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« Avec les nouvelles technologies, il y aura toujours un décalage parents-enfants »


Arnaud Devillard, journaliste pour 01net, m’a demandé mon avis sur les dangers des nouvelles technologies pour les mineurs et sur les conseils à donner aux parents pour aider leurs enfants à tirer le meilleur profit de ces outils.

Retrouvez cet interview, paru vendredi dernier, sur : http://www.01net.com/editorial/404250/-avec-les-nouvelles-technologies-il-y-aura-toujours-un-decalage-parents-enfants-/?rss

Pour moi, il est évident que les nouvelles technologies constituent des outils formidables, auxquels les jeunes doivent avoir accès. Les parents doivent cependant être prévenus d’un certain nombre de dangers qui existent, afin d’établir un dialogue constructif avec leurs enfants.

Comme je le dis souvent aux parents, au cours des conférence que je suis régulièrement amené à donner sur ce sujet (voir le site LesConfs.net), « si vous rentrez chez vous et que vous jetez à la poubelle ordinateur, console de jeux et téléphone portable, c’est que j’ai raté quelque chose ! »

« Avec les nouvelles technologies, il y aura toujours un décalage parents-enfants »


Arnaud Devillard, journaliste pour 01net, m’a demandé mon avis sur les dangers des nouvelles technologies pour les mineurs et sur les conseils à donner aux parents pour aider leurs enfants à tirer le meilleur profit de ces outils.

Retrouvez cet interview sur : http://www.01net.com/editorial/404250/-avec-les-nouvelles-technologies-il-y-aura-toujours-un-decalage-parents-enfants-/?rss

Pour moi, il est évident que les nouvelles technologies constituent des outils formidables, auxquels les jeunes doivent avoir accès. Les parents doivent cependant être prévenus d’un certain nombre de dangers qui existent, afin d’établir un dialogue constructif avec leurs enfants.

Comme je le dis souvent aux parents, au cours des conférence que je suis régulièrement amené à donner sur ce sujet (voir le site LesConfs.net), « si vous rentrez chez vous et que vous jetez à la poubelle ordinateur, console de jeux et téléphone portable, c’est que j’ai raté quelque chose ! »

Interviewé sur France 24 sur le cyberharcèlement


Natalia Gallois, journaliste pour l’émission « Sur le Net » diffusée sur la chaîne internationale France 24, m’a interviewé dans le cadre d’un reportage qu’elle réalisait sur le cyberharcèlement et qui a été diffusé ce week-end.
Vous pouvez retrouver ce reportage sous forme de podcast en vous rendant sur la page http://www.france24.com/fr/podcasts/video, puis en choisissant l’émission Sur le Net (en bas de la page), puis en téléchargeant l’émission datée du 7 mars 2009.
Le cyberharcèlement concerne surtout les pré-adolescents et les adolescents. Il consiste à utiliser les nouvelles technologies pour harcéler un mineur en lui envoyant des messages non sollicités sur son téléphone portable, sur sa messagerie électronique, ainsi que via FaceBook ou un autre réseau social. Il peut également s’agir de détourner un cliché récupéré sur un blog ou un réseau social, de façon à ridiculiser le jeune pris en photo. Cette image, éventuellement modifiée grâce à un logiciel de retouche, est ensuite diffusée sur Internet ou par mobile.

L’usine de retraitement de La Hague (Manche), en France

La société Areva vient de publier un communiqué annonçant qu’un «transport en cours de préparation de combustibles nucléaires MOX entre l’Europe et le Japon partira de France.»

Rappelons que le MOX (Mélange d’OXydes) est un combustible, destiné aux centrales nucléaires civiles.

En France, deux sites participent à la fabrication du Mox : l’usine de retraitement de La Hague (photo ci-dessus : cliquez dessus ou ici pour l’agrandir), située dans le département de la Manche et l’usine Areva Mélox de Marcoule, située à cheval sur les communes de Chusclan et de Codolet, près de Bagnols-sur-Cèze, dans le Gard.

Pour produire du MOX, il faut en effet du plutonium et de l’uranium appauvri. Le Mox contient des oxydes d’uranium (UO2) et de plutonium (PuO2). Il est composé de 6 à 7 % de plutonium et de 93 % d’uranium appauvri.

Le plutonium est extrait à La Hague des barres d’uranium « brûlées » dans un réacteur nucléaire, civil ou militaire : une fois le réacteur en activité, l’uranium 235 contenu dans les barres de combustible est peu à peu remplacé par du plutonium 239. La Hague a été choisie par les autorités françaises pour y installer une usine de retraitement en raison du faible risque de tremblement de terre (présence d’un socle géologique ancien et stable) et de la présence de courants marins et de vents forts susceptibles d’évacuer rapidement les « effluents ». Inaugurées en 1966, les installations de La Hague ont d’abord servi au programme militaire français d’armement nucléaires. A la fin des années soixante, l’usine s’est orientée vers le traitement du combustible civil.

Le plutonium, obtenu à La Hague est ensuite mixé à Marcoule avec de l’uranium appauvri issu de l’étape d’enrichissement de l’uranium (l’uranium naturel contient trois types d’isotopes, c’est-à-dire trois variantes d’un même élément caractérisée par le nombre de neutrons dans leur noyau : 99,28% d’uranium 238 – ou U238 -, 0,71% d’U235 et 0,0054% d’U234. Seul l’U235 est fissile, c’est-à-dire qu’il peut engendrer une réaction en chaîne. Et sa proportion doit atteindre 3 à 5% pour servir de combustible dans une centrale nucléaire et plus de 90% pour servir d’explosif dans une bombe nucléaire. Augmenter la teneur en U235 est l’objectif de l’enrichissement).

Une dizaine de compagnies électriques japonaises gérant des centrales atomiques ont des projets d’utilisation de Mox. Areva a signé des contrats avec un producteur de combustible nucléaire japonais, NFI (Nuclear Fuel Industries), pour la fourniture de Mox destiné à quatre de ces compagnies électriques : en 2006 avec Chubu, Kyushu et Shikoku, et en 2008 avec Kansai.

Le contrat avec Kansai, par exemple, «porte sur l’approvisionnement de 16 assemblages combustibles MOX destinés aux unités 3 et 4 de la centrale nucléaire de TAKAHAMA, implantée dans la préfecture de Fukui (Japon). La fabrication des combustibles se déroulera à l’usine AREVA de MELOX (Gard, France). Le plutonium issu du traitement à l’usine AREVA de La Hague des combustibles usés sera ainsi recyclé puis renvoyé au Japon sous forme de MOX.»

A noter que le communiqué publié par Areva au sujet du transport de Mox en cours de préparation, indique : «En accord avec les Gouvernements des 3 pays concernés (France, Japon et Royaume-Uni), et pour d’évidentes raisons de sécurité, la communication sur cette opération sera faite de la façon suivante par AREVA, nos trois clients électriciens japonais (Chubu Electric Power Company, Shikoku Electric Power Company et Kyushu Electric Power Company) et par la NDA britannique, qui en sont parties prenantes:
• les informations relatives aux opérations seront diffusées dans les jours qui les précèdent
• l’heure du départ d’Europe vers le Japon et la route maritime qui sera suivie seront communiquées le jour suivant le départ d’Europe.

Une communication similaire est mise en place simultanément au Japon par les industriels impliqués dans ces opérations (Chubu Electric Power Company, Shikoku Electric Power Company et Kyushu Electric Power Company) et au Royaume Uni par la NDA.»

En quoi la NDA (Nuclear Decommissioning Authority – l’autorité chargée de superviser le démantèlement des installations nucléaires anglaises) et le gouvernement britannique sont-ils concernés par ce transport de Mox partant de France et à destination du Japon ?

Il semble que du plutonium anglais soit utilisé par Areva pour fabriquer du Mox. Le fabricant anglais Sellafield Limited n’a jamais réussi à faire fonctionner correctement son usine de Mox, située à Sellafield. Pour tenir ses engagements, Sellafield Limited aurait sous-traité une partie de sa production de Mox à Areva. En compensation, l’industriel français recevrait du plutonium anglais (voir l’article consacré à Sellafield sur l’Atlas du Nucléaire).

Sources :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cap_de_la_Hague

http://fr.wikipedia.org/wiki/Usine_de_retraitement_de_la_Hague

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mox

http://www.lahague.areva-nc.com

La France importe du plutonium anglais en toute discrétion, article publié le 21.05.08, Lemonde.fr

L'usine de retraitement de La Hague (Manche), en France

La société Areva vient de publier un communiqué annonçant qu’un «transport en cours de préparation de combustibles nucléaires MOX entre l’Europe et le Japon partira de France.»

Rappelons que le MOX (Mélange d’OXydes) est un combustible, destiné aux centrales nucléaires civiles.

En France, deux sites participent à la fabrication du Mox : l’usine de retraitement de La Hague (photo ci-dessus : cliquez dessus ou ici pour l’agrandir), située dans le département de la Manche et l’usine Areva Mélox de Marcoule, située à cheval sur les communes de Chusclan et de Codolet, près de Bagnols-sur-Cèze, dans le Gard.

Pour produire du MOX, il faut en effet du plutonium et de l’uranium appauvri. Le Mox contient des oxydes d’uranium (UO2) et de plutonium (PuO2). Il est composé de 6 à 7 % de plutonium et de 93 % d’uranium appauvri.

Le plutonium est extrait à La Hague des barres d’uranium « brûlées » dans un réacteur nucléaire, civil ou militaire : une fois le réacteur en activité, l’uranium 235 contenu dans les barres de combustible est peu à peu remplacé par du plutonium 239. La Hague a été choisie par les autorités françaises pour y installer une usine de retraitement en raison du faible risque de tremblement de terre (présence d’un socle géologique ancien et stable) et de la présence de courants marins et de vents forts susceptibles d’évacuer rapidement les « effluents ». Inaugurées en 1966, les installations de La Hague ont d’abord servi au programme militaire français d’armement nucléaires. A la fin des années soixante, l’usine s’est orientée vers le traitement du combustible civil.

Le plutonium, obtenu à La Hague est ensuite mixé à Marcoule avec de l’uranium appauvri issu de l’étape d’enrichissement de l’uranium (l’uranium naturel contient trois types d’isotopes, c’est-à-dire trois variantes d’un même élément caractérisée par le nombre de neutrons dans leur noyau : 99,28% d’uranium 238 – ou U238 -, 0,71% d’U235 et 0,0054% d’U234. Seul l’U235 est fissile, c’est-à-dire qu’il peut engendrer une réaction en chaîne. Et sa proportion doit atteindre 3 à 5% pour servir de combustible dans une centrale nucléaire et plus de 90% pour servir d’explosif dans une bombe nucléaire. Augmenter la teneur en U235 est l’objectif de l’enrichissement).

Une dizaine de compagnies électriques japonaises gérant des centrales atomiques ont des projets d’utilisation de Mox. Areva a signé des contrats avec un producteur de combustible nucléaire japonais, NFI (Nuclear Fuel Industries), pour la fourniture de Mox destiné à quatre de ces compagnies électriques : en 2006 avec Chubu, Kyushu et Shikoku, et en 2008 avec Kansai.

Le contrat avec Kansai, par exemple, «porte sur l’approvisionnement de 16 assemblages combustibles MOX destinés aux unités 3 et 4 de la centrale nucléaire de TAKAHAMA, implantée dans la préfecture de Fukui (Japon). La fabrication des combustibles se déroulera à l’usine AREVA de MELOX (Gard, France). Le plutonium issu du traitement à l’usine AREVA de La Hague des combustibles usés sera ainsi recyclé puis renvoyé au Japon sous forme de MOX.»

A noter que le communiqué publié par Areva au sujet du transport de Mox en cours de préparation, indique : «En accord avec les Gouvernements des 3 pays concernés (France, Japon et Royaume-Uni), et pour d’évidentes raisons de sécurité, la communication sur cette opération sera faite de la façon suivante par AREVA, nos trois clients électriciens japonais (Chubu Electric Power Company, Shikoku Electric Power Company et Kyushu Electric Power Company) et par la NDA britannique, qui en sont parties prenantes:
• les informations relatives aux opérations seront diffusées dans les jours qui les précèdent
• l’heure du départ d’Europe vers le Japon et la route maritime qui sera suivie seront communiquées le jour suivant le départ d’Europe.

Une communication similaire est mise en place simultanément au Japon par les industriels impliqués dans ces opérations (Chubu Electric Power Company, Shikoku Electric Power Company et Kyushu Electric Power Company) et au Royaume Uni par la NDA.»

En quoi la NDA (Nuclear Decommissioning Authority – l’autorité chargée de superviser le démantèlement des installations nucléaires anglaises) et le gouvernement britannique sont-ils concernés par ce transport de Mox partant de France et à destination du Japon ?

Il semble que du plutonium anglais soit utilisé par Areva pour fabriquer du Mox. Le fabricant anglais Sellafield Limited n’a jamais réussi à faire fonctionner correctement son usine de Mox, située à Sellafield. Pour tenir ses engagements, Sellafield Limited aurait sous-traité une partie de sa production de Mox à Areva. En compensation, l’industriel français recevrait du plutonium anglais (voir l’article consacré à Sellafield sur l’Atlas du Nucléaire).

Sources :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cap_de_la_Hague

http://fr.wikipedia.org/wiki/Usine_de_retraitement_de_la_Hague

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mox

http://www.lahague.areva-nc.com

La France importe du plutonium anglais en toute discrétion, article publié le 21.05.08, Lemonde.fr

Je serai ce soir à St Gilles Croix de Vie, pour parler de : "Internet, portable, jeux vidéo… : comment aider nos enfants ?"

A l’invitation du Centre Socio-culturel « La P’tite gare » 35 rue du Maréchal Leclerc St Gilles Croix de Vie (http://www.lapetitegare.com)

Avec la participation de la Caf (Caisses d’Allocations familiales) de la Vendée, de la Ville de Saint Gilles Croix de Vie, du ministère de la Santé et des Solidarités/ministère de l’Emploi, de la Cohésion Sociale et du Logement.

Conférences sur les nouvelles technologies utilisées pour lutter contre la prolifération nucléaire

L’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique – basée à Vienne en Autriche), chargée, par l’ONU, des problèmes de prolifération nucléaire, mène un important programme de recherche et développement pour tenter de déceler à distance des activités atomiques clandestines.

Ces travaux sont sous-traités aux Etats membres de l’AIEA.

La France, par exemple, planche sur la mise au point de radars à pénétration de sol, capables de détecter des installations souterraines. Le CEA/DAM (Direction des applications militaires du Commissariat à l’Energie Atomique) a développé un prototype de la taille d’une tondeuse à gazon qui envoie des ondes électromagnétiques dans le sol où il peut « voir » jusqu’à 50 mètres de profondeur. L’objectif est que les inspecteurs disposent d’un outil, portable et fiable, pour s’assurer qu’on ne leur dissimule rien lors de leurs visites sur le terrain.

Les Allemands, eux, s’intéressent à la reconnaissance automatique des changements dans les images satellites. Deux clichés d’une même installation, pris à quelques mois d’intervalle, révèlent les travaux réalisés. Pour que cette identification soit automatique, les données doivent être uniformisées. Il faut d’abord corriger les informations géométriques : soit on modifie une des deux images pour la rendre compatible avec l’autre, soit on ajuste les deux images par rapport à une référence commune, par exemple, une projection cartographique donnée. Il faut ensuite tenir compte des données atmosphériques, comme la position du soleil, l’ensoleillement et les performances des capteurs des satellites… Reste ensuite à analyser les changements repérés. Cela peut se faire pixel par pixel ou objet par objet (un objet étant défini par sa forme et sa couleur spectrale) ou encore en mélangeant ces deux approches. Un dispositif de surveillance expérimental a ainsi été mis en place pour 17 sites nucléaires iraniens. Il est capable de signaler, avec un taux d’erreur de 10%, de nouvelles installations « industrielles » qui apparaissent dans ces zones et de suivre leur évolution.

Autre axe de recherche : la surveillance de l’atmosphère. Les Américains possèdent une très longue expérience dans ce domaine. Déjà en 1944, ils envoyaient des avions équipés de filtres à particules survoler l’Allemagne à la recherche de Xénon 133, un gaz rare émis par les réacteurs nucléaires et lors d’une explosion atomique. A partir de 1951, les Américains estimaient la production de plutonium soviétique en mesurant le Krypton 85, un gaz rare émis lors du retraitement. Ces méthodes sont toujours appliquées. Elles sont par exemple au cœur du réseau mondial de détection créé pour garantir le Traité d’Interdiction Complète des Essais Nucléaires. Plus connu sous son sigle anglais, CTBT (Comprehensive Test Ban Treaty), cet accord oblige les pays signataires à renoncer à tout essai, souterrain ou atmosphérique. Pour prendre les contrevenants la main dans le sac, 321 stations de mesure des radionucléides, entre autres, ont été implantées dans 89 pays.

L’AIEA songe à utiliser des techniques similaires pour repérer des opérations clandestines de retraitement du plutonium ou d’enrichissement de l’uranium. Une première évaluation, commandée en 1999, avait donné des résultats mitigés. La détection, à l’aide d’un réseau de stations terrestres, des particules d’Uranium Hautement Enrichi émises par une usine d’enrichissement clandestine ne pouvait se faire que sur une zone géographique réduite, par exemple, la péninsule coréenne. Sauf accident, les quantités d’Uranium Hautement Enrichi que les centrifugeuses relâchent dans l’atmosphère sont en effet extrêmement faibles : de l’ordre de 0,01 gramme à 1 gramme par an pour toute une usine d’enrichissement.

En revanche, l’identification du retraitement du plutonium semblait plus facile. Le Krypton 85 émis par un petit atelier de retraitement peut-être détecté jusqu’à 100 kilomètres de distance par une station située sous le vent et analysant l’air en permanence. L’étude de l’AIEA concluait qu’un réseau de 26 stations avait toutes les chances de repérer des opérations secrètes de retraitement sur une zone de 1 million de mètres carrés, à cheval sur l’Arabie Saoudite, l’Irak, l’Iran, la Jordanie, le Koweït, la Syrie et la Turquie…

Cependant, la capture, puis l’analyse de quelques nano grammes de Krypton ne sont pas simples. De l’échantillon atmosphérique, il faut retirer, à l’aide de différents pièges chimiques, l’azote, l’oxygène, le gaz carbonique, l’eau, le radon et d’autres éléments à l’état de trace. L’utilisation à différentes températures (de – 193° à + 300°) de charbons actifs, complétée par une purification, permet de séparer le gaz noble, qui est ensuite mesuré.

Le résultat est alors comparé avec la « norme » locale. Malheureusement, le bruit de fond en Krypton est important, ce qui complique les choses. Dans l’hémisphère nord, le niveau normal de Krypton 85 est déjà de 1,5 Bq/m3.

Reste ensuite à savoir d’où viennent les particules repérées. C’est là qu’intervient la modélisation atmosphérique, qui traite aussi bien des courants atmosphériques que de la chimie de l’atmosphère : les polluants et les éléments végétaux trouvés dans un échantillon d’air permettent d’en localiser la provenance.

Enfin, à plus long terme, les spécialistes de la lutte contre la prolifération misent sur la détection des antineutrinos pour confondre les Etats indélicats qui produiraient dans leurs réacteurs civils plus de plutonium qu’ils ne veulent bien l’admettre.

Renseignements : jhenno@yahoo.com

Conférences sur les nouvelles technologies et l’environnement

Réchauffement de la planète, maladies liées à la pollution atmosphérique, diminution des réserves d’énergies fossiles… Si elle veut survivre, notre civilisation doit très rapidement changer ses modèles de production et de consommation. Les nouvelles technologies décrites dans ce blog peuvent nous aider à relever ces défis collectifs (processus de fabrication, transport…) et individuels (chasse aux gaspillages, recyclage…).

Renseignement : jhenno@yahoo.com

Conférences sur les nouvelles technologies et l'environnement

Réchauffement de la planète, maladies liées à la pollution atmosphérique, diminution des réserves d’énergies fossiles… Si elle veut survivre, notre civilisation doit très rapidement changer ses modèles de production et de consommation. Les nouvelles technologies décrites dans ce blog peuvent nous aider à relever ces défis collectifs (processus de fabrication, transport…) et individuels (chasse aux gaspillages, recyclage…).

Renseignement : jhenno@yahoo.com