L'Ile Longue, en Bretagne (France)

Depuis 1972, l’île Longue, située dans le Finistère, en Bretagne, abrite la base des SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins) français. Ces installations militaires assurent l’entretient des SNLE entre deux patrouilles. Y sont entreposés les têtes atomiques des missiles et le combustible des réacteurs nucléaires des sous-marins.
C’est de là qu’opérera, à partir de 2010, Le Terrible, inauguré le 21 mars 2008 à Cherbourg (lieu de construction) par le président de la République. A cette occasion, le président a annoncé une réduction d’un tiers du nombre de d’armes nucléaires, de missiles et d’avions de la composante aéroportée de la force de dissuasion française.
Quelque 85 % des têtes nucléaires françaises sont emportées par la composante sous-marine. Le Terrible sera le premier SNLE doté du nouveau missile nucléaire M51 : premier missile français à portée « totalement intercontinentale » (plus de 8 000 kilomètres), il pourra toucher n’importe quel point du globe depuis sa zone de patrouille.
Grâce à sa flotte de quatre SNLE, la France maintient en permanence un sous-marin lanceur d’engins en patrouille, voire deux si les circonstances l’exigent.

Un arrêté préfectoral français datant de 1970 interdit de photographier les installations de l’Ile Longue. Mais Google propose cette vue satellitaire saisissante.

L’Ile Longue, en Bretagne (France)

Depuis 1972, l’île Longue, située dans le Finistère, en Bretagne, abrite la base des SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins) français. Ces installations militaires assurent l’entretient des SNLE entre deux patrouilles. Y sont entreposés les têtes atomiques des missiles et le combustible des réacteurs nucléaires des sous-marins.
C’est de là qu’opérera, à partir de 2010, Le Terrible, inauguré le 21 mars 2008 à Cherbourg (lieu de construction) par le président de la République. A cette occasion, le président a annoncé une réduction d’un tiers du nombre de d’armes nucléaires, de missiles et d’avions de la composante aéroportée de la force de dissuasion française.
Quelque 85 % des têtes nucléaires françaises sont emportées par la composante sous-marine. Le Terrible sera le premier SNLE doté du nouveau missile nucléaire M51 : premier missile français à portée « totalement intercontinentale » (plus de 8 000 kilomètres), il pourra toucher n’importe quel point du globe depuis sa zone de patrouille.
Grâce à sa flotte de quatre SNLE, la France maintient en permanence un sous-marin lanceur d’engins en patrouille, voire deux si les circonstances l’exigent.

Un arrêté préfectoral français datant de 1970 interdit de photographier les installations de l’Ile Longue. Mais Google propose cette vue satellitaire saisissante.

Les Etats-Unis commandent deux nouveaux réacteurs

Vingt-neuf ans après l’accident de Three Mile Island, la construction de réacteurs nucléaires est relancée outre-Atlantique. La centrale de Vogtle (photo ci-dessous) située en Géorgie, près de la ville d’Augusta (environ 190 000 habitants) et la bourgade de Waynesboro (moins de 6 000 habitants), déjà dotée de deux réacteurs, en accueillera deux autres en 2016 et 2017. Le contrat a été signé mardi 8 avril par, d’un côté, les actionnaires de cette centrale (Georgia Power – à hauteur de 45.7% -, Oglethorpe Power Corporation – 30% -, Municipal Electric Authority of Georgia – 22.7% – et la ville de Dalton – 1.6%) et, de l’autre, le constructeur Westinghouse Electric, une filiale du groupe japonais Toshiba. Westinghouse-Toshiba spécialiste des technologies à eau pressurisée (REP), a fourni la moitié des réacteurs nucléaires actuellement en service dans le monde.

Retrouvez des extraits des "90 questions que tous les parents se posent" sur le site du quotidien Metro

Depuis hier lundi, 7 avril, et jusqu’à vendredi, 11 avril, Metrofrance.com publie chaque jour un extrait du livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… ». Hier, Metro a mis en ligne « Les baladeurs numériques rendent-ils les enfants sourds ? » et, aujourd’hui, « Les logiciels de filtrage servent-ils à quelque chose ?« .

Retrouvez des extraits des "90 questions que tous les parents se posent" sur le site du quotidien Metro

Depuis hier lundi, 7 avril, et jusqu’à vendredi, 11 avril, Metrofrance.com publie chaque jour un extrait du livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… ». Hier, Metro a mis en ligne « Les baladeurs numériques rendent-ils les enfants sourds ? » et, aujourd’hui, « Les logiciels de filtrage servent-ils à quelque chose ?« .

Bibliographie sur la prolifération nucléaire

Voici quelques références de livres sur le thème de la prolifération nucléaire :

Thérèse Delpech, L’Iran, la bombe et la démission des nations, éditions Autrement, avril 2006

François Géré, L’Iran et le nucléaire, les tourments perses, éditions Lignes de Repères, mai 2006

• Rudolf Avenhaus, Nicholas Kyriakopoulos, Michel Richard*, Gotthard Stein (sous la direction de), Verifying Treaty Compliance : Limiting Weapons of Mass Destruction and Monitoring Kyoto Protocol Provisions, Springer 2006 (avec une préface de Hans Blix)

* Michel Richard est responsable, au sein du département “Matières Surveillance, Environnement ” du CEA/DAM (Direction des applications militaires du Commissariat à l’Energie Atomique), des relations avec l’AIEA et d’autres organismes internationaux.

Jeffrey T. Richelson, Spying on the bomb : American nuclear intelligence from Nazy Germany to Iran and North Korea, W. W. Norton & Company, New York, 2006

Après ton prof et ton toubib, Notetonentreprise !

Sur Notetonentreprise.com, n’importe qui peut, en quelques clics et de façon totalement anonyme, noter de 1 (le pire) à 10 (le mieux) le salaire, les managers, les locaux, les collègues, le comité d’entreprise d’une société… Ce site a connu, depuis sa mise en ligne le mardi 25 mars, un énorme engouement. Il soulève cependant plusieurs problèmes légaux (voir l’article que je viens de publier sur Vnunet.fr à ce sujet) et moraux.
On peut en effet se demander si l’on ne touche pas là aux limites du web 2.0 : peut-on laisser les internautes tout évaluer par eux-mêmes ? Sans doute s’agit-il, plus largement, d’un problème de société. Notre époque demande en effet de plus en plus de résultats quantifiables, répondant à des critères purement formels et donc simplistes… Et cela dans tous les domaines : police, recherche universitaire, voire action des ministres ou… ressources humaines. Or, quiconque, est salarié d’une entreprise, sait que l’ambiance au travail est très subjective, car dépendant du moment, du chef, de l’environnement économique et, un peu, de soi !