conférence-débat sur la vidéosurveillance, le fichage et les libertés publiques à la Maison d’Education de la Légion d’Honneur

Aujourd’hui 10 mai 2010, j’ai participé à une conférence-débat sur le thème de la vidéosurveillance, du fichage et des libertés publiques, organisée par un professeur d’histoire-géographie de la Maison d’Education de la Légion d’Honneur, à Saint-Denis (93), et destinée aux élèves de Terminale de cet établissement.

Les autres intervenants étaient : Marc Barbier (commissaire divisionnaire INHES), Jean-Pierre Dubois (président de la Ligue des droits de l’Homme), Christophe Soullez (criminologue, rapporteur du groupe de contrôle sur les fichiers de police et de gendarmerie), et un représentant de la CNIL.

Saint-Denis (93)- Basilique – Vue de la maison d’éducation de la Légion d’honneur CC-BY-SA-3.0,2.5,2.0,1.0 Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Saint-Denis_-_Basilique_-_Vue_de_la_maison_d%27%C3%A9ducation_de_la_L%C3%A9gion_d%27honneur.JPG?uselang=fr

La France, championne de la surveillance des océans

Réservée jusqu’à présent aux scientifiques et aux militaires, l’océanographie opérationnelle est en passe de devenir un outil de compétitivité, au service des Etats, des entreprises et de l’environnement

Les océans n’ont jamais été aussi bien observés. Un peu partout dans le monde, 3.300 bouées dérivantes, d’un coût unitaire de 12.000 euros, plongent régulièrement jusqu’à 2.000 mètres pour enregistrer la température et la salinité de l’eau. Une fois remontées à la surface, elles envoient ces informations à des stations terrestres, via les cinq satellites qui composent le système Argos. Depuis l’espace, le satellite franco-américain Jason 2, équipé d’un radar altimètre, mesure la hauteur instantanée de la mer à un centimètre près, mais aussi la forme des vagues et la vitesse du vent. Il couvre la terre en dix jours. Envisat, un autre satellite, européen lui, étudie la couleur et la température de l’eau. Au fond des océans, des capteurs enregistrent températures, oxygénation, salinité, mais aussi bruits et activités sismiques…

Pour lire la suite de cet article que j’ai publié hier dans Les Echos, cliquez ici.

Sans oublier les trois encadrés qui accompagnaient ce texte :