Révolutions en vue dans la cartographie

Certains délits tels que les cambriolages ou les agressions peuvent faire l'objet d'une «répétition à proximité» : lorsque l’un de ces délits est commis, le risque qu’un autre du même type se produise à proximité augmente. Par exemple, dans de nombreuses villes, lorsqu’un cambriolage se produit, il y a de fortes chances pour qu’un autre cambriolage soit commis à deux ou trois pâtés de maisons plus loin. Ce risque existe pendant environ deux semaines avant que la probabilité d'un nouveau délit retombe à un taux normal. Le logiciel HunchLab de la société Hazavea peut mesurer ce risque et en dresser une carte, ce qui permet au personnel de police de renforcer leurs patrouilles et enquêtes. Image Azavea-Esri

De plus en plus précises, les cartes géographiques deviennent des supports pour des services d’informations qui vont nous faciliter la vie. Y compris pour tenter de prévoir l’avenir.

J’ai publié ce matin dans la rubrique «Idées et Débats / Technologie» du quotidien Les Echos une enquête sur l’avenir des cartes, qui servent de plus en plus à lire… l’avenir.

«Dans quelques années, vous pourrez vous promener dans votre quartier, des lunettes à réalité augmentée sur le nez, et recevoir un message vous annonçant que l’appartement du deuxième étage dans l’immeuble qui est à votre droite a une très forte probabilité d’être mis en vente dans les trois prochains mois par son propriétaire : 100 mètres carrés, 3 chambres, 1 million d’euros. Et ce n’est pas tout à fait de la science-fiction…»

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Ce texte comprend également un encadré :

Faut-il encore apprendre à lire une carte ?


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