
Aujourd’hui, les opérateurs pilotent des robots à distance. Demain, ils encadreront des robots collaboratifs. Il est déjà possible d’apprendre des gestes à un robot en le prenant par le bras, bardé de capteurs et de touches sur lesquelles il suffit de cliquer pour enregistrer une séquence. Mais les prochaines générations seront capables d’apprendre en dialoguant avec les humains. Comment gérer cette nouvelle forme de relations professionnelles ?
Retrouvez l’article que j’ai publié dans le numéro des Echos daté du 17 mai 2016 en cliquant ici : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/021925974973-les-defis-de-la-collaboration-homme-robot-1222221.php?Jfkmu3IsViCFL3AQ.99
Cet article comporte également un encadré : Un phénomène irréductible ? http://www.lesechos.fr/journal20160517/lec1_idees_et_debats/021926065349-un-phenomene-irreductible-1222284.php