J’ai publié hier dans le quotidien Les Échos, une enquête sur les « données au service du bien commun ».
L’intérêt de la communauté scientifique et du monde des affaires pour la conduite de politiques publiques (santé, transports…) à partir de données collectées par des entreprises privées ne cesse de grandir. Ces derniers mois, les tribunes signées par des chercheurs et vantant les mérites potentiels des « Data for Public Good » ou des « données au service du bien commun » se sont multipliées en France et à l’étranger.
Ces spécialistes pensent que les données collectées par le secteur privé permettront de prédire les épidémies de grippe (malgré l’échec de Google Flu Trends), les pandémies alimentées par les moustiques, les taux d’occupation des lits dans les hôpitaux, les besoins en eau des bergers et de leurs troupeaux, les crises financières (à partir des fluctuations des dépôts bancaires), les perspectives économiques (grâce à la consommation d’électricité), etc.
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