Archives de catégorie : Google

Cette semaine, France Culture, France Info et France 5 m’ont invité pour parler du programme américain de surveillance électronique

• Mardi 11 juin, j’ai été l’invité du journal de 18H de Tara Schlegel, pour parler du scandale Prism, le système d’espionnage américain,  révélé par Edward Snowden ; vous pouvez réécouter mon intervention en suivant ce lien :

http://www.franceculture.fr/emission-journal-de-18h-l-europe-s-inquiete-du-programme-prism-2013-06-11


• Jeudi 13 juin, je suis intervenu pendant Les Choix de France Info, l’émission de Jean Leymarie, pour parler de nos «Données personnelles : quelles traces laissons-nous ?», à réécouter sur :

http://www.franceinfo.fr/high-tech/les-choix-de-france-info/donnees-personnelles-quelles-traces-laissons-nous-1023355-2013-06-13


• Enfin, toujours, jeudi, j’étais sur le plateau de C Dans l’air, dont le thème était «Qui espionne qui ?»


http://www.france5.fr/c-dans-l-air/international/qui-espionne-qui-39118


Cette semaine, France Culture, France Info et France 5 m'ont invité pour parler du programme américain de surveillance électronique

• Mardi 11 juin, j’ai été l’invité du journal de 18H de Tara Schlegel, pour parler du scandale Prism, le système d’espionnage américain,  révélé par Edward Snowden ; vous pouvez réécouter mon intervention en suivant ce lien :

http://www.franceculture.fr/emission-journal-de-18h-l-europe-s-inquiete-du-programme-prism-2013-06-11


• Jeudi 13 juin, je suis intervenu pendant Les Choix de France Info, l’émission de Jean Leymarie, pour parler de nos «Données personnelles : quelles traces laissons-nous ?», à réécouter sur :

http://www.franceinfo.fr/high-tech/les-choix-de-france-info/donnees-personnelles-quelles-traces-laissons-nous-1023355-2013-06-13


• Enfin, toujours, jeudi, j’étais sur le plateau de C Dans l’air, dont le thème était «Qui espionne qui ?»


http://www.france5.fr/c-dans-l-air/international/qui-espionne-qui-39118


Espionnage américain : les données qu’Apple, Facebook ou Google possèdent sur nous sont extrêmement indiscrètes

The Guardian et The Washington Post ont révélé que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques, pouvait avoir directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier.

Pour se rendre compte à quel point les données archivées par ces géants de l’Internet révèlent tout de nous, y compris notre intimité, il suffit de créer une publicité sur Facebook.

Voici déjà plusieurs mois que j’ai constaté que Facebook permettait aux annonceurs de cibler des publicités en fonction de nos centres d’intérêt supposés pour certaines pratiques sexuelles ou certaines drogues illicites (lire l’épisode 1 : Les publicités Facebook ciblent nos préférences sexuelles !l’épisode 2 avec l’avis de la CNIL et de son homologue irlandaisl’épisode 3, avec la réponse officielle, mais décevante, de Facebook, ainsi qu’une interview de Benoit Dupont, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sécurité, identité et technologie de l’Université de Montréal ; l’épisode 4 avec l’ultimatum que la CNIL irlandaise avait lancé à Facebook ; l’épisode 5 pour apprendre comment Facebook nous range dans telle ou telle catégorie pour nous afficher des publicités ciblées).

La saisie d’écran ci-dessous, réalisée ce matin même, prouve qu’il est toujours possible de concevoir une publicité sur Facebook ciblant les internautes en fonction de données sensibles.

Espionnage américain : les données qu'Apple, Facebook ou Google possèdent sur nous sont extrêmement indiscrètes

The Guardian et The Washington Post ont révélé que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques, pouvait avoir directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier.

Pour se rendre compte à quel point les données archivées par ces géants de l’Internet révèlent tout de nous, y compris notre intimité, il suffit de créer une publicité sur Facebook.

Voici déjà plusieurs mois que j’ai constaté que Facebook permettait aux annonceurs de cibler des publicités en fonction de nos centres d’intérêt supposés pour certaines pratiques sexuelles ou certaines drogues illicites (lire l’épisode 1 : Les publicités Facebook ciblent nos préférences sexuelles !l’épisode 2 avec l’avis de la CNIL et de son homologue irlandaisl’épisode 3, avec la réponse officielle, mais décevante, de Facebook, ainsi qu’une interview de Benoit Dupont, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sécurité, identité et technologie de l’Université de Montréal ; l’épisode 4 avec l’ultimatum que la CNIL irlandaise avait lancé à Facebook ; l’épisode 5 pour apprendre comment Facebook nous range dans telle ou telle catégorie pour nous afficher des publicités ciblées).

La saisie d’écran ci-dessous, réalisée ce matin même, prouve qu’il est toujours possible de concevoir une publicité sur Facebook ciblant les internautes en fonction de données sensibles.

Deux livres à lire ou à relire pour comprendre le programme d’espionnage américain révélé par The Guardian et The Washington Post

The Guardian et The Washington Post viennent de révéler que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques avait directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier. C’est-à-dire n’importe lequel d’entre nous !
Officiellement, ces écoutes visent à lutter contre le terrorisme, mais les données collectées pourraient tout aussi bien être utilisées pour l’espionnage économique ou la surveillance politique.
Les grandes oreilles de l’Oncle Sam ont accès à l’historique de nos recherches sur Google, aux courriers électroniques que nous échangeons sur Yahoo!, aux vidéos que nous publions sur YouTube ou aux photos que nous archivons sur Picasa dans le cadre d’un programme de surveillance appelé Prism, qui est le descendant du programme TIA (Total Information Awareness : Surveillance Totale) que je décris dans mon livre Tous Fichés : l’incroyable projet américain pour déjouer les attentats terroristes (Editions Télémaque novembre 2005).
Ce programme de «Surveillance totale», initié après les attentats du 11 septembre 2001, visait à constituer des fiches sur chaque habitant de la planète pour  détecter, dans nos agissements, les signes annonçant la préparation d’attentats terroristes.
Une des retombées de ce programme de recherche fut la réquisition par les autorités américaines des données des passagers : depuis novembre 2001, toutes les compagnies aériennes qui desservent ou qui survolent les Etats-Unis doivent communiquer toutes les informations qu’elles possèdent sur les passagers de chacun de leurs vols (nom, adresse, email, numéro de carte bancaire, passagers voyageant avec eux, préférences alimentaires…).
Puis les autorités américaines ont étendu ces réquisitions aux données des grands acteurs américains de l’Internet. Dans mon livre Silicon Valley / Prédateurs vallée ? Comment Apple, Facebook, Google et les autres s’emparent de nos données (Editions Télémaque novembre 2011), je raconte que ces entreprises savent… tout de nous !
Près d’un milliard de Terriens utilisent les services de Google ou de Facebook. A travers les mots clés que nous tapons lors de nos recherches, Google sait quelles maladies nous avons (il est capable de prédire les épidémies de grippe avec trois jours d’avance sur les observatoires officiels de la grippe qui existent dans les pays développés), pour qui nous votons, nos croyances, nos préférences alimentaires, etc.

Deux livres à lire ou à relire pour comprendre le programme d'espionnage américain révélé par The Guardian et The Washington Post

The Guardian et The Washington Post viennent de révéler que la NSA (National Security Agency), l’agence américaine chargée des écoutes électroniques avait directement accès aux serveurs d’Apple, Facebook, Google, Microsoft, Skype et autre Yahoo! pour espionner des citoyens du monde entier. C’est-à-dire n’importe lequel d’entre nous !
Officiellement, ces écoutes visent à lutter contre le terrorisme, mais les données collectées pourraient tout aussi bien être utilisées pour l’espionnage économique ou la surveillance politique.
Les grandes oreilles de l’Oncle Sam ont accès à l’historique de nos recherches sur Google, aux courriers électroniques que nous échangeons sur Yahoo!, aux vidéos que nous publions sur YouTube ou aux photos que nous archivons sur Picasa dans le cadre d’un programme de surveillance appelé Prism, qui est le descendant du programme TIA (Total Information Awareness : Surveillance Totale) que je décris dans mon livre Tous Fichés : l’incroyable projet américain pour déjouer les attentats terroristes (Editions Télémaque novembre 2005).
Ce programme de «Surveillance totale», initié après les attentats du 11 septembre 2001, visait à constituer des fiches sur chaque habitant de la planète pour  détecter, dans nos agissements, les signes annonçant la préparation d’attentats terroristes.
Une des retombées de ce programme de recherche fut la réquisition par les autorités américaines des données des passagers : depuis novembre 2001, toutes les compagnies aériennes qui desservent ou qui survolent les Etats-Unis doivent communiquer toutes les informations qu’elles possèdent sur les passagers de chacun de leurs vols (nom, adresse, email, numéro de carte bancaire, passagers voyageant avec eux, préférences alimentaires…).
Puis les autorités américaines ont étendu ces réquisitions aux données des grands acteurs américains de l’Internet. Dans mon livre Silicon Valley / Prédateurs vallée ? Comment Apple, Facebook, Google et les autres s’emparent de nos données (Editions Télémaque novembre 2011), je raconte que ces entreprises savent… tout de nous !
Près d’un milliard de Terriens utilisent les services de Google ou de Facebook. A travers les mots clés que nous tapons lors de nos recherches, Google sait quelles maladies nous avons (il est capable de prédire les épidémies de grippe avec trois jours d’avance sur les observatoires officiels de la grippe qui existent dans les pays développés), pour qui nous votons, nos croyances, nos préférences alimentaires, etc.

Quand l'ICOMP fait – mal – du lobbying anti-Google

J’ai reçu la semaine dernière une invitation par email (voir ci-contre – le nom de l’expéditeur a été flouté par moi) pour participer à un déjeuner sur le thème «Comment sont gérées nos données privées sur Internet ? En présence de Pamela Jones Harbour (ancien commissaire de la Federal Trade Commission – l’organisme qui veille sur le droit des consommateurs aux Etats-Unis) et Auke Haagsma (ancien juriste à la Commission européenne)».


Ce déjeuner était organisé par l’ICOMP (Initiative for a Competitive Online Marketplace).









Or, sur Internet, l’ICOMP est souvent présentée comme un organisme de lobbying soutenu par Microsoft  (voir ci-contre un extrait de la fiche Wikipedia consacrée à l’Icomp).






Interrogée par retour de mail, la personne qui m’a envoyé l’invitation ne dément pas et se contente de me faire parvenir un document Word intitulé ICOMP : pour un marché en ligne concurrentiel où l’on peut lire :





J’accepte cependant l’invitation.


Et je me retrouve donc vendredi 2 mars 2012 à 13H autour d’une grande table réunissant, entre autres, des responsables de l’ICOMP, des membres de Burson-Marsteller, l’agence de communication et de relations publiques qui assure le secrétariat de l’ICOMP, les représentants de plusieurs sociétés ou organismes se plaignant des pratiques de Google, deux journalistes et moi-même, venu en tant que blogueur.





Surprise, la présentation faite par Pamela Jones Harbour, associée chez Fulbright & Jaworski LLP, un des plus grands cabinets d’avocat américain (du moins en termes d’effectifs…), ne s’intitule pas  Comment sont gérées nos données privées sur Internet ?, mais Antitrust Issues Raised by Google’s Privacy Policy Changes (ce que l’on peut traduire par Les problèmes de droit de la concurrence posés par les nouvelles règles de confidentialité de Google).
















S’en sont suivies près de deux bonnes heures de discours et de discussion anti-Google, émaillés de quelques approximations et d’oublis.


Par exemple, il nous a été présenté un schéma, réalisé par Lumina, une banque d’investissement américaine spécialisée dans les nouvelles technologies, et montrant tous les acteurs du marché de la publicité en ligne :

DISPLAY LUMAscape

View more presentations from Terence Kawaja


Le même schéma nous a ensuite été proposé avec, mis en évidence, toutes les sociétés ou outils que Google, selon ICOMP, contrôle sur ce marché : «DoubleClick, Teracent, InviteMedia, Google Analytics, Admob et Admeld».


Mais ICOMP a oublié de mentionner les sociétés que le groupe Microsoft possède ou avec lesquelles il est lié sur ce même marché de la publicité en ligne : Atlas, Yahoo!…


Autres oublis de taille : les dangers que Facebook fait peser sur la vie privée.


Sans parler du fait que Microsoft* est désormais aussi en faute que Google pour les tracking cookies : en France, avant l’installation de ces petits logiciels espion, l’autorisation des internautes doit être recueillie.


Résultat, une impression d’acharnement contre Google que les responsables de l’ICOMP semblent vouloir voir condamner au même sort que Microsoft il y a quelques années : «empêtré dans des procès anti-trust et, du coup, incapable d’innover».


Je ne crois pas être tendre avec Google, comme je ne l’ai pas été, dans le mensuel Capital, avec Microsoft, aux temps de ses démêlés avec l’anti-trust américain.


Le débat sur les pratiques de Google est très important – en particulier depuis que le géant de Moutain View a changé ses règles de confidentialité – mais je considère,  au regard des enjeux, qu’il gagnerait à être un peu plus subtil…




____
Comme tous les acteurs de la publicité en ligne, Microsoft installe des tracking cookies : http://privacy.microsoft.com/FR-FR/fullnotice.mspx#display

Quand l’ICOMP fait – mal – du lobbying anti-Google

J’ai reçu la semaine dernière une invitation par email (voir ci-contre – le nom de l’expéditeur a été flouté par moi) pour participer à un déjeuner sur le thème «Comment sont gérées nos données privées sur Internet ? En présence de Pamela Jones Harbour (ancien commissaire de la Federal Trade Commission – l’organisme qui veille sur le droit des consommateurs aux Etats-Unis) et Auke Haagsma (ancien juriste à la Commission européenne)».


Ce déjeuner était organisé par l’ICOMP (Initiative for a Competitive Online Marketplace).









Or, sur Internet, l’ICOMP est souvent présentée comme un organisme de lobbying soutenu par Microsoft  (voir ci-contre un extrait de la fiche Wikipedia consacrée à l’Icomp).






Interrogée par retour de mail, la personne qui m’a envoyé l’invitation ne dément pas et se contente de me faire parvenir un document Word intitulé ICOMP : pour un marché en ligne concurrentiel où l’on peut lire :





J’accepte cependant l’invitation.


Et je me retrouve donc vendredi 2 mars 2012 à 13H autour d’une grande table réunissant, entre autres, des responsables de l’ICOMP, des membres de Burson-Marsteller, l’agence de communication et de relations publiques qui assure le secrétariat de l’ICOMP, les représentants de plusieurs sociétés ou organismes se plaignant des pratiques de Google, deux journalistes et moi-même, venu en tant que blogueur.





Surprise, la présentation faite par Pamela Jones Harbour, associée chez Fulbright & Jaworski LLP, un des plus grands cabinets d’avocat américain (du moins en termes d’effectifs…), ne s’intitule pas  Comment sont gérées nos données privées sur Internet ?, mais Antitrust Issues Raised by Google’s Privacy Policy Changes (ce que l’on peut traduire par Les problèmes de droit de la concurrence posés par les nouvelles règles de confidentialité de Google).
















S’en sont suivies près de deux bonnes heures de discours et de discussion anti-Google, émaillés de quelques approximations et d’oublis.


Par exemple, il nous a été présenté un schéma, réalisé par Lumina, une banque d’investissement américaine spécialisée dans les nouvelles technologies, et montrant tous les acteurs du marché de la publicité en ligne :

DISPLAY LUMAscape

View more presentations from Terence Kawaja


Le même schéma nous a ensuite été proposé avec, mis en évidence, toutes les sociétés ou outils que Google, selon ICOMP, contrôle sur ce marché : «DoubleClick, Teracent, InviteMedia, Google Analytics, Admob et Admeld».


Mais ICOMP a oublié de mentionner les sociétés que le groupe Microsoft possède ou avec lesquelles il est lié sur ce même marché de la publicité en ligne : Atlas, Yahoo!…


Autres oublis de taille : les dangers que Facebook fait peser sur la vie privée.


Sans parler du fait que Microsoft* est désormais aussi en faute que Google pour les tracking cookies : en France, avant l’installation de ces petits logiciels espion, l’autorisation des internautes doit être recueillie.


Résultat, une impression d’acharnement contre Google que les responsables de l’ICOMP semblent vouloir voir condamner au même sort que Microsoft il y a quelques années : «empêtré dans des procès anti-trust et, du coup, incapable d’innover».


Je ne crois pas être tendre avec Google, comme je ne l’ai pas été, dans le mensuel Capital, avec Microsoft, aux temps de ses démêlés avec l’anti-trust américain.


Le débat sur les pratiques de Google est très important – en particulier depuis que le géant de Moutain View a changé ses règles de confidentialité – mais je considère,  au regard des enjeux, qu’il gagnerait à être un peu plus subtil…




____
Comme tous les acteurs de la publicité en ligne, Microsoft installe des tracking cookies : http://privacy.microsoft.com/FR-FR/fullnotice.mspx#display

Google a-t-il voulu censurer la publicité pour mon livre "Silicon Valley / Prédateurs Vallée" ?

Les services commerciaux de Google m’ont proposé la semaine dernière un bon de 100 euros pour essayer à nouveau leur service d’annonce (voir facsimilé ci-dessous).





J’ai trouvé amusant de profiter de leur offre pour faire de la publicité pour mon livre « Silicon Valley / Prédateurs Vallée ? Comment Apple, Facebook, Google et les autres s’emparent de nos données ».
































J’ai donc créé trois petites publicités :




• « Vie privée sur le Web – Découvrez comment Apple s’empare de vos données »


• « Vie privée sur le Web – Découvrez comment Facebook s’empare de vos données »


• « Vie privée sur le Web – Découvrez comment Google s’empare de vos données »


















.












Ces trois cartouches sont associés à des mots-clés comme « vie privée », « données personnelles », etc. : ils apparaissent au dessus des résultats proposés par Google aux internautes qui mènent des recherches sur ces mots.































Lorsqu’un internaute clique sur une de mes publicités, il est redirigé vers la page consacrée à mon ouvrage sur Fnac.com, où il peut alors acheter mon livre












Bizarrement, l’annonce intitulée « Vie privée sur le Web – Découvrez comment Google s’empare de vos données » a été refusée par… Google !


J’ai demandé pourquoi aux équipes de Google AdWords :










L’équipe AdWords de Google m’a répondu que cette annonce avait été rejetée à cause de l’utilisation de la marque Google.























J’ai alors demandé pourquoi les deux autres annonces – qui mentionnaient également des marques (Apple et Facebook, en l’occurrence) – n’avaient pas été rejetées.

































Voici leur réponse (voir ci-contre). 


Conclusion : pas de censure sur Google AdWords, mais certaines marques sont mieux protégées que d’autres !