Visioconférence demain soir, jeudi 7 mai 2020 : « Impact des écrans sur les jeunes enfants et comment les protéger des contenus inappropriés »


Il reste quelques places pour la visioconférence que je donnerai demain soir, jeudi 7 mai 2020, à 20H30, à l’invitation d’une association familiale, sur le thème « l’Impact des écrans sur les jeunes enfants et comment les protéger des contenus inappropriés ». 


Retirez votre invitation sur : https://bit.ly/visiojeunes

Participation libre

Enfants et écrans : comment gérer le confinement et… après ?

En ces temps de confinement, beaucoup de parents autorisent leurs enfants à passer plus de temps sur les écrans pour faciliter le lien avec l’école et les amis. Avec le risque de créer des habitudes sur le long terme, y compris lors du retour à une vie « normale ». Comment gérer cette situation inédite au mieux, sans tomber dans l’excès ?


J’ai publié ce matin une enquête dans le quotidien Les Échos sur la gestion des écrans pendant le confinement. Avec, entre autres, 4 attitudes positives (informer, rassurer, valoriser le vivre-ensemble et rythmer le quotidien) à avoir et 10 règles d’or à respecter.

Pour lire cet article : bit.ly/ecransconfinement

Confinement et temps d’écran des enfants

Fermeture des établissements scolaires, des lieux publics interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes, et enfin confinement (que je vous invite tous, bien sûr, à respecter le plus scrupuleusement possible). Inutile de dire que toutes mes conférences ont été annulées.
 
En attendant des temps meilleurs et de pouvoir repartir sur les routes, je vous propose quelques conseils pour vous aider à encadrer l’utilisation des réseaux sociaux par vos (pré)adolescentes et (pré)adolescents, qui vont bénéficier d’un peu plus de temps libres au cours des prochaines semaines.
 
Bien sûr, il est normal, en cette période de confinement, qu’ils veuillent retrouver leurs ami(e)s sur WhatsApp, Instagram, Snapchat, TikTok…
 
Beaucoup de parents de collégien(ne)s qui, jusqu’ici avaient tenu bon, ont légitimement donné un téléphone mobile ou un smartphone à leur enfant afin qu’il puisse garder le contact avec ses camarades de classe, pour échanger des nouvelles ou travailler en groupes. 
 
Mais, nous parents, pouvons aussi profiter de ces moments – plus longs que d’habitude – que nous allons passer avec eux pour entamer un dialogue constructif au sujet des écrans et plus particulièrement des réseaux sociaux. 
 
C’est d’abord l’occasion d’insister sur le fait que ces semaines sont exceptionnelles. Certes il sera difficile de reprendre leur appareil à ceux qui viennent d’en avoir un, mais il sera souhaitable de restreindre le temps d’utilisation de tous, une fois la situation sanitaire redevenue normale. 
 
Il faut d’abord encourager la prudence : WhatsApp, qui, normalement, ne permet de créer que des groupes fermés à partir des numéros de téléphone des personnes que l’on connaît, est plus sécurisé, a priori, que les autres réseaux où l’on peut être abordé par des inconnus.
 
Il faut ensuite rappeler à nos enfants, en termes simples, le modèle économique de ces applications. Lorsque j’interviens devant des collégiens ou des lycéens, je leur explique que ces plateformes n’ont qu’un seul but : leur faire passer le maximum de temps devant leurs écrans afin de pouvoir leur montrer le plus de publicités possibles et, ainsi, maximiser leurs profits. Je leur détaille également quelques astuces mises au point par les Instagram et autres Snapchat pour capter leur attention : l’autoplay* (les vidéos qui se déclenchent automatiquement), les flammes sur Snapchat**…
 
Si vous souhaitez en savoir plus sur les conséquences du temps passé par les jeunes sur les réseaux sociaux, je vous invite à lire l’article que j’ai publié en novembre dernier dans le quotidien Les Échos après avoir rencontré une dizaine d’universitaires spécialistes du sujet dans la Silicon Valley :  Comment décrocher les ados de leurs écrans ?  http://bit.ly/decrocherdesreseaux 
 
 
 
 
Enfin, si, comme moi, vous êtes persuadés que même en la période actuelle, nos enfants ne doivent pas avoir un accès illimité aux réseaux sociaux, mais que leur temps d’écran doit être encadré, voici quelques conseils pratiques sous forme d’une vidéo de 110 secondes : http://bit.ly/aiderados 

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*autoplay : déclenchement automatique des vidéos apparaissant dans les fils d’actualité, sur les réseaux sociaux tels qu’Instagram. Nous commençons à voir le début d’une vidéo, d’une histoire, ce qui nous incite à la voir jusqu’au bout et, ainsi, à passer plus de temps sur ces réseaux sociaux.
**les flammes sur Snapchat : au bout de trois jours consécutifs de conversation avec la même personne sur Snapchat, les échanges avec cet(te) ami(e) sont ornés de dessins de flamme. Mais si vous passez un jour sans discuter avec cette personne sur Snapchat, les flammes disparaissent ! Cela incite les jeunes à revenir tous les jours sur Snapchat.

Affaire Benjamin Griveaux / Petit rappel à destination des adolescents : une fois envoyé, un contenu numérique est irrattrapable !

 
 
Inutile, ici, de revenir sur la nature de la vidéo tournée par un candidat à la mairie de Paris. Ni de détailler les conséquences de sa diffusion. Les média les ont largement évoquées.
 
Je voudrais juste répéter le conseil que je donne aux adolescentes et adolescents au cours de mes interventions dans les collèges ou les lycées :  une fois envoyé par voie numérique (SMS, email, réseaux sociaux, plateformes de partage de fichiers…), un contenu est irrattrapable !
 
Les raisons qui nous poussent à avoir tel ou tel échange avec une autre personne sur les réseaux sociaux sont multiples : répondre à une invitation ou à une provocation, attirer l’attention des autres, profiter de la dématérialisation des relations qu’offre le numérique pour vaincre sa timidité…
 
Mais, quel que soit ce motif, mieux vaut réfléchir à deux fois avant d’envoyer un contenu au format numérique.
 
Avant, la sagesse enseignait de « tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler ».
 
Je dis aux jeunes d’aujourd’hui :
 
       mieux vaut tourner sept fois son doigt autour de son smartphone, de sa tablette ou de son ordinateur avant de cliquer sur le bouton “envoyer” et d’expédier dans le cyberespace une photo, un vidéo ou un texte. Une fois lâché, ce contenu sera irrattrapable. Vous pourrez toujours l’effacer de votre appareil ou du réseau social sur lequel vous l’avez publié. Mais vous ne pourrez pas empêcher un de ses destinataires d’en avoir réalisé, entre temps, une copie qu’il pourra diffuser à son tour.
 
       Avant d’envoyer quoi que ce soit au format numérique, il faut se poser deux questions : cela ne risque-t-il pas de se retourner contre moi dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois, quelques années ? Et cela ne risque-t-il pas de faire du mal à quelqu’un dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois, quelques années ?
 
Et je donne un exemple aux adolescentes et adolescents. Il y a quelques années je suis intervenu, quelque part en France, dans un lycée agricole, doté d’un pensionnat. À la fin de ma conférence, la conseillère principale d’éducation a connecté son ordinateur portable au vidéo projecteur et s’est adressé à un des pensionnaires :
 
       regarde les photos de toi que j’ai trouvées !
 
Cet élève s’était photographié buvant de l’alcool dans sa chambre d’interne – ce qui constituait un motif de renvoi – et avait publié ces clichés sur un réseau social.
 
         Que cela te serve de leçon !, a repris la CPE. Cette fois-ci, je passe l’éponge mais ce soir tu effaces ces images !
 
J’ai aussitôt repris la parole :
       Ah, non ! Il ne va pas les effacer ce soir, mais maintenant : nous allons le laisser sortir et il va les effacer tout de suite ! Sinon, d’ici à ce soir, un de ses camarades va réaliser des copies de ces photos et elles seront irrattrapables !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Mardi 19 mai 2020, à Paris, pour parler de « Faux sites, phishing et autres arnaques du Net : comment s’en protéger »

Mardi 19 mai 2020,  j’interviendrai, de 14H30 à 16H30 chez Espace Idées Bien chez Moi (ex Réunica Domicile), sur le thème « Faux sites, phishing et autres arnaques du Net : comment s’en protéger ».

La plupart des internautes ne rencontrent pas de problème au cours de leurs visites sur le Web. Il existe cependant un certain nombre de traquenards dont il vaut mieux avoir connaissance afin de les éviter et de naviguer en toute sécurité :

  • Recherche en ligne : sites des entreprises ou artisans. Comment vérifier leur sérieux ? Savoir différencier les sites officiels des faux ;
  • Les vrais-faux avis des consommateurs sur Internet ;
  • Phishing et messages d’arnaque : pseudo remboursements des impôts ou de la sécurité sociale ; messages demandant de l’argent et provenant de connaissances dont l’adresse mail a été  piratée ;
  • Comment cela est-il possible : sur le Dark Net on trouve tout (mots de passe, numéros de cartes bancaires, listing d’adresses mail…) ;
  • Loteries gratuites qui se révèlent payantes ;
  • Abonnements qui se renouvellent automatiquement ;
  • Les bons réflexes pour se protéger ;
  • Les recours en cas d’arnaque. 


Cette conférence est gratuite et ouverte à tous.

Espace idées Bien chez moi
7, Cité Paradis – 75010 Paris
Tél. : 01 71 72 58 00
Courriel : accueil@espace-idees.fr

Mardi 3 mars 2020, à Paris, pour parler de « Comment préparer ma « succession numérique » ? »

Mardi 3 mars 2020, j’interviendrai, de 14H30 à 16H30 chez Espace Idées Bien chez Moi (ex Réunica Domicile), sur le thème « Comment préparer ma « succession numérique » ? » :


    • Quels documents dois-je numériser ?    • Comment les sauvegarder dans un coffre-fort numérique ?    • Comment transmettre mes données en ligne (documents patrimoniaux, photos, vidéos…) ?    • Comment désigner un tiers de confiance qui s’occupera de mon profil Facebook ou de mon compte Google quand je ne serai plus là ?    • Mes descendants pourront-ils hériter des musiques et films que j’ai achetés en ligne (par exemple sur iTunes…) ? 

Cette conférence est gratuite et ouverte à tous.

Espace idées Bien chez moi7, Cité Paradis – 75010 ParisTél. : 01 71 72 58 00Courriel : accueil@espace-idees.fr

Le silicium fondu, la batterie de demain ?

J’ai publié mardi dernier dans la quotidien Les Échos une enquête sur les pistes explorées pour créer de nouvelles formes de stockage de l’électricité, nécessaires pour compenser les aléas de production des énergies renouvelables.

Une des solutions les plus sérieusement étudiées consiste à utiliser l’électricité produite par une centrale photovoltaïque ou des éoliennes pour chauffer un matériau, puis, quand on a besoin d’électricité, d’effectuer l’opération inverse : transformer la chaleur en électricité.

Pour lire cet article, cliquez sur ce lien : http://bit.ly/batteriedemain

Ce soir à Boulogne-Billancourt (92) pour commenter le film « Le Ciel attendra »

Jeudi 16 janvier 2020, je serai à Boulogne-Billancourt, pour participer, aux côtés de Sandrine Sfez, psychologue, au débat qui suivra la projection du film « Le Ciel attendra », consacré à un sujet difficile : les destins parallèles de deux jeunes filles (et de leur famille) qui se radicalisent après avoir été embrigadées par des rabatteurs sur Internet.


À l’invitation des responsables des activités Art et culture de la Maison Saint François de Sales à Boulogne-Billancourt.

Accueil et pot à 19H.

Projection à 20H.

Billetterie en ligne sur http://www.habemus-cine.fr/billetterie-lca/






Internet, téléphone mobile, jeux vidéo… la révolution numérique affecte toute notre vie