur, Marie-Anne Dujarier, La Découverte, 2014, 264 pages, 9,90 €

February 06, 2015 at 06:00PM je donnerai une conférence à Villeneuve-la-Garenne (92) : « Les défis éducatifs soulevés par Internet et les nouvelles technologies (téléphone portable, jeux vidéo…) »

Vendredi 6 février 2015, de 18H00 à 20H environ, j’animerai une discussion entre parents dans le cadre d’un café des parents, consacré aux défis éducatifs soulevés par Internet et les nouvelles technologies (téléphone portable, jeux vidéo…), au collège Edouard Manet, 180 boulevard Gallieni, 92390 Villeneuve-la-Garenne Cette intervention aura lieu à l’initiative de la direction du collège Edouard Manet, en partenariat avec la mairie de Villeneuve-la-Garenne.

180 Boulevard Gallieni, 92390 Villeneuve-la-Garenne, France

Interviewé ce soir sur la radio suisse au sujet des PNR

J’ai été interviewé ce soir, mercredi 21 janvier 2015, au cours de l’émission d’actualité Forum de la radio suisse, au sujet des PNR, ces fichiers des compagnies aériennes que l’Europe voudrait réquisitionner dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

Vous pouvez réécouter cette émission en podcast :

http://ift.tt/1xYtBHs

J’interviens 16 mn 44 s après le début de l’émission.

 

Dans mon livre Tous Fichés (éditions Télémaque), je retrace toutes les tentatives du gouvernement américain d’utiliser les nouvelles technologies pour déjouer les attentats terroristes. C’est ainsi que depuis les attentats du 11 septembre 2001, les agences de renseignement américaines ont accès aux PNR (fichiers des passagers) des compagnies aériennes desservant ou survolant les Etats-Unis : elles confrontent ces informations avec d’autres données en leur possession pour tenter de déceler des terroristes voulant entrer sur le territoire américain. L’utilisation de ces fichiers commerciaux à des fins sécuritaires peut cependant constituer une menace pour les libertés individuelles. Le Parlement européen a jusqu’ici bloqué l’utilisation des PNR en Europe à des fins de surveillance.

Comment Uber tente de faire taire les critiques sur sa collecte de données

La start-up était critiquée pour les données qu’elle collectait sur ses clients ? Ses dirigeants répliquent par un plan de communication démontrant que les informations recueillies par Uber peuvent aider à améliorer le fonctionnement des grandes villes.

A la fin de l’année dernière, Uber, la société de San Francisco, spécialisée dans les véhicules avec chauffeur, a dû faire face à de très nombreuses critiques sur sa collecte d’information (lire : « Uber en sait-il plus sur nous que Facebook ? Ou une autre raison d’apprendre à nos enfants à respecter la vie privée »).

Quelques semaines plus tard, les dirigeants de la start-up californienne pensent avoir trouvé la parade sous la forme d’un plan de communication mettant en avant l’intérêt, pour la gestion des villes, de données recueillies par Uber.

Le Wall Street Journal (http://blogs.wsj.com/digits/2015/01/13/uber-offers-trip-data-to-cities-starting-in-boston/), le Washington Post (http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/01/13/uber-offers-cities-an-olive-branch-its-valuable-trip-data/), le New York Times (http://www.nytimes.com/aponline/2015/01/14/us/ap-us-boston-uber.html?_r=0), le Monde (http://siliconvalley.blog.lemonde.fr/2015/01/14/uber-accepte-de-fournir-les-donnees-de-navigation-aux-autorites/), entre autres, ont relaté au cours des derniers jours, comment Uber allait mettre à la disposition des grandes villes américaines des données anonymisées. Ces informations (heure et code postal de départ, heure et code postal d’arrivée) sont censées aider les mairies à mieux planifier leurs travaux (construction de nouvelles infrastructures – routes, transports en commun… – entretien de la voirie…).

En communication de crise, cela s’appelle prendre son interlocuteur à contre-pied : « Vous nous critiquez pour notre collecte de données ? Voyez comment ces données peuvent être utiles à la collectivité ». Le pire c’est que cela semble marcher !

 

Comment initier les enfants au numérique ?

J’ai publié dans le quotidien Les Echos, une  enquête sur l’initiation des enfants à la programmation informatique :
En France, l’apprentissage de l’informatique est surtout assuré par des associations. Les experts plaident pour son introduction à l’école. Le plus vite possible. « Enseigner l’informatique à l’école accélérerait les évolutions pédagogiques, détaille Sophie Pène, professeur à l’université Paris Descartes. Il ne s’agirait évidemment pas de cours de code au tableau, mais de projets en groupe, ­concrets, fondés sur l’apprentissage par l’essai et l’erreur. Cela serait une source de motivation et de ­confiance pour tous les élèves, et enclencherait leur réflexion sur la transformation en cours de la société par le numérique, préparant ainsi des citoyens plus avertis. »
Cette enquête comprend une liste d’ateliers le mercredi après-midi, le week-end ou pendant les vacances scolaires pour initier les enfants, les préados ou les ados, ainsi qu’une liste de ressources en ligne pour qu’ils apprennent seuls ou à plusieurs.
En savoir plus sur : http://ift.tt/1ymvfaN

Mardi 24 mars 2015, je donnerai une conférence à Paris : « Internet – De Facebook à Ello, visite guidée de la galaxie des réseaux sociaux »

Je serai mardi 24 mars 2015 de 14H30 à 16H30 à Paris chez Espace Idées Bien chez Moi (nouveau nom de Réunica Domicile), au 7, Cité Paradis – 75010 Paris) pour intervenir sur le thème de « Internet – De Facebook à Ello, visite guidée de la galaxie des réseaux sociaux » :
• présentation en détails de toute les fonctionnalité offertes par le groupe Facebook (Facebook, Instagram, WhatsApp…) ;
• présentation des autres réseaux sociaux (Ello, Google+, Pinterest, Snpachat, Twitter…) grand public ;
• présentation des autres services de messagerie (Yik Yak…) grand public ;
Cette conférence est gratuite. Inscription par mail à accueil@espace-idees.fr ou par téléphone au 01 71 72 58 00
Le programme des conférences Espace Idées Bien chez Moi du 1er trimestre 2015 est téléchargeable sur http://ift.tt/1Af0MrV
Espace Idées Bien chez Moi (nouveau nom de Réunica Domicile) 7, Cité Paradis – 75010 Paris Tél. : 01 71 72 58 007, Cité Paradis – 75010 Paris

Mardi 27 janvier 2015, je donnerai une conférence à Paris : «Internet – Les précautions à prendre pour protéger son argent, ses données et sa vie privée»

Je serai mardi 27 janvier 2015 de 14H30 à 16H30 à Paris chez Espace Idées Bien chez Moi (nouveau nom de Réunica Domicile), au 7, Cité Paradis – 75010 Paris) pour intervenir sur le thème de « Internet – Les précautions à prendre pour protéger son argent, ses données et sa vie privée » :
• comment repérer et dénoncer les tentatives de phishing et les autres formes d’arnaques en ligne ;
• comment réaliser un achat en ligne en toute sécurité ;
• bien choisir un mot de passe ;
• les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les services de courrier électronique ou de messagerie instantanée les plus respectueux de notre vie privée et offrant le plus de sécurité
Cette conférence est gratuite. Inscription par mail à accueil@espace-idees.fr ou par téléphone au 01 71 72 58 00
Le programme des conférences Espace Idées Bien chez Moi du 1er trimestre 2015 est en pièce jointe ou téléchargeable sur http://ift.tt/1Af0MrV
Espace Idées Bien chez Moi (nouveau nom de Réunica Domicile) 7, Cité Paradis – 75010 Paris Tél. : 01 71 72 58 007, Cité Paradis – 75010 Paris