La France, championne de la surveillance des océans

Réservée jusqu’à présent aux scientifiques et aux militaires, l’océanographie opérationnelle est en passe de devenir un outil de compétitivité, au service des Etats, des entreprises et de l’environnement

Les océans n’ont jamais été aussi bien observés. Un peu partout dans le monde, 3.300 bouées dérivantes, d’un coût unitaire de 12.000 euros, plongent régulièrement jusqu’à 2.000 mètres pour enregistrer la température et la salinité de l’eau. Une fois remontées à la surface, elles envoient ces informations à des stations terrestres, via les cinq satellites qui composent le système Argos. Depuis l’espace, le satellite franco-américain Jason 2, équipé d’un radar altimètre, mesure la hauteur instantanée de la mer à un centimètre près, mais aussi la forme des vagues et la vitesse du vent. Il couvre la terre en dix jours. Envisat, un autre satellite, européen lui, étudie la couleur et la température de l’eau. Au fond des océans, des capteurs enregistrent températures, oxygénation, salinité, mais aussi bruits et activités sismiques…

Pour lire la suite de cet article que j’ai publié hier dans Les Echos, cliquez ici.

Sans oublier les trois encadrés qui accompagnaient ce texte :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.