J’ai publié ce matin dans le quotidien Les Échos une enquête sur consommation d’électricité induite par tous les logiciels qui tournent sur nos écrans.
Les enjeux sont considérables pour la planète. Si la moitié de l’empreinte carbone du numérique provient de la production des équipements, l’autre moitié se répartit en trois tiers : la consommation des serveurs dans les data centers, les réseaux de télécommunication et les quelque 15 milliards de terminaux et périphériques sur lesquels tournent des logiciels.