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Les écolabels en quête d’une image plus claire


Le programme Energy Star impose des critères plus contraignants aux fabricants de matériels informatiques. Même si, vu le manque de notoriété des écolabels, les entreprises françaises ne ressentent pas le besoin de les afficher sur leurs produits…

Depuis le 1 juillet, les fabricants d’ordinateurs, d’imprimantes et de scanners souhaitant apposer sur leurs matériels l’écolabel Energy Star doivent respecter des critères plus stricts en termes de consommation d’électricité. Soutenant le programme Energy Star avec l’Agence américaine pour la protection de l’environnement, la Commission européenne espère que ces nouvelles contraintes, une fois appliquées à tous les équipements de bureau, permettront d’économiser 22 térawattheures d’électricité en Europe d’ici à six ans (l’équivalent de la consommation annuelle de l’Irlande).

Seul problème : la visibilité du symbole d’Energy Star parmi les quelque 300 écolabels qui, selon le site américain Ecolabelling.org, se disputent l’attention du grand public. Rien qu’en Amérique du Nord, il y en aurait 82. Et pas moins de 118 en Europe ! « Aux Etats-Unis, on voit apparaître un nouvel écolabel presque chaque semaine », sourit Scot Case, directeur général du programme nord-américain EcoLogo, très populaire au Canada. Un vrai bazar où se côtoient des labels internationaux, nationaux ou des récompenses autodécernées par les entreprises. Comme le Flybe Aircraft Ecolabel que la compagnie aérienne régionale Flybe a apposé sur ses propres avions !

Lire la suite de cette enquête sur le site du quotidien Les Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02056600154-les-ecolabels-en-quete-d-une-image-plus-claire.htm

Jacques Henno

Article paru dans Les Echos le 8 juillet 2009.

Les écolabels en quête d'une image plus claire


Le programme Energy Star impose des critères plus contraignants aux fabricants de matériels informatiques. Même si, vu le manque de notoriété des écolabels, les entreprises françaises ne ressentent pas le besoin de les afficher sur leurs produits…

Depuis le 1 juillet, les fabricants d’ordinateurs, d’imprimantes et de scanners souhaitant apposer sur leurs matériels l’écolabel Energy Star doivent respecter des critères plus stricts en termes de consommation d’électricité. Soutenant le programme Energy Star avec l’Agence américaine pour la protection de l’environnement, la Commission européenne espère que ces nouvelles contraintes, une fois appliquées à tous les équipements de bureau, permettront d’économiser 22 térawattheures d’électricité en Europe d’ici à six ans (l’équivalent de la consommation annuelle de l’Irlande).

Seul problème : la visibilité du symbole d’Energy Star parmi les quelque 300 écolabels qui, selon le site américain Ecolabelling.org, se disputent l’attention du grand public. Rien qu’en Amérique du Nord, il y en aurait 82. Et pas moins de 118 en Europe ! « Aux Etats-Unis, on voit apparaître un nouvel écolabel presque chaque semaine », sourit Scot Case, directeur général du programme nord-américain EcoLogo, très populaire au Canada. Un vrai bazar où se côtoient des labels internationaux, nationaux ou des récompenses autodécernées par les entreprises. Comme le Flybe Aircraft Ecolabel que la compagnie aérienne régionale Flybe a apposé sur ses propres avions !

Lire la suite de cette enquête sur le site du quotidien Les Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02056600154-les-ecolabels-en-quete-d-une-image-plus-claire.htm

Jacques Henno

Article paru dans Les Echos le 8 juillet 2009.

L’éco-conception se pratique en club

Lancé en 2007 par des passionnés de l’éco-conception, ce regroupement d’entreprises est désormais ouvert à de nouveaux membres.

L’éco-conception fait des émules et devient un passage obligé. Pourquoi ne pas s’inspirer des meilleures pratiques des sociétés les plus avancées en la matière ? C’est l’objectif du regroupement d’entreprises baptisé « Creer » (Cluster Research : Excellence in Ecodesign & Recycling), qui va justement pouvoir accueillir de nouveaux adhérents, grâce au statut d’association dont il vient de se doter. Ce club dédié à l’éco-conception et au recyclage a été lancé en mars 2007 par six industriels (Areva T&D, SEB, Plastic Omnium, Renault, Steelcase et Veolia Environnement), le Cetim (Centre technique des industries mécaniques) et l’Ensam (Ecole nationale supérieure d’arts et métiers) de Chambéry. La définition est précise. Il s’agit de concevoir des produits en minimisant leurs impacts sur l’environnement, tout au long de leur cycle de vie, depuis l’extraction des matières premières qui entrent dans leur composition jusqu’à leur recyclage. Et la démarche ne s’improvise pas.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02052983884-l-eco-conception-se-pratique-en-club.htm

Article paru dans le quotidien Les Echos le 6 juillet 2009

Jacques Henno

L'éco-conception se pratique en club

Lancé en 2007 par des passionnés de l’éco-conception, ce regroupement d’entreprises est désormais ouvert à de nouveaux membres.

L’éco-conception fait des émules et devient un passage obligé. Pourquoi ne pas s’inspirer des meilleures pratiques des sociétés les plus avancées en la matière ? C’est l’objectif du regroupement d’entreprises baptisé « Creer » (Cluster Research : Excellence in Ecodesign & Recycling), qui va justement pouvoir accueillir de nouveaux adhérents, grâce au statut d’association dont il vient de se doter. Ce club dédié à l’éco-conception et au recyclage a été lancé en mars 2007 par six industriels (Areva T&D, SEB, Plastic Omnium, Renault, Steelcase et Veolia Environnement), le Cetim (Centre technique des industries mécaniques) et l’Ensam (Ecole nationale supérieure d’arts et métiers) de Chambéry. La définition est précise. Il s’agit de concevoir des produits en minimisant leurs impacts sur l’environnement, tout au long de leur cycle de vie, depuis l’extraction des matières premières qui entrent dans leur composition jusqu’à leur recyclage. Et la démarche ne s’improvise pas.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/info/metiers/02052983884-l-eco-conception-se-pratique-en-club.htm

Article paru dans le quotidien Les Echos le 6 juillet 2009

Jacques Henno

I have created a new group on Linkedin : "Digital and Screen Literacy for Children"


The purpose of the « Digital and Screen Literacy for Children » network on Linkedin is to link together all people around the world wanting to share information in order to improve the Digital and Screen Literacy of children.

Digital and Screen Literacy is the ability to use new technologies (computer, mobile phone, the Internet, video games, virtual worlds…) to locate, organize, understand, evaluate or create information and videos.

Digital and Screen literate children will be able to communicate and work more efficiently on the Internet and in a world of screens.

I was drawn to digital and screen literacy from watching children: when they use a search engine to find information on the Web, the first results they look at are the links containing videos, then the ones with pictures; the ones which are text only are looked at last. And when they are as young as eight or nine years old, they make videos, which they upload on Youtube.

That’s just the beginning. Everywhere we look, we see screens. Digital-display manufacturers produce one new screen each year for every human on earth. With the advent of electronic ink, screens will be on any flat surface. The tools (cameras, softwares…) for screen fluency will be built directly into these ubiquitous screens.

Our children need to be prepared for a new culture: new distribution-and-display technologies are pushing books aside and catapulting images to the center of the culture.

Digital and screen literacy should be defined as teaching children to communicate visually but also to be skeptical about sources of information online. The goal is no less than defining education in the digital and screen age.

Children will have to be screen fluent. They will communicate not just with words, but also visually. They need to master the tools of creation (megapixel phone cameras, Photoshop, iMovie), which are quickly reducing the effort needed to create moving images. The ease of making video now approaches the ease of writing.

Children will have to view media critically, in order to defend themselves against the powers of advertising, manipulation, and political persuasion… In an increasingly visual world, anyone with a laptop, Web connection and camera can be a producer of media. As moving images become easier to create, easier to store, easier to annotate and easier to combine into complex narratives, they also become easier to be manipulated by the audience. Children need to understand how what they see and watch is created (and can be manipulated) as much as they need to understand plain old reading, writing and arithmetic.

Web site : http://www.digital-literacy.info

Group Profile on Linkedin: http://www.linkedin.com/groups?about=&gid=1849602&trk=anet_ug_grppro

I have created a new group on Linkedin : "Digital and Screen Literacy for Children"


The purpose of the « Digital and Screen Literacy for Children » network on Linkedin is to link together all people around the world wanting to share information in order to improve the Digital and Screen Literacy of children.

Digital and Screen Literacy is the ability to use new technologies (computer, mobile phone, the Internet, video games, virtual worlds…) to locate, organize, understand, evaluate or create information and videos.

Digital and Screen literate children will be able to communicate and work more efficiently on the Internet and in a world of screens.

I was drawn to digital and screen literacy from watching children: when they use a search engine to find information on the Web, the first results they look at are the links containing videos, then the ones with pictures; the ones which are text only are looked at last. And when they are as young as eight or nine years old, they make videos, which they upload on Youtube.

That’s just the beginning. Everywhere we look, we see screens. Digital-display manufacturers produce one new screen each year for every human on earth. With the advent of electronic ink, screens will be on any flat surface. The tools (cameras, softwares…) for screen fluency will be built directly into these ubiquitous screens.

Our children need to be prepared for a new culture: new distribution-and-display technologies are pushing books aside and catapulting images to the center of the culture.

Digital and screen literacy should be defined as teaching children to communicate visually but also to be skeptical about sources of information online. The goal is no less than defining education in the digital and screen age.

Children will have to be screen fluent. They will communicate not just with words, but also visually. They need to master the tools of creation (megapixel phone cameras, Photoshop, iMovie), which are quickly reducing the effort needed to create moving images. The ease of making video now approaches the ease of writing.

Children will have to view media critically, in order to defend themselves against the powers of advertising, manipulation, and political persuasion… In an increasingly visual world, anyone with a laptop, Web connection and camera can be a producer of media. As moving images become easier to create, easier to store, easier to annotate and easier to combine into complex narratives, they also become easier to be manipulated by the audience. Children need to understand how what they see and watch is created (and can be manipulated) as much as they need to understand plain old reading, writing and arithmetic.

Web site : http://www.digital-literacy.info

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I have created a new group on Linkedin : "Digital and Screen Literacy for Children"


The purpose of the « Digital and Screen Literacy for Children » network on Linkedin is to link together all people around the world wanting to share information in order to improve the Digital and Screen Literacy of children.

Digital and Screen Literacy is the ability to use new technologies (computer, mobile phone, the Internet, video games, virtual worlds…) to locate, organize, understand, evaluate or create information and videos.

Digital and Screen literate children will be able to communicate and work more efficiently on the Internet and in a world of screens.

I was drawn to digital and screen literacy from watching children: when they use a search engine to find information on the Web, the first results they look at are the links containing videos, then the ones with pictures; the ones which are text only are looked at last. And when they are as young as eight or nine years old, they make videos, which they upload on Youtube.

That’s just the beginning. Everywhere we look, we see screens. Digital-display manufacturers produce one new screen each year for every human on earth. With the advent of electronic ink, screens will be on any flat surface. The tools (cameras, softwares…) for screen fluency will be built directly into these ubiquitous screens.

Our children need to be prepared for a new culture: new distribution-and-display technologies are pushing books aside and catapulting images to the center of the culture.

Digital and screen literacy should be defined as teaching children to communicate visually but also to be skeptical about sources of information online. The goal is no less than defining education in the digital and screen age.

Children will have to be screen fluent. They will communicate not just with words, but also visually. They need to master the tools of creation (megapixel phone cameras, Photoshop, iMovie), which are quickly reducing the effort needed to create moving images. The ease of making video now approaches the ease of writing.

Children will have to view media critically, in order to defend themselves against the powers of advertising, manipulation, and political persuasion… In an increasingly visual world, anyone with a laptop, Web connection and camera can be a producer of media. As moving images become easier to create, easier to store, easier to annotate and easier to combine into complex narratives, they also become easier to be manipulated by the audience. Children need to understand how what they see and watch is created (and can be manipulated) as much as they need to understand plain old reading, writing and arithmetic.

Web site : http://www.digital-literacy.info

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Merci de votre confiance !

Merci à tous les responsables des associations de parents d’élèves, des facultés, des universités du temps libre, des collectivités locales… qui m’ont invité entre septembre 2008 et juin 2009.

Grâce à vous, j’ai pu intervenir 40 fois sur le thème des nouvelles technologies devant des familles, des collégiens, des lycéens, des élèves ingénieurs, des séniors, des éducateurs ou des médecins.

Ces quarante conférences représentent plus de 60 heures de prise de parole, suivies d’une vingtaine d’heures de débat.

Ce sont aussi des milliers de kilomètres parcourus en train entre le centre de Paris, où je réside, et des agglomérations aussi diverses qu’Amiens, Arras, Brest, Chamonix, Flumet (en Haute-savoie), Lille, Lyon, Metz, Pont l’Abbé (Finistère), Roubaix, Tourcoing, Sarreguemines ou Vitré (Ille-et-Vilaine). Avec, à chaque fois, un public chaleureux et attentif.

Un merci tout particulier aux organisateurs de l’Université Chartraine du Temps Libre (UCTL), qui, le 22 octobre dernier, avaient convié près de 400 de leurs adhérents à la mairie de Chartres pour m’écouter parler de « Technologies et Vie Privée ».

Sans oublier les responsables de l’Apel (Associations de Parents d’Elèves de l’Enseignement Libre) du Collège Notre Dame et du Lycée St André, à Niort, qui, les 9 et 10 avril, ont organisé huit rencontres avec les parents et les élèves de ces deux établissements, soit, au total, plus de 800 personnes.

Et merci à la Gendarmerie Nationale qui, dans le cadre du FIC 2009 (Forum International sur La Cybercriminalité), m’a confié l’animation de trois tables-rondes sur les usages de l’internet et la protection de l’enfance, aux UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), qui ont souvent financé une partie de mes conférences, aux antennes locales de l’Apel, de la Peep (Fédération des parents d’élèves de l’enseignement public), qui m’ont fait confiance.

En cliquant sur la carte interactive ci-dessous, vous retrouverez la liste de tous mes déplacements au cours des derniers mois.

Prochaine conférence le 17 septembre 2009, à Mende, en Lozère, à l’invitation de l’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), sur le thème de « L’Education aux Médias (renseignements : udaf48@wanadoo.fr).

D’ici là, bonnes vacances à tous !

Merci de votre confiance !

Merci à tous les responsables des associations de parents d’élèves, des facultés, des universités du temps libre, des collectivités locales… qui m’ont invité entre septembre 2008 et juin 2009.

Grâce à vous, j’ai pu intervenir 40 fois sur le thème des nouvelles technologies devant des familles, des collégiens, des lycéens, des élèves ingénieurs, des séniors, des éducateurs ou des médecins.

Ces quarante conférences représentent plus de 60 heures de prise de parole, suivies d’une vingtaine d’heures de débat.

Ce sont aussi des milliers de kilomètres parcourus en train entre le centre de Paris, où je réside, et des agglomérations aussi diverses qu’Amiens, Arras, Brest, Chamonix, Flumet (en Haute-savoie), Lille, Lyon, Metz, Pont l’Abbé (Finistère), Roubaix, Tourcoing, Sarreguemines ou Vitré (Ille-et-Vilaine). Avec, à chaque fois, un public chaleureux et attentif.

Un merci tout particulier aux organisateurs de l’Université Chartraine du Temps Libre (UCTL), qui, le 22 octobre dernier, avaient convié près de 400 de leurs adhérents à la mairie de Chartres pour m’écouter parler de « Technologies et Vie Privée ».

Sans oublier les responsables de l’Apel (Associations de Parents d’Elèves de l’Enseignement Libre) du Collège Notre Dame et du Lycée St André, à Niort, qui, les 9 et 10 avril, ont organisé huit rencontres avec les parents et les élèves de ces deux établissements, soit, au total, plus de 800 personnes.

Et merci à la Gendarmerie Nationale qui, dans le cadre du FIC 2009 (Forum International sur La Cybercriminalité), m’a confié l’animation de trois tables-rondes sur les usages de l’internet et la protection de l’enfance, aux UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), qui ont souvent financé une partie de mes conférences, aux antennes locales de l’Apel, de la Peep (Fédération des parents d’élèves de l’enseignement public), qui m’ont fait confiance.

En cliquant sur la carte interactive ci-dessous, vous retrouverez la liste de tous mes déplacements au cours des derniers mois.

Prochaine conférence le 17 septembre 2009, à Mende, en Lozère, à l’invitation de l’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), sur le thème de « L’Education aux Médias (renseignements : udaf48@wanadoo.fr).

D’ici là, bonnes vacances à tous !

Conférence hier soir à l’hôpital Necker, à Paris, devant des pédiatres

J’ai donné hier soir ma 40ème conférence de la saison 2008-2009 ! Elle avait pour thème « Enfants et Ecrans » et s’est tenue à l’amphithéâtre Maurice Lamy de l’Hôpital Necker, à Paris. J’étais invité par le Cercle d’Etudes Pédiatriques, présidé par le Docteur Brigitte Hurth, pédiatre, qui souhaitait attirer l’attention de ses confrères sur l’impact des écrans (télévisions, ordinateurs, consoles de jeux vidéo, téléphones portables…) sur les mineurs.

Comme à chaque fois, mon propos ne visait pas à diaboliser les nouvelles technologies, mais à simplement souligner un certain nombres de problèmes que peuvent – heureusement, tous les enfants ne sont pas concernés – entraîner ces outils de communication : troubles du sommeil et de la concentration, exposition à des contenus inappropriés (pornographie, sites faisant l’apologie de l’ultra-minceur…).

Prochaine conférence le 17 septembre 2009, à Mende, en Lozère, à l’invitation de l’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales) sur le thème de « L’Education aux Médias (renseignements : udaf48@wanadoo.fr).

D’ici là, bonnes vacances à tous !