Tous les articles par Jacques Henno

Independent journalist, speaker, writer focused on ICT / Journaliste, auteur et conférencier, spécialiste des nouvelles technologies.

Interviewé par TF1 sur l'utilisation des nouvelles technologies pour nous espionner

J’ai été interviewé le 7 août dernier par TF1, dans le cadre de l’émission « On nous dit » qui consacrait un reportage aux utilisations possibles du téléphone mobile et d’Internet pour nous espionner. Vous pouvez retrouver cette émission en cliquant sur le lien suivant : http://lachaine.tf1.fr/lachaine/divertissement/on-nous-dit/videos/0,,3935155,00-tf1-en-video-l-emission-du-07-aout-2008-2-2-.html

Interviewé par TF1 sur l’utilisation des nouvelles technologies pour nous espionner

J’ai été interviewé le 7 août dernier par TF1, dans le cadre de l’émission « On nous dit » qui consacrait un reportage aux utilisations possibles du téléphone mobile et d’Internet pour nous espionner. Vous pouvez retrouver cette émission en cliquant sur le lien suivant : http://lachaine.tf1.fr/lachaine/divertissement/on-nous-dit/videos/0,,3935155,00-tf1-en-video-l-emission-du-07-aout-2008-2-2-.html

Comment développer ses réseaux sur Internet

Les réseaux sociaux professionnels virtuels, du type Linkedin ou Viadeo, peuvent constituer une aide précieuse dans le cadre d’une recherche d’emploi.

Vous êtres cadre et désirez changer de poste d’ici à la fin de cette année ? Vous êtes mère de famille et souhaitez reprendre une activité salariée au cours des prochains mois ? Les réseaux sociaux numériques peuvent vous aider à atteindre cet objectif.
De quoi s’agit-il exactement ? De sites Internet sur lesquels tout le monde peut s’inscrire et rédiger son « profil », c’est-à-dire un résumé de ses études, de son parcours professionnel et de ses passions. Puis, on se crée un « réseau » en partageant ces informations avec tout son carnet d’adresses électronique, c’est-à-dire toutes les personnes dont on possède les coordonnées mail. De proche en proche, se constitue ainsi une immense chaîne reliant tous les abonnés à un même site. Les statisticiens ont d’ailleurs calculé que si l’ensemble des habitants de la planète appartenait à un seul et même réseau, ils ne seraient séparés, au maximum, que par six « intermédiaires » : par exemple, en théorie, il suffirait à n’importe quel Français de remonter une chaîne de six personnes pour approcher le président des Etats-Unis !
Les premiers réseaux sociaux apparus sur Internet (Copainsdavant en France ; MySpace et Facebook aux Etats-Unis…) servaient surtout à se créer un réseau de copains avec qui l’on parlait du bon vieux temps ou de musique. Mais les derniers-nés de ces sites sont dédiés uniquement au business.
Dans l’Hexagone, deux portails se partagent ce créneau « pro » : Viadeo.com et Linkedin.com. Viadeo, d’origine française, regrouperait au total deux millions d’utilisateurs en Europe ; il est surtout fréquenté par des cadres jeunes, plutôt de niveau intermédiaire. Le Français est une des sept langues utilisées. Linkedin, américain, comporte les profils de plus de 20 millions d’habitants du monde entier, dont quelque six millions d’Européens. Il s’adresse à des cadres relativement plus âgés et donc plus confirmés, et, surtout, maîtrisant l’anglais. C’est en effet, pour l’instant, la seule langue parlée sur ce site (une version française est annoncée pour cet automne).
Les avantages ? Il y en a essentiellement deux. Tout d’abord, ces réseaux numériques permettent d’être plus facilement repéré par les spécialistes des ressources humaines. « Tous les chasseurs de têtes et consultants en recrutement sont sur ces sites et y effectuent des recherches pour y déceler des candidats potentiels », explique Alexandra Le Boursicaud, associée du cabinet Alchimie, conseil en recrutement. Plus généralement, ces sites offrent une visibilité sur Internet, ce qui est désormais indispensable. « Aujourd’hui, un cadre qui revendique une expertise, doit avoir une identité sur le net : 40% des recruteurs déclarent googliser [interroger Google sur] les candidats », prévient Jean-Paul Szelerski, directeur des services Web de l’Apec (Association pour l’Emploi des cadres). Cet organisme a d’ailleurs signé un partenariat original avec Linkedin : une personne qui postule, via le site Internet de l’Apec, à une annonce, voit immédiatement la liste de ses contacts Linkedin, directes ou indirectes, travaillant dans l’entreprise recruteuse. Il peut alors leur demander des informations sur cette société ou son secteur d’activité.
C’est là, précisément, le second atout de ces réseaux : obtenir, très rapidement, des introductions auprès de presque n’importe qui. « Les réseaux numériques permettent d’identifier très facilement les contacts de mes contacts de mes contacts, etc., qui peuvent m’aider, alors que, dans la vraie vie, c’est impossible », détaille Valérie March, directeur marketing de Place des réseaux, un réseau social destiné aux patrons de PME. Bref, comme le résume Manuelle Malot, directeur carrières et prospectives à l’Edhec (Ecole des Hautes Etudes Commerciales du Nord), une école de commerce : « ça permet d’aller plus vite que les dîners en ville pour se constituer un excellent carnet d’adresses. »
Pour autant, ces outils ne constituent pas une solution miracle pour trouver un travail en quelques semaines. Cela ne peut être qu’un complément par rapport aux actions « classiques » (candidatures spontanées, lectures des petites annonces…). Il faut aussi avoir conscience que ces réseaux sont chronophages et ne deviennent efficaces que sur le moyen ou le long terme. Entre la création de son profil, l’apprentissage d’une bonne maîtrise de la technologie et l’envoi des invitations, la constitution du réseau, proprement dit, prend déjà plusieurs semaines. Suit alors une phase où l’on est souvent sollicité par des « contacts » de « contacts ». Il faut alors accepter de rendre service, pour pouvoir demander soi-même, plus tard, une faveur… « Ces réseaux reposent sur un principe d’échange et de partage, rappelle Alexandra Le Boursicaud. Il faut donner un peu de son temps avant de recevoir des autres. »
Il existe cependant deux astuces pour accélérer le processus. Premièrement, remplir avec soin son profil, en pensant à y inclure tous les mots-clés susceptibles d’être utilisés lors d’une recherche sur Internet. Ainsi, un spécialiste du Web marketing, parlera également de e-marketing, de marketing en ligne et marketing on line. Second conseil : s’inscrire à des « hubs », ces sous-réseaux qui regroupent les anciens élèves d’une école ou d’une université, les ex-collaborateurs d’une entreprise, les spécialistes d’une fonction (la finance), les experts d’un secteur (la logistique) ou les utilisateurs d’un outil informatique (logiciel SAP…). « Ces hubs permettent à quelqu’un qui veut changer de secteur ou de fonction de se faire très rapidement une idée de la réalité de son futur métier », affirme Valérie March.
Enfin, il faut garder à l’esprit que les mêmes règles de prudence et de politesse s’appliquent aussi bien dans le virtuel que dans le réel : choisir une photo d’identité de très bonne qualité, ne pas mélanger ses relations amicales, professionnelles, religieuses ou politiques, ne pas trop en dire sur soi si l’on travaille dans un secteur sensible (défense, armement, recherche…). Et ne pas oublier de remercier, par un petit mail, toutes les personnes qui vous aident.
Jacques Henno
(article paru dans l’hebdomadaire Famille Chrétienne le 5 juillet 2008)

Interviewé par TF1 sur l'utilisation des nouvelles technologies pour nous espionner

J’ai été interviewé le 7 août dernier par TF1, dans le cadre de l’émission « On nous dit » qui consacrait un reportage aux utilisations possibles du téléphone mobile et d’internet pour nous espionner.

Vous pouvez retrouver cette émission en cliquant ici.

http://lachaine.tf1.fr/lachaine/divertissement/on-nous-dit/videos/0,,3935155,00-tf1-en-video-l-emission-du-07-aout-2008-2-2-.html

Interviewé par TF1 sur l’utilisation des nouvelles technologies pour nous espionner

J’ai été interviewé le 7 août dernier par TF1, dans le cadre de l’émission « On nous dit » qui consacrait un reportage aux utilisations possibles du téléphone mobile et d’internet pour nous espionner.

Vous pouvez retrouver cette émission en cliquant ici.

http://lachaine.tf1.fr/lachaine/divertissement/on-nous-dit/videos/0,,3935155,00-tf1-en-video-l-emission-du-07-aout-2008-2-2-.html

Réponse de Google sur les failles de SafeSearch

Voici le texte que Myriam Boublil, du service communication de Google France, m’a fait parvenir, en réponse à mes remarques sur les failles de SafeSearchvoir ci-dessous (SafeSearch est l’outil mis à la disposition par Google pour filtrer les contenus indésirables).

« Nous avons un certain nombre de mesures en place pour prévenir toute publicité inappropriée sur Google, notamment avec le filtrage SafeSearch strict (contenu adulte). Nous avons de puissants processus automatiques et manuels pour empêcher ce type de publicité d’apparaître sur Google. Malheureusement, certaines publicités peuvent occasionnellement passer à travers nos systèmes automatiques, mais dès que nous en prenons connaissance, nous les retirons. »

Technologies-clés : un fichier public et gratuit de 1 100 laboratoires français

La DGE, issu du Minefe, a mis en ligne une vaste base de données de la R&D publique et privée dédiée à 83 « technologies-clés pour l’avenir de la France ».

Mille cent laboratoires français, privés ou publics, sélectionnés pour leurs travaux sur les 83 domaines identifiés par l’administration comme des technologies-clés pour l’avenir. Et pour chacun de ces centres de recherche, un descriptif précis de leurs domaines d’expertise, de leurs partenariats, de leurs originalités et des personnes à contacter est proposé. Le tout est gratuit et dépourvu de publicité.

Telle est l’outil, intitulé [1] “base de données Technologies-clés : identification des centres de recherche à fort potentiel”, que la Direction générale des entreprises (DGE), issu du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, vient de mettre en ligne, à destination des sociétés. “L’objectif est d’aider les entreprises à rechercher facilement de l’information sur les technologies qui les intéressent”, commente Michel Aribart, chargé de mission au sein du service des politiques d’innovation et de compétitivité, à la DGE.

Ce gigantesque fichier est la suite du [2] rapport “Technologies-clés 2010″ publié en septembre 2006 et qui avait permis d’identifier les 83 technologies jugées les plus prometteuses, par la DGE, pour l’industrie française à un horizon de cinq à dix ans. Il complète la liste des centres retenus pour faire partie des pôles de compétitivité.

Les études pour la mise en place de cette base de données ont commencé en 2006. L’identification des laboratoires présents dans cette liste a été confiée à l’ADIT (Société Nationale d’[3] Intelligence Economique), un cabinet de prospective et de veille technologique contrôlé majoritairement par l’Etat. “Ces labos sont tous reconnus au plan international, précise Michel Aribart . Ils ont été choisis pour leurs publications et leurs participations à des événements internationaux, comme les conférences.”

Les autres critères retenus sont les dépôts de brevets récents et la participation à de grands programmes de recherche nationaux, européens ou internationaux.

17 spécialités dans les TIC

La navigation sur Expertises2010.com est aisée. Les
1100 organismes sont répartis en huit grands domaines, qui correspondent à la nomenclature établie pour l’étude “Technologies-clés 2010″ : Technologies de l’information et de la communication, Matériaux – Chimie, Bâtiment, Énergie – Environnement, Technologies du vivant – Santé -Agroalimentaire , Transports, Distribution – Consommation, Technologies et méthodes de production.

Puis, chacun de ces huit domaines est éclaté en technologies-clés. 
Un clic sur Technologies de l’information et de la communication, par exemple, fait apparaître 17 spécialités, dont la gestion de la micro-énergie, le [4] stockage de l’information numérique, la RFID, les cartes sans contact, la [5] virtualisation des réseaux, les technologies du Web sémantique…

Poussons la recherche plus loin : un nouveau clic sur “Technologies du Web sémantique” et s’ouvre une fenêtre avec neuf centres de recherche. Le premier d’entre eux, par exemple, est l’équipe GEMO, spécialisée dans “l’Intégration de données et de connaissances distribuées sur le Web”, située en Ile-de-France.

Nouveau clic et on arrive à la fiche de l’équipe Gemo : ses expertises (gestion de données XML en P2P, entrepôts thématiques de contenu du Web… ) ses collaborations ou partenariats (WebContent 2006-2009 avec le CEA, Thales, EADS, Bongrain, Xyleme, Exalead… ), ses particularités, son effectif, sa forme juridique, son adresse et les coordonnées de la personne à contacter (il s’agit de Serge Abiteboul, responsable scientifique, en l’occurence [6] que nous avons récemment interviewé).

Afin de limiter les erreurs, l’Adit a soumis leurs fiches à tous les centres, pour vérification.

Les enfants face aux écrans : quatre ans d'engagement

Je suis de très près, à titre professionnel, mais aussi personnel – ma femme et moi sommes parents de trois jeunes enfants – l’impact des écrans sur les enfants.

J’ai édité en 2004 un livre intitulé Les enfants face aux écrans : pornographie, la vraie violence, préfacé par le Dr Aldo Naouri, pédiatre.

A la suite de cette publication, j’ai été invité à faire partie, en tant que membre permanent, du groupe de travail interministériel Les usages de l’Internet et la protection de l’enfance, qui avait préparé la conférence de la Famille 2005 (c’est à la suite de cet événement que les FAI – fournisseurs d’accès à Internet – se sont engagés à proposer gratuitement à leur abonnés des logiciels de filtrage). Pour ce groupe de travail, j’avais rédigé une contribution écrite, Logiciels de filtrage et de contrôle parental : pour une incitation à la mise au point de produits fiables à 100%.

En décembre 2006, j’ai adressé une lettre ouverte aux députés français, intitulée Pour une meilleure protection des enfants en ligne. Neuf députés – sur 577 – m’ont répondu. Quatre d’entre eux avaient demandé, par le biais d’une question écrite, des éclaircissements au ministre délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes Agées, aux Personnes Handicapées et à la Famille (à l’époque Philippe Bas). A ma connaissance, celui-ci n’a jamais répondu.

En janvier 2007, je suis intervenu devant le groupe de travail « L’image des jeunes », constitué par le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, sur le thème « Y-a-t-il un impact de la pornographie sur les jeunes ? ».

En juin 2007, j’ai répondu à une enquête de la Commission Européenne, dans le cadre du programme Safer Internet, sur la protection des enfants sur Internet. Ma réponse est consultable ici.

En juillet 2007, j’avais testé l’efficacité des outils de filtrage proposés par les moteurs de recherche. Après avoir activé ces filtres au « maximum », c’est-à-dire, après avoir choisi le filtrage le plus strict possible, j’avais tapé « sexe » comme terme de recherche sur Google, Live Search (Microsoft) et Yahoo !. Sur Yahoo!, trois publicités inappropriées étaient apparues. Contacté, Yahoo! France avait fini par répondre, après quelques hésitations : « Nous avons fait part de vos remarques à Christophe Parcot, directeur général Yahoo France et vice-président Europe du Sud. Celui-ci a pris la décision de ne plus afficher de lien sponsorisé adulte quand le filtre est activé. »

En janvier 2008, j’ai publié Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… A ma connaissance ce livre est unique en France : il est le seul à aborder tous les aspects des nouvelles technologies et à donner aux parents des conseils pratiques, voire techniques, mais faciles à mettre en œuvre.

Dans cet ouvrage, je soulève, entre autres, deux problèmes, qui concernent toutes les familles françaises :

les outils de contrôle parental actuellement mis à la disposition des familles par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet) ne sont pas assez performants ;

les SMS surtaxés constituent un fardeau financier pour les familles.

En juillet 2008, j’ai créé sur le réseau social professionnel en ligne Linkedin un groupe destiné à toutes les personnes intéressées, à travers le monde, par la protection des enfants lorsque ceux-ci utilisent les nouvelles technologies : www.kids-safety-in-the-digital-worlds.com

Enfin, j’ai donné une trentaine de conférences sur le thème des enfants et des nouvelles technologies, devant des parents, à l’invitation d’associations de parents d’élèves (Apel, FCPE…), de collectivités locales (Conseil général des Bouches-du-Rhône, Mairie de Gardanne, projet Quartier numérique du 2e arrondissement de Paris, Canton de Pont de Beauvoisin, en Isère…), d’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), d’associations de défense des enfants (Fondation pour l’Enfance…) et d’organismes sociaux (Codes, groupes de parents financés par les Allocations Familiales…).

Les enfants face aux écrans : quatre ans d’engagement

Je suis de très près, à titre professionnel, mais aussi personnel – ma femme et moi sommes parents de trois jeunes enfants – l’impact des écrans sur les enfants.

J’ai édité en 2004 un livre intitulé Les enfants face aux écrans : pornographie, la vraie violence, préfacé par le Dr Aldo Naouri, pédiatre.

A la suite de cette publication, j’ai été invité à faire partie, en tant que membre permanent, du groupe de travail interministériel Les usages de l’Internet et la protection de l’enfance, qui avait préparé la conférence de la Famille 2005 (c’est à la suite de cet événement que les FAI – fournisseurs d’accès à Internet – se sont engagés à proposer gratuitement à leur abonnés des logiciels de filtrage). Pour ce groupe de travail, j’avais rédigé une contribution écrite, Logiciels de filtrage et de contrôle parental : pour une incitation à la mise au point de produits fiables à 100%.

En décembre 2006, j’ai adressé une lettre ouverte aux députés français, intitulée Pour une meilleure protection des enfants en ligne. Neuf députés – sur 577 – m’ont répondu. Quatre d’entre eux avaient demandé, par le biais d’une question écrite, des éclaircissements au ministre délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes Agées, aux Personnes Handicapées et à la Famille (à l’époque Philippe Bas). A ma connaissance, celui-ci n’a jamais répondu.

En janvier 2007, je suis intervenu devant le groupe de travail « L’image des jeunes », constitué par le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, sur le thème « Y-a-t-il un impact de la pornographie sur les jeunes ? ».

En juin 2007, j’ai répondu à une enquête de la Commission Européenne, dans le cadre du programme Safer Internet, sur la protection des enfants sur Internet. Ma réponse est consultable ici.

En juillet 2007, j’avais testé l’efficacité des outils de filtrage proposés par les moteurs de recherche. Après avoir activé ces filtres au « maximum », c’est-à-dire, après avoir choisi le filtrage le plus strict possible, j’avais tapé « sexe » comme terme de recherche sur Google, Live Search (Microsoft) et Yahoo !. Sur Yahoo!, trois publicités inappropriées étaient apparues. Contacté, Yahoo! France avait fini par répondre, après quelques hésitations : « Nous avons fait part de vos remarques à Christophe Parcot, directeur général Yahoo France et vice-président Europe du Sud. Celui-ci a pris la décision de ne plus afficher de lien sponsorisé adulte quand le filtre est activé. »

En janvier 2008, j’ai publié Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… A ma connaissance ce livre est unique en France : il est le seul à aborder tous les aspects des nouvelles technologies et à donner aux parents des conseils pratiques, voire techniques, mais faciles à mettre en œuvre.

Dans cet ouvrage, je soulève, entre autres, deux problèmes, qui concernent toutes les familles françaises :

les outils de contrôle parental actuellement mis à la disposition des familles par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet) ne sont pas assez performants ;

les SMS surtaxés constituent un fardeau financier pour les familles.

En juillet 2008, j’ai créé sur le réseau social professionnel en ligne Linkedin un groupe destiné à toutes les personnes intéressées, à travers le monde, par la protection des enfants lorsque ceux-ci utilisent les nouvelles technologies : www.kids-safety-in-the-digital-worlds.com

Enfin, j’ai donné une trentaine de conférences sur le thème des enfants et des nouvelles technologies, devant des parents, à l’invitation d’associations de parents d’élèves (Apel, FCPE…), de collectivités locales (Conseil général des Bouches-du-Rhône, Mairie de Gardanne, projet Quartier numérique du 2e arrondissement de Paris, Canton de Pont de Beauvoisin, en Isère…), d’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), d’associations de défense des enfants (Fondation pour l’Enfance…) et d’organismes sociaux (Codes, groupes de parents financés par les Allocations Familiales…).

Les enfants face aux écrans : quatre ans d'engagement

Je suis de très près, à titre professionnel, mais aussi personnel – ma femme et moi sommes parents de trois jeunes enfants – l’impact des écrans sur les enfants.

J’ai édité en 2004 un livre intitulé Les enfants face aux écrans : pornographie, la vraie violence, préfacé par le Dr Aldo Naouri, pédiatre.

A la suite de cette publication, j’ai été invité à faire partie, en tant que membre permanent, du groupe de travail interministériel Les usages de l’Internet et la protection de l’enfance, qui avait préparé la conférence de la Famille 2005 (c’est à la suite de cet événement que les FAI – fournisseurs d’accès à Internet – se sont engagés à proposer gratuitement à leur abonnés des logiciels de filtrage). Pour ce groupe de travail, j’avais rédigé une contribution écrite, Logiciels de filtrage et de contrôle parental : pour une incitation à la mise au point de produits fiables à 100%.

En décembre 2006, j’ai adressé une lettre ouverte aux députés français, intitulée Pour une meilleure protection des enfants en ligne. Neuf députés – sur 577 – m’ont répondu. Quatre d’entre eux avaient demandé, par le biais d’une question écrite, des éclaircissements au ministre délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes Agées, aux Personnes Handicapées et à la Famille (à l’époque Philippe Bas). A ma connaissance, celui-ci n’a jamais répondu.

En janvier 2007, je suis intervenu devant le groupe de travail « L’image des jeunes », constitué par le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, sur le thème « Y-a-t-il un impact de la pornographie sur les jeunes ? ».

En juin 2007, j’ai répondu à une enquête de la Commission Européenne, dans le cadre du programme Safer Internet, sur la protection des enfants sur Internet. Ma réponse est consultable ici.

En juillet 2007, j’avais testé l’efficacité des outils de filtrage proposés par les moteurs de recherche. Après avoir activé ces filtres au « maximum », c’est-à-dire, après avoir choisi le filtrage le plus strict possible, j’avais tapé « sexe » comme terme de recherche sur Google, Live Search (Microsoft) et Yahoo !. Sur Yahoo!, trois publicités inappropriées étaient apparues. Contacté, Yahoo! France avait fini par répondre, après quelques hésitations : « Nous avons fait part de vos remarques à Christophe Parcot, directeur général Yahoo France et vice-président Europe du Sud. Celui-ci a pris la décision de ne plus afficher de lien sponsorisé adulte quand le filtre est activé. »

En janvier 2008, j’ai publié Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… A ma connaissance ce livre est unique en France : il est le seul à aborder tous les aspects des nouvelles technologies et à donner aux parents des conseils pratiques, voire techniques, mais faciles à mettre en œuvre.

Dans cet ouvrage, je soulève, entre autres, deux problèmes, qui concernent toutes les familles françaises :

les outils de contrôle parental actuellement mis à la disposition des familles par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet) ne sont pas assez performants ;

les SMS surtaxés constituent un fardeau financier pour les familles.

En juillet 2008, j’ai créé sur le réseau social professionnel en ligne Linkedin un groupe destiné à toutes les personnes intéressées, à travers le monde, par la protection des enfants lorsque ceux-ci utilisent les nouvelles technologies : www.kids-safety-in-the-digital-worlds.com

Enfin, j’ai donné une trentaine de conférences sur le thème des enfants et des nouvelles technologies, devant des parents, à l’invitation d’associations de parents d’élèves (Apel, FCPE…), de collectivités locales (Conseil général des Bouches-du-Rhône, Mairie de Gardanne, projet Quartier numérique du 2e arrondissement de Paris, Canton de Pont de Beauvoisin, en Isère…), d’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), d’associations de défense des enfants (Fondation pour l’Enfance…) et d’organismes sociaux (Codes, groupes de parents financés par les Allocations Familiales…).