Tous les articles par Jacques Henno

Independent journalist, speaker, writer focused on ICT / Journaliste, auteur et conférencier, spécialiste des nouvelles technologies.

Interview dans Ouest-France

Jean-Jacques Rebours, journaliste à Ouest-France, m’a longuement interrogé sur les relations « Ecrans-Enfants ». Retrouvez ici cet entretien, publié hier, et où je réponds aux préoccupations des parents :
•Un enfant peut-il se passer d’Internet aujourd’hui ?

• A quel âge peut-on initier un enfant à l’informatique ?

• On constate que les enfants passent beaucoup de temps devant les écrans (télé, jeux vidéos, ordinateurs). Courent-ils des dangers ?

• Pourquoi ne pas supprimer les sites pornographiques, pédophiles, racistes et les jeux d’argent sur Internet ?

• Comment savoir avec qui mon enfant discute sur MSN (messagerie instantanée) ?

• Insulter un professeur sur Internet, est-ce grave ? Quels risques court-on ?

• Un jeune peut-il être enrôlé par une secte via Internet ?

• Vous pointez du doigt les dérives du téléphone portable. Pourquoi ?

Interview dans Ouest-France

Jean-Jacques Rebours, journaliste à Ouest-France, m’a longuement interrogé sur les relations « Ecrans-Enfants ». Retrouvez ici cet entretien, publié hier, et où je réponds aux préoccupations des parents :

•Un enfant peut-il se passer d’Internet aujourd’hui ?

• A quel âge peut-on initier un enfant à l’informatique ?

• On constate que les enfants passent beaucoup de temps devant les écrans (télé, jeux vidéos, ordinateurs). Courent-ils des dangers ?

• Pourquoi ne pas supprimer les sites pornographiques, pédophiles, racistes et les jeux d’argent sur Internet ?

• Comment savoir avec qui mon enfant discute sur MSN (messagerie instantanée) ?

• Insulter un professeur sur Internet, est-ce grave ? Quels risques court-on ?

• Un jeune peut-il être enrôlé par une secte via Internet ?

• Vous pointez du doigt les dérives du téléphone portable. Pourquoi ?

Les drones sous-marins, c'est pour… demain !


Le 21 février dernier, l’Ecole navale a organisé un colloque sur les drones et en particulier sur les drones sous-marins. Economes en vies, en moyens et en supports, ces engins devraient permettre à la Marine de continuer à remplir ses missions de défense et de protection, malgré les restrictions budgétaires. Les civils sont également intéressés, pour la surveillance des exploitations pétrolières offshore, par exemple.
Mais les obstacles à surmonter demeurent énormes. Voir l’article que j’ai consacré aux drones sous-marins et qui a été publié par les Echos hier.
A noter que la Marine nationale n’a pas montré tous ses drones sous-marins lors du colloque organisé à l’Ecole navale.

Mon enquête devait également comporter une interview de Bruno Jouvencel, qui dirige un groupe de recherche sur la robotique sous-marine au Lirmm (Laboratoire d’informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier). Malheureusement, ce texte n’a pu être publié par les Echos, faute de place. Le voici :

• Bruno Jouvencel, quelles recherches menez-vous sur les drones sous-marins ?
En 1996, le Lirmm a été désigné par le Cnrs comme compétent dans le domaine de la robotique sous-marine. Nous recevons actuellement des financements de l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), de l’Europe et, dans une très faible proportion, de la DGA, la Direction Générale pour l’Armement. Nos travaux portent, par exemple, sur le positionnement des drones et le travail de plusieurs drones ensemble.

• Comment résoudre le problème du positionnement ?
La solution la plus courante est l’utilisation des ondes acoustiques, des sonars, par les drones pour se localiser. Mais dans ce cas, ils peuvent alors être facilement repérés par l’adversaire. Nous envisageons, de façon très exploratoire, d’utiliser la vision. Un drone terrestre sait très bien, par exemple, utiliser ses caméras pour calculer sa vitesse de déplacement. Sous l’eau, un drone pourrait faire la même chose par rapport au fond de la mer. Mais pour voir ce fond, il faut un éclairage qui passe à travers les particules en suspension dans l’eau.
• Pourquoi s’intéresser aux flottilles de drones ?
Plusieurs drones travaillant ensemble peuvent plus facilement et plus rapidement construire une carte de la zone qu’ils explorent. Et en rassemblant les images ramenées par leurs sonars, ils peuvent identifier avec plus de certitude un objet sous-marin, comme une mine.

Les drones sous-marins, c’est pour… demain !


Le 21 février dernier, l’Ecole navale a organisé un colloque sur les drones et en particulier sur les drones sous-marins. Economes en vies, en moyens et en supports, ces engins devraient permettre à la Marine de continuer à remplir ses missions de défense et de protection, malgré les restrictions budgétaires. Les civils sont également intéressés, pour la surveillance des exploitations pétrolières offshore, par exemple.
Mais les obstacles à surmonter demeurent énormes. Voir l’article que j’ai consacré aux drones sous-marins et qui a été publié par les Echos hier.
A noter que la Marine nationale n’a pas montré tous ses drones sous-marins lors du colloque organisé à l’Ecole navale.

Mon enquête devait également comporter une interview de Bruno Jouvencel, qui dirige un groupe de recherche sur la robotique sous-marine au Lirmm (Laboratoire d’informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier). Malheureusement, ce texte n’a pu être publié par les Echos, faute de place. Le voici :

• Bruno Jouvencel, quelles recherches menez-vous sur les drones sous-marins ?
En 1996, le Lirmm a été désigné par le Cnrs comme compétent dans le domaine de la robotique sous-marine. Nous recevons actuellement des financements de l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), de l’Europe et, dans une très faible proportion, de la DGA, la Direction Générale pour l’Armement. Nos travaux portent, par exemple, sur le positionnement des drones et le travail de plusieurs drones ensemble.

• Comment résoudre le problème du positionnement ?
La solution la plus courante est l’utilisation des ondes acoustiques, des sonars, par les drones pour se localiser. Mais dans ce cas, ils peuvent alors être facilement repérés par l’adversaire. Nous envisageons, de façon très exploratoire, d’utiliser la vision. Un drone terrestre sait très bien, par exemple, utiliser ses caméras pour calculer sa vitesse de déplacement. Sous l’eau, un drone pourrait faire la même chose par rapport au fond de la mer. Mais pour voir ce fond, il faut un éclairage qui passe à travers les particules en suspension dans l’eau.
• Pourquoi s’intéresser aux flottilles de drones ?
Plusieurs drones travaillant ensemble peuvent plus facilement et plus rapidement construire une carte de la zone qu’ils explorent. Et en rassemblant les images ramenées par leurs sonars, ils peuvent identifier avec plus de certitude un objet sous-marin, comme une mine.

Internet : Bruxelles veut protéger les enfants

La Commission européenne a débloqué, hier mercredi 27 février, 55 millions d’euros sur les années 2009 à 2013 pour protéger les enfants contre les dangers d’Internet (voir la dépêche AFP à ce sujet publiée par Lemonde.fr). Ce programme comportera, entre autres, des actions de sensibilisation des mineurs, des parents et des enseignants.
Les propositions présentées tiennent compte des résultats d’une consultation publique menée d’avril à juin 2007 sur la sécurité de l’internet et des technologies en ligne pour les enfants, à laquelle j’ai moi-même participé. Vous pouvez lire le témoignage écrit que j’avais envoyé à la Commission européenne en cliquant sur le lien ci-dessous :
Henno-WebEnfants.pdf

Internet : Bruxelles veut protéger les enfants

La Commission européenne a débloqué, hier mercredi 27 février, 55 millions d’euros sur les années 2009 à 2013 pour protéger les enfants contre les dangers d’Internet (voir la dépêche AFP à ce sujet publiée par Lemonde.fr). Ce programme comportera, entre autres, des actions de sensibilisation des mineurs, des parents et des enseignants.
Les propositions présentées tiennent compte des résultats d’une consultation publique menée d’avril à juin 2007 sur la sécurité de l’internet et des technologies en ligne pour les enfants, à laquelle j’ai moi-même participé. Vous pouvez lire le témoignage écrit que j’avais envoyé à la Commission européenne en cliquant sur le lien ci-dessous :
Henno-WebEnfants.pdf

L'énergie des vagues à l'heure des choix

Une quarantaine d’organismes (laboratoires de recherche, entreprises…), répartis un peu partout dans le monde occidental (Australie, Danemark, Etats-Unis, France, Japon, Norvège…), planchent actuellement sur la meilleure façon de récupérer l’énergie des vagues. Une quinzaine d’entre eux auront dès cette année des prototypes ou des machines définitives en fonctionnement dans des zones d’essai éparpillées de Portland, en Oregon, sur la côte ouest des Etats-Unis, à la Namibie, en passant par les îles Orcades, en Ecosse, les Cornouailles, en Angleterre, ou Porto, au Portugal. Lire à ce sujet l’enquête que j’ai réalisée pour la page Innovation des Echos et qui a été publiée hier.

L’article comporte également une interview de Frank Neumann, directeur du Wave Energy Centre, au Portugal. Dans cet entretien, ce spécialiste de l’énergie houlomotrice explique que «ce ne sont pas les solutions techniques qui manquent, mais les capitaux.»

L’énergie des vagues à l’heure des choix

Une quarantaine d’organismes (laboratoires de recherche, entreprises…), répartis un peu partout dans le monde occidental (Australie, Danemark, Etats-Unis, France, Japon, Norvège…), planchent actuellement sur la meilleure façon de récupérer l’énergie des vagues. Une quinzaine d’entre eux auront dès cette année des prototypes ou des machines définitives en fonctionnement dans des zones d’essai éparpillées de Portland, en Oregon, sur la côte ouest des Etats-Unis, à la Namibie, en passant par les îles Orcades, en Ecosse, les Cornouailles, en Angleterre, ou Porto, au Portugal. Lire à ce sujet l’enquête que j’ai réalisée pour la page Innovation des Echos et qui a été publiée hier.

L’article comporte également une interview de Frank Neumann, directeur du Wave Energy Centre, au Portugal. Dans cet entretien, ce spécialiste de l’énergie houlomotrice explique que «ce ne sont pas les solutions techniques qui manquent, mais les capitaux.»