Hier, Jacques Pradel m’a reçu à l’antenne d’Europe 1 entre 9H30 et 11H, pour parler de mon dernier livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, Internet, jeux vidéo… » (voir le site associé à cet ouvrage : www.nosenfants.fr). Au programme : A quel âge faut-il mettre un enfant devant un ordinateur ? Comment protéger nos enfants des contenus indésirables ? Pourquoi l’école ne forme-t-elle pas plus les enfants aux nouvelles technologies ? Comment expliquer aux enfants qu’il ne faut pas télécharger illégalement de la musique ? Et un débat avec un psychiatre sur la dépendance aux jeux vidéo… Retrouvez l’enregistrement de cette émission sur le site d’Europe 1.
Archives mensuelles : février 2008
Quand les internautes font tout le boulot, les sites web 2.0 touchent le jackpot !
Initiative d’origine allemande, Qype a récemment ouvert une déclinaison française. Le principe ? Du 100% « user generated content » (contenu généré par les utilisateurs). Tout le travail éditorial est fait par les internautes. Après inscription sur Qype.fr, ils peuvent laisser leur avis sur les restos, hôtels, magasins, salons de coiffure… qu’ils ont aimés ou détestés.
Résultat de ce fonctionnement presque entièrement autonome, les frais de gestion de Qype sont extrêmement réduits : le siège, situé à Hambourg, compterait quelque 25 personnes, dont toute l’équipe technique ; le bureau de Londres a 2 salariés et celui de Paris 3. Du coup, Qype Allemagne serait déjà rentable.
Le modèle économique repose sur la « géolocalisation » : il s’agit d’ouvrir des rubriques sur le plus grand nombre possible d’agglomérations, afin de permettre ensuite aux annonceurs d’en cibler la population.
Mais pour couvrir une localité, il faut des internautes qui rédigent des textes sur cet endroit… Plus d’infos dans l’article que j’ai rédigé pour Vnunet.fr.
Faire évaluer les politiques environnementale et sociale de ses sous-traitants devient plus facile
Comment savoir si le sous-traitant de Canton, en Chine, à qui l’on souhaite confier la fabrication d’un navigateur GPS ou d’un hélicoptère radio-commandé pour enfants est « écologiquement et socialement responsable », c’est-à-dire qu’il n’emploie pas d’enfant, ne consomme pas trop d’eau, n’émet pas trop de C02, etc. ? La question se pose avec de plus en plus d’acuité : les ONG (Organisations Non-Gouvernementales ) et la justice sont en effet de plus en plus promptes à dénoncer et condamner les entreprises qui ferment les yeux sur les pratiques douteuses de leurs fournisseurs. La réponse classique – envoyer un consultant pour réaliser un audit fournisseur – revient à plusieurs milliers d’euros. Les nouvelles technologies rendent possibles des solutions beaucoup moins coûteuses. Voir l’article que j’ai rédigé à ce sujet et que Vnunet.fr a publié hier.
Recycler, oui, mais… jusqu'à quel point ?
Un Etat américain impose de recycler 60 % des appareils comportant un écran. Les fabricants ont trouvé une solution, mais certains observateurs pointent un paradoxe : un recyclage trop poussé pourrait à terme avoir un coût… pour l’environnement. Lire l’article que j’ai consacré à ce sujet dans les Echos d’hier.
Recycler, oui, mais… jusqu’à quel point ?
Un Etat américain impose de recycler 60 % des appareils comportant un écran. Les fabricants ont trouvé une solution, mais certains observateurs pointent un paradoxe : un recyclage trop poussé pourrait à terme avoir un coût… pour l’environnement. Lire l’article que j’ai consacré à ce sujet dans les Echos d’hier.
Partage de fichiers : les projets de réseaux communautaires privés se multiplient
La notion de partage a encore de beaux jours devant elle. En tout cas sur le Web. Pour preuve, ce qui se passe dans le domaine des « réseaux communautaires privés destinés au grand public ».
Sous ce vocable un peu abscons se cachent en fait des logiciels, relativement faciles à installer, qui permettent à n’importe qui, doté d’une connexion Internet, de partager des fichiers situés sur son disque dur (ses photos, ses écrits, ses films…), avec une autre personne également équipée d’un accès au web et du même programme. Du peer to peer, en quelque sorte, mais réservé à sa famille ou ses amis. J’ai publié aujourd’hui sur Vnunet.fr un comparatif de trois initiatives françaises dans ce domaine : Gigatribe, Peer2me et Weezo.
Le téléphone qui trouve le bon interlocuteur
L’accueil téléphonique est souvent un cauchemar pour les entreprises. Appels perdus, interlocuteur introuvable, attente interminable… J’ai publié vendredi dernier un article dans les Echos sur Siderion Technologies, une jeune entreprise basée à Talence, près de Bordeaux, dont le logiciel permet de personnaliser la réception des appels.
Sept vidéos sur la dépendance aux jeux en ligne
Je viens de mettre en ligne sur le site www.nosenfants.fr, sept extraits vidéo de l’entretien que le Dr Marc Valleur, psychiatre, directeur de l’Hôpital Marmottan, à Paris, spécialiste des problèmes de dépendance, m’avait accordé le 14 juin 2007, dans le cadre de la préparation de mon enquête Les 90 questions que tous les parents se posent…
Dans ces petits films de une à trois minutes, le Dr Marc Valleur nous parle de l’addiction aux jeux vidéo.
Il nous présente les trois facteurs de la dépendance :
1 les jeux massivements multi-joueurs,
Un jeu massivement multi-joueurs en ligne, c’est quoi ?
2 un environnement familial tendu,
L’impact de l’environnement familial sur les joueurs
3 l’entrée dans l’âge adulte,
L’adolescence, période charnière
Puis, il nous explique pourquoi ces jeunes s’attachent aux jeux massivement multi-joueurs,
L’attrait que les jeux massivement multi-joueurs exercent sur les jeunes
Enfin, il nous donne quelques conseils pratiques :
• comment savoir si mon enfant est devenu dépendant aux jeux vidéo :
Comment savoir si mon enfant est « addict » aux jeux vidéo ?
• et que faire si l’on croit que son enfant est devenu dépendant aux jeux vidéo :
Que faire si l’on croit que son enfant a développé une addiction aux jeux vidéo ?
Pour visionner ces vidéos, vous devez disposer du logiciel QuickTime.
Si besoin, vous pouvez le télécharger sur http://support.apple.com/downloads/#quicktime
Une conférence à écouter en ligne : 'Services & libertés. Demain, tous fichés ?'
Le 10 décembre dernier, l’Inria (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique) avait organisé, dans le cadre de ses 40 ans, une conférence sur le thème « Services & libertés. Demain, tous fichés ? »
Participaient à cette table-ronde, que j’animais* :
* Barbara Cassin (Centre Léon Robin, CNRS – Université Paris 4, auteur de Google-moi)
* Sébastien Canevet (spécialiste droit de l’Internet et des nouveaux médias)
* Alex Türk (sénateur du Nord et président de la CNIL – Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés)
(Peter Fleischer, responsable de la protection des données chez Google Europe, était également invité, mais, après avoir donné son accord, a dû se décommander)
Vous pouvez écouter cette conférence et en lire la retranscription écrite sur le site de l’Inria.
* en contre-partie de mon aide dans la préparation de cette table-ronde et de son animation, l’Inria s’est engagé à faire un don à la Fondation de France.
Une conférence à écouter en ligne : ‘Services & libertés. Demain, tous fichés ?’
Le 10 décembre dernier, l’Inria (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique) avait organisé, dans le cadre de ses 40 ans, une conférence sur le thème « Services & libertés. Demain, tous fichés ? »
Participaient à cette table-ronde, que j’animais* :
* Barbara Cassin (Centre Léon Robin, CNRS – Université Paris 4, auteur de Google-moi)
* Sébastien Canevet (spécialiste droit de l’Internet et des nouveaux médias)
* Alex Türk (sénateur du Nord et président de la CNIL – Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés)
(Peter Fleischer, responsable de la protection des données chez Google Europe, était également invité, mais, après avoir donné son accord, a dû se décommander)
Vous pouvez écouter cette conférence et en lire la retranscription écrite sur le site de l’Inria.
* en contre-partie de mon aide dans la préparation de cette table-ronde et de son animation, l’Inria s’est engagé à faire un don à la Fondation de France.