Tous les articles par Jacques Henno

Independent journalist, speaker, writer focused on ICT / Journaliste, auteur et conférencier, spécialiste des nouvelles technologies.

Cyberattaques : apprendre à travailler sans ordinateurs

J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur les « Plan B » que de plus en plus d’entreprises préparent pour le jour où elles seront victimes de pirates informatiques.

Les cyberattaques de l’année 2017 (NotPetya, WannacRy…) l’ont prouvé : la paralysie totale des systèmes d’information est désormais possible. De plus en plus d’organisations se dotent donc d’une cellule de crise chargée de réfléchir à la meilleure façon de travailler en mode dégradé, c’est-à-dire sans écrans.

https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0301504753226-cyberattaques-apprendre-a-travailler-sans-ordinateurs-2165626.php

Vendredi 6 avril 2018, à Cazères-sur-Garonne (31) pour intervenir devant collégiens et parents

Vendredi 6 avril 2018, je serai à Cazères-sur-Garonne (31) pour donner l’après-midi une conférence devant des collégiens sur le bon usage des nouvelles technologies et pour intervenir le soir devant les parents sur le thème « Comment aider nos enfants à faire bon usage des écrans ».

Ces conférences auront lieu à l’invitation de la Maison pour Tous de Cazères.

Conférence pour les parents : 

  • Vendredi 6 avril à 20h30 au Cinéma des Capucins (rue des Capucins, 31220 Cazères)
  • Réservation 05.61.90.20.72 / 5 €
  • Public : parents et toutes personnes concernées. Cette conférence, s’adressant exclusivement aux adultes, un espace lecture adapté et encadré à partir de 6 ans est prévu : RDV à l’accueil du cinéma à 20h !

Un dossier complet sur l’Intelligence Artificielle dans le quotidien Les Échos auquel j’ai contribué.

Le quotidien Les Échos a publié ce matin un dossier complet sur l’Intelligence Artificielle.


J’en ai rédigé l’article central : « L’Intelligence artificielle à l’assaut des entreprises. »

 L’année 2018 va voir se multiplier les applications opérationnelles de l’IA. Marketing, maintenance, logistique, contrôle, ressources humaines… toutes les activités seront concernées. Nos conseils pour ne pas passer à côté de cette révolution.

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La rumeur court dans les milieux pharmaceutiques depuis quelques semaines : « Le responsable d’un grand laboratoire pharmaceutique français devait repositionner une molécule arrivée en fin de développement, mais qui ne donnait pas les résultats escomptés. Il a fait plancher en parallèle ses équipes et une solution d’intelligence artificielle, à base de réseaux de neurones : il a obtenu la même réponse, en trois semaines des humains, en 48 heures de l’IA… »

À Paris le 31 mai 2018, pour parler de « Comment acheter en toute sécurité sur Internet, sur mon smartphone, ma tablette »




Le jeudi 31 mai 2018 de 14H30 à 16H30, je serai à l’Espace Réunica Solidarité, 24, rue des Frigos 75013 Paris, pour donner une conférence, destinée aux seniors sur le thème « Comment acheter en toute sécurité sur Internet, sur mon smartphone, ma tablette » :


• Les précautions de base pour protéger ses données personnelles et bancaires ;


• Sur quels sites acheter ;


• Quelques astuces pour comparer les prix et profiter des meilleures opportunités ;


• Le droit de rétractation après avoir passé une commande ;


• La livraison : moment clé de la transaction. Comment réclamer en cas de problème ?


• Comment renvoyer un article qui ne nous satisfait pas.


Espace Réunica Solidarité 24 rue des Frigos, 75013 Paris, France


Téléphone : 01 87 27 28 13


14H30 – 16H30

À Lyon (69), jeudi 22 mars 2018, pour parler de « Comment aider nos enfants à faire bon usage des écrans »

Le jeudi 22 mars 2018, je serai au Centre Scolaire « La Favorite Ste-Thérèse » pour donner une conférence sur le thème « Comment aider nos enfants à faire bon usage des écrans », à l’invitation de l’APEL (Association de Parents d’Élèves) de cet établissement.

20H30Centre Scolaire « La Favorite Ste-Thérèse », 62 rue de la Favorite 69005 LyonEntrée : 5 €

Interviewé par le quotidien Sud-Ouest et France Bleu Gascogne sur les conseils à donner à nos enfants pour faire bon usage des écrans et des réseaux sociaux


Dans le cadre de ma venue à Dax, les 26, 27 et 28 février 2018,  j’ai été interviewé par le quotidien Sud-Ouest (édition de Mont-de-Marsan/Dax du 27 février 2018) sur les conseils à donner à nos enfants pour faire bon usage des écrans et des réseaux sociaux.

À lire sur : http://www.sudouest.fr/2018/02/27/les-parents-doivent-donner-l-exemple-4234656-3350.php


















Et j’étais en direct (par téléphone) sur France Bleu Gascogne.


Vous pouvez réécouter cet interview sur http://radiofrance-podcast.net/podcast09/rss_16250.xml

La vidéo de la table-ronde sur l’intelligence artificielle et la santé que j’ai animée le 12 février 2018




Voici, la vidéo de la table-ronde consacrée à l’intelligence artificielle et la santé que j’ai animée lundi 12 février 2018, avec :

• Jean-Louis Desphieux. Jean-Louis Desphieux, a longtemps été chirurgien ORL. Il est désormais président-directeur général du groupe Courlancy, dont les six cliniques, installées en Champagne-Ardenne, accueillent chaque année entre 90 000 et 100 000 patients. Il est également président délégué de la FHP (Fédération des cliniques et hôpitaux privés de France) Nord-est. L’intelligence artificielle va profondément changer le métier de médecin (amélioration du diagnostic, applications en médecine préventive, solution aux déserts médicaux) et les pratiques chirurgicales : grâce aux robots assistés par l’intelligence artificielle, les opérations seront moins invasives et les séjours en hôpitaux ou cliniques seront moins longs ce qui aura un impact sur l’équilibre économique de ces établissements.

• Marco Fiorini. Ancien spécialiste du data mining (fouille de données) au CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique), Marco Fiorini est le secrétaire général de l’ARIIS (Alliance pour la Recherche et l’Innovation des Industriels de la Santé), qui regroupe les grands industriels français réalisant de la R&D (recherche et développement)  dans le domaine de la santé. Les données – et l’intelligence artificielle qui permet de les analyser –  peuvent être mises au service des patients dans un grand nombre de domaines : diminuer les rejets après une greffe, proposer des traitements personnalisés, faire de la prévention… Mais il est très important que tous les acteurs du système de santé soient mieux préparés à toutes les implications (éthiques, économiques…) de l’utilisation des nouveaux outils, construits à partir de ces données de santé.


• Olivier de Fresnoye. Olivier de Fresnoye est coordinateur du projet Epidemium, qui, entre autres, organise une compétition annuelle visant à stimuler l’utilisation du big data et de l’open data par des équipes transdisciplinaires afin de mieux comprendre l’épidémiologie des cancers. Selon lui, d’ici à quelques années, l’association homme-machine – en clair un professionnel de la médecine assisté par l’intelligence artificielle – permettra d’améliorer la prévention, la détection et la guérison des cancers.


• Pascal Martin. Pascal Martin est chargé de mission numérique à la CNAF (Caisse Nationale des Allocations Familiales), après avoir été détaché pendant trois ans auprès de l’UCANSS (union des caisses nationales de sécurité sociale) pour la mise en place de la transformation numérique de la Sécurité Sociale. Dans le cadre de la table-ronde organisée par la CFE-CGC, il s’exprimera à titre personnel. Les organismes de sécurité sociale français ont désormais intégré la révolution numérique. Ils collectent déjà un grand nombre de données dont l’analyse, grâce à des outils d’intelligence artificielle, est sur le point de révolutionner notre système de santé. Des garde-fous doivent être mis en place pour préserver la confidentialité de ces données. Il faut être également très attentif aux ambitions de certains grands groupes étrangers qui proposent déjà des services dans le domaine de la e-santé.


• Denis Saules. Denis Saules est Directeur Général de Viasante Mutuelle et Directeur Santé du Groupe AG2R la Mondiale. Les données de santé, bientôt collectées à l’aide d’objets connectés, et l’analyse qu’en permettront les outils d’intelligence artificielle vont bouleverser la modélisation du risque par les assureurs mais aussi permettre de mesurer le retour sur investissement d’un certain nombre d’actions de prévention. Le risque est que ces efforts des assureurs pour mieux soigner et mieux garantir soient perçus par le grand public comme une tentative de pénaliser, en termes tarifaires, certains comportements ou certaines pathologies , et, finalement, de gagner plus d’argent.


• 
Christophe Zimmer. Polytechnicien, docteur en astrophysique et science de l’espace, Christophe Zimmer est responsable, à l’Institut Pasteur, du laboratoire « imagerie et modélisation » où physiciens, mathématiciens et biologistes développent ou appliquent des méthodes d’imagerie et de simulations pour mieux comprendre différents aspects de l’organisation des cellules. Ils explorent également les meilleures façons d’appliquer l’intelligence artificielle à l’analyse d’images de microscopie. L’intelligence artificielle et en particulier les réseaux de neurones – qu’il a promis d’expliquer en moins de trois minutes et en des termes compréhensibles par tout le monde ! – peuvent constituer une aide très précieuse pour, par exemple, l’identification de tumeurs et l’interprétation des résultats du séquençage de l’ADN.

Lundi 12 février, à Paris pour animer une table-ronde organisée par la CFE-CGC sur le thème de l’intelligence artificielle et de la santé.

Il reste encore quelques places pour assister à la table-ronde que j‘animerai lundi prochain 12 février 2018, de 18H à 21H, sur le thème de l’intelligence artificielle et de la santé.


Pour vous inscrire, envoyez un mail à : intelligenceartificielle@cfecgc.fr


Cette table-ronde, organisée par la CFE-CGC, à l’ Institut Pasteur (25-28 rue du Dr Roux, 75015 Paris) réunira six experts :



Jean-Louis Desphieux, a longtemps été chirurgien ORL. Il est désormais
président-directeur général du groupe Courlancy, dont les six cliniques,
installées en Champagne-Ardenne, accueillent chaque année entre 90 000 et
100 000 patients. Il est également président délégué de la FHP (Fédération
des cliniques et hôpitaux privés de France) Nord-est. L’intelligence
artificielle va profondément changer le métier de médecin (amélioration du
diagnostic, applications en médecine préventive, solution aux déserts médicaux)
et les pratiques chirurgicales : grâce aux robots assistés par
l’intelligence artificielle, les opérations seront moins invasives et les
séjours en hôpitaux ou cliniques seront moins longs ce qui aura un impact sur
l’équilibre économique de ces établissements.





Ancien spécialiste du data mining (fouille de données) au CEA
(Commissariat à l’Énergie Atomique), Marco Fiorini est le secrétaire général de
l’ARIIS (Alliance pour la Recherche et l’Innovation des Industriels de la
Santé), qui regroupe les grands industriels français réalisant de la R&D
(recherche et développement)  dans le domaine de la santé. Les
données – et l’intelligence artificielle qui permet de les analyser –  peuvent
être mises au service des patients dans un grand nombre de domaines :
diminuer les rejets après une greffe, proposer des traitements personnalisés,
faire de la prévention… Mais il est très important que tous les
acteurs du système de santé soient mieux préparés à toutes les
implications (éthiques, économiques…) de l’utilisation des nouveaux
outils, construits à partir de ces données de santé.



Olivier
de Fresnoye est coordinateur du projet Epidemium, qui, entre autres, organise une
compétition annuelle visant à stimuler l’utilisation du big data et de l’open
data par des équipes transdisciplinaires afin de mieux comprendre
l’épidémiologie des cancers. Selon lui, d’ici à quelques années, l’association
homme-machine – en clair un professionnel de la médecine assisté par l’intelligence
artificielle – permettra d’améliorer la prévention, la détection et la guérison
des cancers.


Pascal Martin est chargé de mission numérique à la CNAF (Caisse Nationale
des Allocations Familiales), après avoir été détaché pendant trois ans auprès
de l’UCANSS (union des caisses nationales de sécurité sociale) pour la
mise en place de la transformation numérique de la Sécurité Sociale. Dans le cadre de la table-ronde organisée
par la CFE-CGC, il s’exprimera à titre personnel.
Les organismes de
sécurité sociale français ont désormais intégré la révolution numérique. Ils
collectent déjà un grand nombre de données dont l’analyse, grâce à des outils
d’intelligence artificielle, est sur le point de révolutionner notre système de
santé. Des garde-fous doivent être mis en place pour préserver la
confidentialité de ces données. Il faut être également très attentif aux
ambitions de certains grands groupes étrangers qui proposent déjà des services
dans le domaine de la e-santé.



Denis
Saules est Directeur Général de Viasante Mutuelle et Directeur Santé du Groupe
AG2R la Mondiale. Les données de santé, bientôt collectées à l’aide d’objets
connectés, et l’analyse qu’en permettront les outils d’intelligence
artificielle vont bouleverser la modélisation du risque par les assureurs mais
aussi permettre de mesurer le retour sur investissement d’un certain nombre d’actions
de prévention. Le risque est que ces efforts des assureurs pour mieux soigner
et mieux garantir soient perçus par le grand public comme une tentative de pénaliser,
en termes tarifaires, certains comportements ou certaines pathologies , et,
finalement, de gagner plus d’argent.




Polytechnicien, docteur en astrophysique et science de l’espace,
Christophe Zimmer est responsable, à l’Institut Pasteur, du laboratoire «
imagerie et modélisation » où physiciens, mathématiciens et biologistes
développent ou appliquent des méthodes d’imagerie et de simulations pour mieux
comprendre différents aspects de l’organisation des cellules. Ils explorent
également les meilleures façons d’appliquer l’intelligence artificielle à
l’analyse d’images de microscopie. L’intelligence artificielle et en
particulier les réseaux de neurones – qu’il a promis d’expliquer en moins de
trois minutes et en des termes compréhensibles par tout le monde ! –
peuvent constituer une aide très précieuse pour, par exemple, l’identification
de tumeurs et l’interprétation des résultats du séquençage de l’ADN.

À Fontenay-aux-Roses (92), le samedi 3 février 2018, pour parler de « Snapchat, Instagram, WhatsApp, Facebook… : ces réseaux sociaux qui fascinent nos enfants »

Samedi 3 février 2018, je serai à Fontenay-aux-Roses (92), pour donner une conférence destinée à des lycéens et des adultes sur le thème « Snapchat, Instagram, WhatsApp, Facebook… : ces réseaux sociaux qui fascinent nos enfants » à l’invitation de la Médiathèque de Fontenay-aux-Roses.











Médiathèque de Fontenay-aux-Roses,6 place du Château Sainte-Barbe92260 Fontenay-aux-Roses

16H – 18H