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Les logiciels de filtrage ne protégent pas suffisamment les jeunes enfants

Si l’on prend la peine de se plonger dans le détail des derniers tests réalisés, à la demande des pouvoirs publics, sur les logiciels de filtrage proposés par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet), on s’aperçoit que beaucoup de progrès restent à faire.
Ainsi, pour la liste blanche, censée protéger les jeunes enfants contre les contenus indésirables, tous les FAI (sauf Numericable qui est « bon » sur ce point) sont « mauvais » (Orange, SFR, Alice et Neuf), voire carrément « très mauvais » (Free, Club Internet, Télé 2 et Darty) !
Lire l’article que j’ai consacré hier à ce sujet sur Vnunet.fr.

Un site syrien suspecté d'abriter un réacteur nucléaire en construction


Le 6 septembre dernier, l’aviation israélienne a bombardé un site syrien suspecté d’abriter un réacteur nucléaire en construction. Certains experts s’interrogent encore sur la nature exacte, tandis que d’autres sont très affirmatifs. « Il s’agissait soit d’un réacteur nucléaire, soit d’une usine d’assemblage d’armes nucléaires », a estimé Elie Barnavie, historien et ancien ambassadeur d’Israël en France, lors de la conférence « Les enjeux du nucléaire : faut-il avoir peur de la guerre nucléaire ? de Kennedy à Ahmadinejad », organisée le 27 novembre 2007 à la BNF. « Il s’agissait d’un réacteur d’origine nord-coréenne et il y avait des Nord-Coréens sur ce site », a affirmé, pendant le même colloque, Thérèse Delpech, chercheur associé au Centre d’études et de recherches internationales et membre du conseil de l’Institut international d’études stratégiques de Londres.
Syrian suspect reactor site: on September 6th, 2007, Israeli war planes bombed this site and destructed the reactor Syria was allegdly constructing as similar in structure to a North Korean reactor (which is based on an old Russian model). This site is approximately 145 kilometers from the Iraqi border and situated 11 kilometers north of At Tibnah in the Dayr az Zawr region of Syria. There is an airstrip located 3.5 kilometers north of the site.

Un site syrien suspecté d’abriter un réacteur nucléaire en construction


Le 6 septembre dernier, l’aviation israélienne a bombardé un site syrien suspecté d’abriter un réacteur nucléaire en construction. Certains experts s’interrogent encore sur la nature exacte, tandis que d’autres sont très affirmatifs. « Il s’agissait soit d’un réacteur nucléaire, soit d’une usine d’assemblage d’armes nucléaires », a estimé Elie Barnavie, historien et ancien ambassadeur d’Israël en France, lors de la conférence « Les enjeux du nucléaire : faut-il avoir peur de la guerre nucléaire ? de Kennedy à Ahmadinejad », organisée le 27 novembre 2007 à la BNF. « Il s’agissait d’un réacteur d’origine nord-coréenne et il y avait des Nord-Coréens sur ce site », a affirmé, pendant le même colloque, Thérèse Delpech, chercheur associé au Centre d’études et de recherches internationales et membre du conseil de l’Institut international d’études stratégiques de Londres.
Syrian suspect reactor site: on September 6th, 2007, Israeli war planes bombed this site and destructed the reactor Syria was allegdly constructing as similar in structure to a North Korean reactor (which is based on an old Russian model). This site is approximately 145 kilometers from the Iraqi border and situated 11 kilometers north of At Tibnah in the Dayr az Zawr region of Syria. There is an airstrip located 3.5 kilometers north of the site.

Les logiciels de filtrage ne protégent pas suffisamment les jeunes enfants

Si l’on prend la peine de se plonger dans le détail des derniers tests réalisés, à la demande des pouvoirs publics, sur les logiciels de filtrage proposés par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet), on s’aperçoit que beaucoup de progrès restent à faire.
Ainsi, pour la liste blanche, censée protéger les jeunes enfants contre les contenus indésirables, tous les FAI (sauf Numericable qui est « bon » sur ce point) sont « mauvais » (Orange, SFR, Alice et Neuf), voire carrément « très mauvais » (Free, Club Internet, Télé 2 et Darty) !
Lire l’article que j’ai consacré hier à ce sujet sur Vnunet.fr.

Interview dans Ouest-France

Jean-Jacques Rebours, journaliste à Ouest-France, m’a longuement interrogé sur les relations « Ecrans-Enfants ». Retrouvez ici cet entretien, publié hier, et où je réponds aux préoccupations des parents :
•Un enfant peut-il se passer d’Internet aujourd’hui ?

• A quel âge peut-on initier un enfant à l’informatique ?

• On constate que les enfants passent beaucoup de temps devant les écrans (télé, jeux vidéos, ordinateurs). Courent-ils des dangers ?

• Pourquoi ne pas supprimer les sites pornographiques, pédophiles, racistes et les jeux d’argent sur Internet ?

• Comment savoir avec qui mon enfant discute sur MSN (messagerie instantanée) ?

• Insulter un professeur sur Internet, est-ce grave ? Quels risques court-on ?

• Un jeune peut-il être enrôlé par une secte via Internet ?

• Vous pointez du doigt les dérives du téléphone portable. Pourquoi ?

Interview dans Ouest-France

Jean-Jacques Rebours, journaliste à Ouest-France, m’a longuement interrogé sur les relations « Ecrans-Enfants ». Retrouvez ici cet entretien, publié hier, et où je réponds aux préoccupations des parents :

•Un enfant peut-il se passer d’Internet aujourd’hui ?

• A quel âge peut-on initier un enfant à l’informatique ?

• On constate que les enfants passent beaucoup de temps devant les écrans (télé, jeux vidéos, ordinateurs). Courent-ils des dangers ?

• Pourquoi ne pas supprimer les sites pornographiques, pédophiles, racistes et les jeux d’argent sur Internet ?

• Comment savoir avec qui mon enfant discute sur MSN (messagerie instantanée) ?

• Insulter un professeur sur Internet, est-ce grave ? Quels risques court-on ?

• Un jeune peut-il être enrôlé par une secte via Internet ?

• Vous pointez du doigt les dérives du téléphone portable. Pourquoi ?

Les drones sous-marins, c'est pour… demain !


Le 21 février dernier, l’Ecole navale a organisé un colloque sur les drones et en particulier sur les drones sous-marins. Economes en vies, en moyens et en supports, ces engins devraient permettre à la Marine de continuer à remplir ses missions de défense et de protection, malgré les restrictions budgétaires. Les civils sont également intéressés, pour la surveillance des exploitations pétrolières offshore, par exemple.
Mais les obstacles à surmonter demeurent énormes. Voir l’article que j’ai consacré aux drones sous-marins et qui a été publié par les Echos hier.
A noter que la Marine nationale n’a pas montré tous ses drones sous-marins lors du colloque organisé à l’Ecole navale.

Mon enquête devait également comporter une interview de Bruno Jouvencel, qui dirige un groupe de recherche sur la robotique sous-marine au Lirmm (Laboratoire d’informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier). Malheureusement, ce texte n’a pu être publié par les Echos, faute de place. Le voici :

• Bruno Jouvencel, quelles recherches menez-vous sur les drones sous-marins ?
En 1996, le Lirmm a été désigné par le Cnrs comme compétent dans le domaine de la robotique sous-marine. Nous recevons actuellement des financements de l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), de l’Europe et, dans une très faible proportion, de la DGA, la Direction Générale pour l’Armement. Nos travaux portent, par exemple, sur le positionnement des drones et le travail de plusieurs drones ensemble.

• Comment résoudre le problème du positionnement ?
La solution la plus courante est l’utilisation des ondes acoustiques, des sonars, par les drones pour se localiser. Mais dans ce cas, ils peuvent alors être facilement repérés par l’adversaire. Nous envisageons, de façon très exploratoire, d’utiliser la vision. Un drone terrestre sait très bien, par exemple, utiliser ses caméras pour calculer sa vitesse de déplacement. Sous l’eau, un drone pourrait faire la même chose par rapport au fond de la mer. Mais pour voir ce fond, il faut un éclairage qui passe à travers les particules en suspension dans l’eau.
• Pourquoi s’intéresser aux flottilles de drones ?
Plusieurs drones travaillant ensemble peuvent plus facilement et plus rapidement construire une carte de la zone qu’ils explorent. Et en rassemblant les images ramenées par leurs sonars, ils peuvent identifier avec plus de certitude un objet sous-marin, comme une mine.

Les drones sous-marins, c’est pour… demain !


Le 21 février dernier, l’Ecole navale a organisé un colloque sur les drones et en particulier sur les drones sous-marins. Economes en vies, en moyens et en supports, ces engins devraient permettre à la Marine de continuer à remplir ses missions de défense et de protection, malgré les restrictions budgétaires. Les civils sont également intéressés, pour la surveillance des exploitations pétrolières offshore, par exemple.
Mais les obstacles à surmonter demeurent énormes. Voir l’article que j’ai consacré aux drones sous-marins et qui a été publié par les Echos hier.
A noter que la Marine nationale n’a pas montré tous ses drones sous-marins lors du colloque organisé à l’Ecole navale.

Mon enquête devait également comporter une interview de Bruno Jouvencel, qui dirige un groupe de recherche sur la robotique sous-marine au Lirmm (Laboratoire d’informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier). Malheureusement, ce texte n’a pu être publié par les Echos, faute de place. Le voici :

• Bruno Jouvencel, quelles recherches menez-vous sur les drones sous-marins ?
En 1996, le Lirmm a été désigné par le Cnrs comme compétent dans le domaine de la robotique sous-marine. Nous recevons actuellement des financements de l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), de l’Europe et, dans une très faible proportion, de la DGA, la Direction Générale pour l’Armement. Nos travaux portent, par exemple, sur le positionnement des drones et le travail de plusieurs drones ensemble.

• Comment résoudre le problème du positionnement ?
La solution la plus courante est l’utilisation des ondes acoustiques, des sonars, par les drones pour se localiser. Mais dans ce cas, ils peuvent alors être facilement repérés par l’adversaire. Nous envisageons, de façon très exploratoire, d’utiliser la vision. Un drone terrestre sait très bien, par exemple, utiliser ses caméras pour calculer sa vitesse de déplacement. Sous l’eau, un drone pourrait faire la même chose par rapport au fond de la mer. Mais pour voir ce fond, il faut un éclairage qui passe à travers les particules en suspension dans l’eau.
• Pourquoi s’intéresser aux flottilles de drones ?
Plusieurs drones travaillant ensemble peuvent plus facilement et plus rapidement construire une carte de la zone qu’ils explorent. Et en rassemblant les images ramenées par leurs sonars, ils peuvent identifier avec plus de certitude un objet sous-marin, comme une mine.