Dotés d’un GPS et parfois d’une boussole, les « smartphones » concurrencent de plus en plus les guides touristiques. De nombreux éditeurs explorent ce nouveau créneau.
Vous êtes perdu dans Berlin, alors que votre rendez-vous avec votre client allemand commence dans 15 minutes ? Ce n’est plus un problème si vous disposez d’un « smartphone ». Sur iPhone, vous pouvez télécharger les applications Fahr-Info Berlin (gratuite) pour calculer votre itinéraire, ou Métro Berlin (0,79 euro) pour connaître la station de métro la plus proche. Le soir, si vous avez un BlackBerry, l’application WCities Berlin (11,99 dollars, soit quelque 8 euros) vous indiquera les bonnes tables, les événements du jour et, grâce à sa fonction « réseau social », vos amis qui s’y trouvent déjà ! Que l’on soit en déplacement professionnel ou en voyage d’agrément, à quelques kilomètres de ses bases ou à l’autre bout de la planète, les « smartphones » constituent désormais de précieux assistants.
Article de Jacques Henno paru le 10 décembre 2009 dans le quotidien Les Echos
A lire également, l’interview que j’ai réalisée d’Agnès Alfandari, chef du service multimédia du Musée du Louvre, au sujet de l’application gratuite destinée à l’iPhone que cette institution a publiée début novembre :
J’ai retrouvé cet interview vieille de deux ans, mais toujours d’actualité, sur les PNR (Passenger Names Records) : au nom de la lutte contre le terrorisme, les compagnies aériennes doivent communiquer ces fichiers sur leurs passagers aux autorités américaines, qui peuvent également s’en servir à des fins d’espionnage économique !
« Tous fiches : l’incroyable projet américain pour déjouer les attentats terroristes » can be translated by « Files on all of us: the amazing US project to deter terrorism ». This survey -written by Jacques Henno, a French freelance journalist- describes a US Intelligence program aimed at discovering terrorist plots: the Total Information Awareness (TIA) program. In 2003, US Congress banned use of TIA against US citizens but allowed it against aliens/foreigners outside US.
TIA is designed as an early-warning system that mine intelligence databases, but also airline databases (the data of all passengers arriving to USA or flying over USA are screened), private databases of credit card records and other transactions, for telltale signals of terrorist plots.
In this book, Jacques Henno also describes how Acxiom, a US marketing databases company, is a US Pentagon contractor ; and how all marketing information gathered by Acxiom outside the US can be used by the US Intelligence Community (many countries are targeted as Acxiom has subsidiaries in UK, France, Germany, Spain, Netherlands, Portugal, Poland, Australia and New Zealand).
This is NOT science-fiction: the National Security Agency’s domestic eavesdropping, authorized by George W Bush proves that this agency is collecting and data-mining information intercepted from thousands of people. US newspapers are now writing articles about TIA and related research programs (Novell Intelligence from Massive Data, Advanced Capabilities for Intelligence Analysis program…). For example, see:http://govexec.com/dailyfed/0106/0120…
On Saturday November 3rd, 2007, Jacques Henno had been interviewed on France24 about the use of data collected by US agencies: « Under scrutiny. Since 9/11, European airlines and banks share information on their customers with US. Some say that the US is using this data in an economic war against Europe. »
La direction du collège Mont-Roland, à Dole (Jura), m’a invité demain à venir parler des enfants et des nouvelles technologies.
Au programme :
• de 13h25 à 14h15 : intervention devant quatre classes de 3°
• de 14h20 à 15h15 : intervention devant quatre autres classes de 3°
• de 15h20 à 16h : rencontre avec les délégués au Parlement des élèves et les délégués de classes de 3° pour un temps de questions/réponses
• de 18H à 20H : conférence débat avec les adultes (parents, enseignants et éducateurs) : Nos collégiens et Internet : anges ou démons ? «Les nouvelles technologies (Internet, jeux vidéo, téléphone mobile…) sont indispensables à l’éducation de nos enfants, mais peuvent poser un certain nombre de problèmes : expositions à des contenus non sollicités (pornographie, apologie de l’ultra-violence, du racisme, de l’ultra- minceur …) ; prises de contact par des pédophiles… ; exposition d’informations privées et compromettantes sur les blogs ou les réseaux sociaux ; échanges de photos dénudées par téléphones portables (les « sextos ») ; « phishing » (courriers électroniques frauduleux tentant de récupérer les identifiants d’un compte en ligne, pour y voler des éléments)… Comment les parents, les enseignants et les éducateurs peuvent-ils aider les collégiens à éviter ces pièges et, au contraire, à tirer le meilleur profit des écrans ?»
Vendredi 20 novembre, j’ai participé à la table-ronde « L’image du mineur », organisée dans le cadre des 10èmes Assises Nationales des Avocats d’Enfants, dont le thème, cette année, était « Clic Droit : l’enfant et les moyens de communication ».
Jean Hauser, professeur de droit privé à l’Université de Bordeaux IV, a détaillé le cadre juridique du droit à l’image, tandis le commandant Duval, officier de police du groupe internet de la Brigade de protection des mineurs de Paris, a décrit le rôle de cette brigade face aux nouvelles technologies.
Puis, j’ai animé les échanges entre la salle et les intervenants.
Vendredi 20 novembre, j’ai participé à la table-ronde « L’image du mineur », organisée dans le cadre des 10èmes Assises Nationales des Avocats d’Enfants, dont le thème, cette année, était « Clic Droit : l’enfant et les moyens de communication ».
Jean Hauser, professeur de droit privé à l’Université de Bordeaux IV, a détaillé le cadre juridique du droit à l’image, tandis le commandant Duval, officier de police du groupe internet de la Brigade de protection des mineurs de Paris, a décrit le rôle de cette brigade face aux nouvelles technologies.
Puis, j’ai animé les échanges entre la salle et les intervenants.
Dans cet extrait d’une conférence que j’ai donnée la semaine dernière à l’invitation de l’UTL (Université du Temps Libre) de Pont l’Abbé, sur le thème des Dangers que les Nouvelles Technologies font courir à notre Vie Privée, j’explique comment Facebook peut révéler certaines informations très indiscrètes sur nous, si nous ne faisons pas attention…
Vendredi 20 novembre 2009, j’ai été invité, aux côtés, entre autres, de Christian Gauttelier, vice-président du CIEM (Collectif Interassociatif Enfance et Média) et de Françoise Laborde, membre du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), par Y’a une solution à tout, animée sur Direct 8 par Evelyne Thomas… Le thème de l’émission était : Sexe et Violence à la Télé : Comment Protéger ses Enfants ?
Parmi les conseils que j’ai donnés pour un bon usage de la télévision chez les jeunes :
• éviter la télévision au maximum (il vaut mieux que l’enfant s’ennuie et fasse travailler son imagination) ;
• installer les écrans (télévision, ordinateur, jeux vidéo…) dans le salon ou une autre pièce commune placée sous la surveillance des parents (surtout pas de télévision dans les chambres) ;
• ne pas laisser des enfants de moins de cinq ans seuls devant un écran (car on ne sait ce qui peut leur faire peur) ;
• pas de télévision le matin avant de partir à l’école (pour que l’enfant n’arrive pas « déconcentré » en classe) ;
• pas de journaux télévisés pour les moins de 11 ans (ce sont des images qui ne laissent pas de place à l’interprétation, à l’imagination…) ;
• encadrer l’utilisation de la télévision (par exemple, un dessin animé par jour pour les moins de neuf ans) afin que cette «merveilleuse fenêtre sur le monde» demeure une activité comme une autre, au même titre que la lecture, les sorties en famille, les copains…
• enfin, respecter la « loi du plus petit » : les émissions regardées en famille doivent pouvoir être vues par le plus jeune des enfants présents à ce moment-là.
Vendredi 20 novembre 2009, j’ai été invité, aux côtés, entre autres, de Christian Gauttelier, vice-président du CIEM (Collectif Interassociatif Enfance et Média) et de Françoise Laborde, membre du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), par Y’a une solution à tout, animée sur Direct 8 par Evelyne Thomas… Le thème de l’émission était : Sexe et Violence à la Télé : Comment Protéger ses Enfants ?
Parmi les conseils que j’ai donnés pour un bon usage de la télévision chez les jeunes :
• éviter la télévision au maximum (il vaut mieux que l’enfant s’ennuie et fasse travailler son imagination) ;
• installer les écrans (télévision, ordinateur, jeux vidéo…) dans le salon ou une autre pièce commune placée sous la surveillance des parents (surtout pas de télévision dans les chambres) ;
• ne pas laisser des enfants de moins de cinq ans seuls devant un écran (car on ne sait ce qui peut leur faire peur) ;
• pas de télévision le matin avant de partir à l’école (pour que l’enfant n’arrive pas « déconcentré » en classe) ;
• pas de journaux télévisés pour les moins de 11 ans (ce sont des images qui ne laissent pas de place à l’interprétation, à l’imagination…) ;
• encadrer l’utilisation de la télévision (par exemple, un dessin animé par jour pour les moins de neuf ans) afin que cette «merveilleuse fenêtre sur le monde» demeure une activité comme une autre, au même titre que la lecture, les sorties en famille, les copains…
• enfin, respecter la « loi du plus petit » : les émissions regardées en famille doivent pouvoir être vues par le plus jeune des enfants présents à ce moment-là.
Vendredi 20 novembre 2009, j’ai été invité, aux côtés, entre autres, de Christian Gauttelier, vice-président du CIEM (Collectif Interassociatif Enfance et Média) et de Françoise Laborde, membre du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), par Y’a une solution à tout, animée sur Direct 8 par Evelyne Thomas… Le thème de l’émission était : Sexe et Violence à la Télé : Comment Protéger ses Enfants ?
Parmi les conseils que j’ai donnés pour un bon usage de la télévision chez les jeunes :
• éviter la télévision au maximum (il vaut mieux que l’enfant s’ennuie et fasse travailler son imagination) ;
• installer les écrans (télévision, ordinateur, jeux vidéo…) dans le salon ou une autre pièce commune placée sous la surveillance des parents (surtout pas de télévision dans les chambres) ;
• ne pas laisser des enfants de moins de cinq ans seuls devant un écran (car on ne sait ce qui peut leur faire peur) ;
• pas de télévision le matin avant de partir à l’école (pour que l’enfant n’arrive pas « déconcentré » en classe) ;
• pas de journaux télévisés pour les moins de 11 ans (ce sont des images qui ne laissent pas de place à l’interprétation, à l’imagination…) ;
• encadrer l’utilisation de la télévision (par exemple, un dessin animé par jour pour les moins de neuf ans) afin que cette «merveilleuse fenêtre sur le monde» demeure une activité comme une autre, au même titre que la lecture, les sorties en famille, les copains…
• enfin, respecter la « loi du plus petit » : les émissions regardées en famille doivent pouvoir être vues par le plus jeune des enfants présents à ce moment-là.
Vendredi 20 novembre 2009, j’ai été invité, aux côtés, entre autres, de Christian Gauttelier, vice-président du CIEM (Collectif Interassociatif Enfance et Média) et de Françoise Laborde, membre du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), par Y’a une solution à tout, animée sur Direct 8 par Evelyne Thomas… Le thème de l’émission était : Sexe et Violence à la Télé : Comment Protéger ses Enfants ?
Parmi les conseils que j’ai donnés pour un bon usage de la télévision chez les jeunes :
• éviter la télévision au maximum (il vaut mieux que l’enfant s’ennuie et fasse travailler son imagination) ;
• installer les écrans (télévision, ordinateur, jeux vidéo…) dans le salon ou une autre pièce commune placée sous la surveillance des parents (surtout pas de télévision dans les chambres) ;
• ne pas laisser des enfants de moins de cinq ans seuls devant un écran (car on ne sait ce qui peut leur faire peur) ;
• pas de télévision le matin avant de partir à l’école (pour que l’enfant n’arrive pas « déconcentré » en classe) ;
• pas de journaux télévisés pour les moins de 11 ans (ce sont des images qui ne laissent pas de place à l’interprétation, à l’imagination…) ;
• encadrer l’utilisation de la télévision (par exemple, un dessin animé par jour pour les moins de neuf ans) afin que cette «merveilleuse fenêtre sur le monde» demeure une activité comme une autre, au même titre que la lecture, les sorties en famille, les copains…
• enfin, respecter la « loi du plus petit » : les émissions regardées en famille doivent pouvoir être vues par le plus jeune des enfants présents à ce moment-là.
Internet, téléphone mobile, jeux vidéo… la révolution numérique affecte toute notre vie
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