Demain à Paris pour faire «Découvrir la galaxie Google et tous les services gratuits qu'elle propose».

Je serai demain, mardi 18 mars 2014, de 14H30 à 16H30, à Paris chez Réunica Domicile (7, Cité Paradis – 75010 Paris) pour intervenir sur le thème «Découvrir la galaxie Google et tous les services gratuits qu’elle propose».

Qu’est ce que Google ? Quels services Internet propose cette entreprise ? (recherche sur Internet, recherche de photos, préparation d’itinéraires, agenda partagé – avec sa famille, avec ses proches – en ligne, visio-conférence, traitement de texte, Youtube, livres en ligne, partages de photos, traduction automatique, groupes de discussion en ligne…) ; ces services sont gratuits, comment Google fait-il pour gagner de l’argent ? ; quelles précautions prendre pour protéger sa vie privée ?

Cette conférence est gratuite.

Inscription en ligne sur http://ift.tt/1ijH3jN (catégorie «Lien social»)

Je redonnerai cette même conférence le mardi 29 avril prochain, toujours chez Réunica Domicile, de 14H30 à 16H30.

Le programme complet des conférences Réunica Domicile est téléchargeable sur http://ift.tt/1cQUPtQ

Demain à Paris pour faire «Découvrir la galaxie Google et tous les services gratuits qu’elle propose».

Je serai demain, mardi 18 mars 2014, de 14H30 à 16H30, à Paris chez Réunica Domicile (7, Cité Paradis – 75010 Paris) pour intervenir sur le thème «Découvrir la galaxie Google et tous les services gratuits qu’elle propose».

Qu’est ce que Google ? Quels services Internet propose cette entreprise ? (recherche sur Internet, recherche de photos, préparation d’itinéraires, agenda partagé – avec sa famille, avec ses proches – en ligne, visio-conférence, traitement de texte, Youtube, livres en ligne, partages de photos, traduction automatique, groupes de discussion en ligne…) ; ces services sont gratuits, comment Google fait-il pour gagner de l’argent ? ; quelles précautions prendre pour protéger sa vie privée ?

Cette conférence est gratuite.

Inscription en ligne sur http://ift.tt/1ijH3jN (catégorie «Lien social»)

Je redonnerai cette même conférence le mardi 29 avril prochain, toujours chez Réunica Domicile, de 14H30 à 16H30.

Le programme complet des conférences Réunica Domicile est téléchargeable sur http://ift.tt/1cQUPtQ

Téléphone portable : inutile d'acheter des patchs anti-ondes

Ces pastilles que l’on colle au dos des téléphones portables sont censées réduire notre exposition aux ondes électromagnétiques. Au contraire, dans certains cas, elles peuvent provoquer une augmentation du débit du téléphone.



J’ai assisté, fin janvier, à une conférence sur le thème des nouvelles technologies, donnée par le vacataire d’une association, devant les parents d’élèves de l’école primaire et du collège où sont scolarisés deux de nos enfants.

J’avoue avoir été particulièrement surpris de voir que cette association recommandait aux parents d’installer un patch anti-ondes au dos du téléphone portable de leurs enfants.

Ces patchs sont présentés par leurs fabricants comme des solutions miracles pour limiter notre exposition aux ondes électromagnétiques lorsque nous nous servons de notre mobile pour téléphoner.

Or la plupart des organismes scientifiques s’accordent pour dire que ces dispositifs ne servent strictement à rien.

Ainsi, dans son dernier rapport « Radiofréquences et santé », l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail) rappelle que « les dispositifs « anti-ondes » testés n’ont montré aucune utilité en matière de réduction des expositions. »

«Ces patchs ne présentent aucun effet probant et peuvent même provoquer, au contraire, une augmentation du débit du téléphone», explique Olivier Merckel, chef de l’unité d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l’ANSES.

Dans certains cas, le patch provoque une telle dégradation du DAS* que cela revient à éteindre le téléphone dans certaines bandes de fréquences. Le téléphone va alors basculer sur une autre fréquence où le patch n’aura aucune utilité.

Chez les constructeurs de téléphone, on rejette également l’utilité de ces dispositifs: « Les patchs anti-ondes ne servent strictement à rien, si ce n’est à perturber la bonne réception du téléphone et, du coup, à augmenter sa consommation d’électricité et par ricochet à diminuer l’autonomie de sa batterie », détaille Xavier des Horts, responsable de la communication de Nokia France**.


Mieux vaut :

• donner un téléphone portable le plus tard possible à un enfant ;

• lui apprendre à éloigner le mobile de son corps lorsqu’il téléphone, en utilisant une oreillette filaire ou une oreillette Bluetooth.

_________
* DAS : le Débit d’Absorption Spécifique quantifie le niveau d’exposition aux ondes radio. Le DAS maximal d’un téléphone mobile indique le niveau maximal d’exposition quand l’appareil est contre l’oreille et fonctionne à puissance maximale. Mieux vaut choisir un portable avec un DAS le plus faible possible. Plus votre téléphone est éloigné d’une antenne relais, plus il émet de puissance. C’est pourquoi il est recommandé de ne téléphoner que dans les zones de bonne réception (4 ou 5 barrettes affichées sur l’écran du téléphone).

** interrogé, Apple France nous a répondu qu’il n’avait pas de porte-parole pour répondre à nos questions. 
Aucun retour, en revanche, de Samsung France, également sollicité.

Téléphone portable : inutile d’acheter des patchs anti-ondes

Ces pastilles que l’on colle au dos des téléphones portables sont censées réduire notre exposition aux ondes électromagnétiques. Au contraire, dans certains cas, elles peuvent provoquer une augmentation du débit du téléphone.



J’ai assisté, fin janvier, à une conférence sur le thème des nouvelles technologies, donnée par le vacataire d’une association, devant les parents d’élèves de l’école primaire et du collège où sont scolarisés deux de nos enfants.

J’avoue avoir été particulièrement surpris de voir que cette association recommandait aux parents d’installer un patch anti-ondes au dos du téléphone portable de leurs enfants.

Ces patchs sont présentés par leurs fabricants comme des solutions miracles pour limiter notre exposition aux ondes électromagnétiques lorsque nous nous servons de notre mobile pour téléphoner.

Or la plupart des organismes scientifiques s’accordent pour dire que ces dispositifs ne servent strictement à rien.

Ainsi, dans son dernier rapport « Radiofréquences et santé », l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail) rappelle que « les dispositifs « anti-ondes » testés n’ont montré aucune utilité en matière de réduction des expositions. »

«Ces patchs ne présentent aucun effet probant et peuvent même provoquer, au contraire, une augmentation du débit du téléphone», explique Olivier Merckel, chef de l’unité d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l’ANSES.

Dans certains cas, le patch provoque une telle dégradation du DAS* que cela revient à éteindre le téléphone dans certaines bandes de fréquences. Le téléphone va alors basculer sur une autre fréquence où le patch n’aura aucune utilité.

Chez les constructeurs de téléphone, on rejette également l’utilité de ces dispositifs: « Les patchs anti-ondes ne servent strictement à rien, si ce n’est à perturber la bonne réception du téléphone et, du coup, à augmenter sa consommation d’électricité et par ricochet à diminuer l’autonomie de sa batterie », détaille Xavier des Horts, responsable de la communication de Nokia France**.


Mieux vaut :

• donner un téléphone portable le plus tard possible à un enfant ;

• lui apprendre à éloigner le mobile de son corps lorsqu’il téléphone, en utilisant une oreillette filaire ou une oreillette Bluetooth.

_________
* DAS : le Débit d’Absorption Spécifique quantifie le niveau d’exposition aux ondes radio. Le DAS maximal d’un téléphone mobile indique le niveau maximal d’exposition quand l’appareil est contre l’oreille et fonctionne à puissance maximale. Mieux vaut choisir un portable avec un DAS le plus faible possible. Plus votre téléphone est éloigné d’une antenne relais, plus il émet de puissance. C’est pourquoi il est recommandé de ne téléphoner que dans les zones de bonne réception (4 ou 5 barrettes affichées sur l’écran du téléphone).

** interrogé, Apple France nous a répondu qu’il n’avait pas de porte-parole pour répondre à nos questions. 
Aucun retour, en revanche, de Samsung France, également sollicité.

Pouvons-nous reprendre le contrôle de nos données personnelles ?

J’ai publié hier matin dans le quotidien Les Echos une enquête sur « Comment se réapproprier nos données ». Un enjeu qui préoccupe de plus en plus d’internautes, conscients que les informations qu’ils partagent avec les géants du Web, comme Facebook et Google, rapportent énormément d’argent à ces entreprises et que ces données peuvent être « réquisitionnées » par les gouvernements pour les espionner.

Cet article est disponible en ligne :
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/debat/0203345079646-comment-se-reapproprier-nos-donnees-654137.php

Il est accompagné d’un encadré sur les étranges pratiques de Facebook en matière de publicité : Facebook et les données sensibles. Le réseau social permet aux annonceurs de cibler des publicités en fonction de nos centres d’intérêt supposés pour certaines pratiques sexuelles ou certaines drogues illicites. J’ai déjà abordé ce sujet ici.

J’ai bien sûr sollicité les explications d’un représentant de Facebook France. Pour l’instant, je n’ai pas reçu de réponse.

J’ai fait remonter ces informations au Data Protection Commissioner (l’équivalent irlandais de la CNIL – Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) qui est en charge du dossier Facebook pour l’Europe, le siège européen de ce réseau social se trouvant à Dublin.

Mardi 8 avril, je donnerai deux conférences à Blainville sur Orne (14) : « Du bon usage des nouvelles technologies »

Mardi 8 avril 2014, je serai à Blainville sur Orne (14) pour donner 2 conférences-débats de 1H30 environ à destination des élèves de 4ème sur le bon usage des nouvelles technologies, avec un focus particulier sur les problèmes de cyber-harcèlement, à l’invitation de l’équipe pédagogique et de la direction de cet établissement.

College Langevin Wallon, 1 Rue Gabriel Péri, 14550 Blainville-sur-Orne, France