Une quarantaine d’organismes (laboratoires de recherche, entreprises…), répartis un peu partout dans le monde occidental (Australie, Danemark, Etats-Unis, France, Japon, Norvège…), planchent actuellement sur la meilleure façon de récupérer l’énergie des vagues. Une quinzaine d’entre eux auront dès cette année des prototypes ou des machines définitives en fonctionnement dans des zones d’essai éparpillées de Portland, en Oregon, sur la côte ouest des Etats-Unis, à la Namibie, en passant par les îles Orcades, en Ecosse, les Cornouailles, en Angleterre, ou Porto, au Portugal. Lire à ce sujet l’enquête que j’ai réalisée pour la page Innovation des Echos et qui a été publiée hier.
L’article comporte également une interview de Frank Neumann, directeur du Wave Energy Centre, au Portugal. Dans cet entretien, ce spécialiste de l’énergie houlomotrice explique que «ce ne sont pas les solutions techniques qui manquent, mais les capitaux.»