Invité de C' dans l'air

Hier, j’étais sur le plateau de « C’ dans l’air » diffusée sur France 5.

Le thème de l’émission était la vidéo surveillance : «La France devrait tripler, d’ici à 2011, le nombre de caméras de vidéo surveillance dans les communes. Fixé par le gouvernement pour lutter contre la délinquance, cet objectif soulève l’inquiétude des défenseurs des Droits de l’homme et l’opposition de certains élus locaux […] Mais si, sur le terrain, 2 000 communes françaises ont d’ores et déjà sauté le pas, comme Bondy, ville de Seine-Saint-Denis dirigée par le socialiste Gilbert Roger – où une dizaine de caméras, reliées au poste de police municipale, filment les environs de la gare -, nombre d’élus doutent de l’efficacité du « modèle anglais ».»

Vous pouvez revoir sur http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1336 le débat que j’ai eu sur la vidéo surveillance avec Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance, Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, Frédéric Ploquin, grand reporter à l’hebdomadaire Marianne et Charles Pellegrini, ancien commissaire divisionnaire et ex-chef de l’Office central pour la répression du banditisme.
J’ai insisté sur le peu de confiance qu’il fallait accorder aux chiffres officiels de la délinquance en France, sur le manque de fiabilité de la vidéo surveillance (personne pour regarder les images, données non sauvegardées ou inexploitables, caméras en panne ou vandalisées…), sur le retour d’expérience, très négatif, de nos voisins britanniques en la matière, avant de regretter le manque de débat démocratique en France sur l’impact des techniques de surveillance et de fichage sur nos vies privées.

Invité de C’ dans l’air

Hier, j’étais sur le plateau de « C’ dans l’air » diffusée sur France 5.

Le thème de l’émission était la vidéo surveillance : «La France devrait tripler, d’ici à 2011, le nombre de caméras de vidéo surveillance dans les communes. Fixé par le gouvernement pour lutter contre la délinquance, cet objectif soulève l’inquiétude des défenseurs des Droits de l’homme et l’opposition de certains élus locaux […] Mais si, sur le terrain, 2 000 communes françaises ont d’ores et déjà sauté le pas, comme Bondy, ville de Seine-Saint-Denis dirigée par le socialiste Gilbert Roger – où une dizaine de caméras, reliées au poste de police municipale, filment les environs de la gare -, nombre d’élus doutent de l’efficacité du « modèle anglais ».»

Vous pouvez revoir sur http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1336 le débat que j’ai eu sur la vidéo surveillance avec Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance, Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, Frédéric Ploquin, grand reporter à l’hebdomadaire Marianne et Charles Pellegrini, ancien commissaire divisionnaire et ex-chef de l’Office central pour la répression du banditisme.
J’ai insisté sur le peu de confiance qu’il fallait accorder aux chiffres officiels de la délinquance en France, sur le manque de fiabilité de la vidéo surveillance (personne pour regarder les images, données non sauvegardées ou inexploitables, caméras en panne ou vandalisées…), sur le retour d’expérience, très négatif, de nos voisins britanniques en la matière, avant de regretter le manque de débat démocratique en France sur l’impact des techniques de surveillance et de fichage sur nos vies privées.

Invité de C' dans l'air

Hier, j’étais sur le plateau de « C’ dans l’air » diffusée sur France 5.

Le thème de l’émission était la vidéo surveillance : «La France devrait tripler, d’ici à 2011, le nombre de caméras de vidéo surveillance dans les communes. Fixé par le gouvernement pour lutter contre la délinquance, cet objectif soulève l’inquiétude des défenseurs des Droits de l’homme et l’opposition de certains élus locaux […] Mais si, sur le terrain, 2 000 communes françaises ont d’ores et déjà sauté le pas, comme Bondy, ville de Seine-Saint-Denis dirigée par le socialiste Gilbert Roger – où une dizaine de caméras, reliées au poste de police municipale, filment les environs de la gare -, nombre d’élus doutent de l’efficacité du « modèle anglais ».»

Vous pouvez revoir sur http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1336 le débat que j’ai eu sur la vidéo surveillance avec Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance, Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, Frédéric Ploquin, grand reporter à l’hebdomadaire Marianne et Charles Pellegrini, ancien commissaire divisionnaire et ex-chef de l’Office central pour la répression du banditisme.
J’ai insisté sur le peu de confiance qu’il fallait accorder aux chiffres officiels de la délinquance en France, sur le manque de fiabilité de la vidéo surveillance (personne pour regarder les images, données non sauvegardées ou inexploitables, caméras en panne ou vandalisées…), sur le retour d’expérience, très négatif, de nos voisins britanniques en la matière, avant de regretter le manque de débat démocratique en France sur l’impact des techniques de surveillance et de fichage sur nos vies privées.

Invité de C’ dans l’air

Hier, j’étais sur le plateau de « C’ dans l’air » diffusée sur France 5.

Le thème de l’émission était la vidéo surveillance : «La France devrait tripler, d’ici à 2011, le nombre de caméras de vidéo surveillance dans les communes. Fixé par le gouvernement pour lutter contre la délinquance, cet objectif soulève l’inquiétude des défenseurs des Droits de l’homme et l’opposition de certains élus locaux […] Mais si, sur le terrain, 2 000 communes françaises ont d’ores et déjà sauté le pas, comme Bondy, ville de Seine-Saint-Denis dirigée par le socialiste Gilbert Roger – où une dizaine de caméras, reliées au poste de police municipale, filment les environs de la gare -, nombre d’élus doutent de l’efficacité du « modèle anglais ».»

Vous pouvez revoir sur http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1336 le débat que j’ai eu sur la vidéo surveillance avec Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance, Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, Frédéric Ploquin, grand reporter à l’hebdomadaire Marianne et Charles Pellegrini, ancien commissaire divisionnaire et ex-chef de l’Office central pour la répression du banditisme.
J’ai insisté sur le peu de confiance qu’il fallait accorder aux chiffres officiels de la délinquance en France, sur le manque de fiabilité de la vidéo surveillance (personne pour regarder les images, données non sauvegardées ou inexploitables, caméras en panne ou vandalisées…), sur le retour d’expérience, très négatif, de nos voisins britanniques en la matière, avant de regretter le manque de débat démocratique en France sur l’impact des techniques de surveillance et de fichage sur nos vies privées.

Facebook sait tout de vous ! (suite)















(source du graphique : Facebook)

J’ai demandé aux responsables de Facebook comment notre nom pouvait être utilisé pour vanter les mérites d’une application sur ce réseau social.


La réponse du représentant de Facebook en Europe fait froid dans le dos… Voir l’article que j’ai publié ce matin dans Les Echos :




Facebook sait tout de vous ! (suite)















(source du graphique : Facebook)

J’ai demandé aux responsables de Facebook comment notre nom pouvait être utilisé pour vanter les mérites d’une application sur ce réseau social.


La réponse du représentant de Facebook en Europe fait froid dans le dos… Voir l’article que j’ai publié ce matin dans Les Echos :




Quand les mobiles jouent les guides de voyage


Dotés d’un GPS et parfois d’une boussole, les « smartphones » concurrencent de plus en plus les guides touristiques. De nombreux éditeurs explorent ce nouveau créneau.

Vous êtes perdu dans Berlin, alors que votre rendez-vous avec votre client allemand commence dans 15 minutes ? Ce n’est plus un problème si vous disposez d’un « smartphone ». Sur iPhone, vous pouvez télécharger les applications Fahr-Info Berlin (gratuite) pour calculer votre itinéraire, ou Métro Berlin (0,79 euro) pour connaître la station de métro la plus proche. Le soir, si vous avez un BlackBerry, l’application WCities Berlin (11,99 dollars, soit quelque 8 euros) vous indiquera les bonnes tables, les événements du jour et, grâce à sa fonction « réseau social », vos amis qui s’y trouvent déjà !
Que l’on soit en déplacement professionnel ou en voyage d’agrément, à quelques kilomètres de ses bases ou à l’autre bout de la planète, les « smartphones » constituent désormais de précieux assistants.

Pour lire la suite de cet article, cliquez ici.

Article de Jacques Henno paru le 10 décembre 2009 dans le quotidien Les Echos

A lire également, l’interview que j’ai réalisée d’Agnès Alfandari, chef du service multimédia du Musée du Louvre, au sujet de l’application gratuite destinée à l’iPhone que cette institution a publiée début novembre :

Under Scrutiny

J’ai retrouvé cet interview vieille de deux ans, mais toujours d’actualité, sur les PNR (Passenger Names Records) : au nom de la lutte contre le terrorisme, les compagnies aériennes doivent communiquer ces fichiers sur leurs passagers aux autorités américaines, qui peuvent également s’en servir à des fins d’espionnage économique !

« Tous fiches : l’incroyable projet américain pour déjouer les attentats terroristes » can be translated by « Files on all of us: the amazing US project to deter terrorism ».
This survey -written by Jacques Henno, a French freelance journalist- describes a US Intelligence program aimed at discovering terrorist plots: the Total Information Awareness (TIA) program. In 2003, US Congress banned use of TIA against US citizens but allowed it against aliens/foreigners outside US.

TIA is designed as an early-warning system that mine intelligence databases, but also airline databases (the data of all passengers arriving to USA or flying over USA are screened), private databases of credit card records and other transactions, for telltale signals of terrorist plots.

In this book, Jacques Henno also describes how Acxiom, a US marketing databases company, is a US Pentagon contractor ; and how all marketing information gathered by Acxiom outside the US can be used by the US Intelligence Community (many countries are targeted as Acxiom has subsidiaries in UK, France, Germany, Spain, Netherlands, Portugal, Poland, Australia and New Zealand).

This is NOT science-fiction: the National Security Agency’s domestic eavesdropping, authorized by George W Bush proves that this agency is collecting and data-mining information intercepted from thousands of people. US newspapers are now writing articles about TIA and related research programs (Novell Intelligence from Massive Data, Advanced Capabilities for Intelligence Analysis program…). For example, see:http://govexec.com/dailyfed/0106/0120…

On Saturday November 3rd, 2007, Jacques Henno had been interviewed on France24 about the use of data collected by US agencies: « Under scrutiny. Since 9/11, European airlines and banks share information on their customers with US. Some say that the US is using this data in an economic war against Europe. »

Demain à Dole, pour intervenir devant des collégiens et des parents


La direction du collège Mont-Roland, à Dole (Jura), m’a invité demain à venir parler des enfants et des nouvelles technologies.

Au programme :

• de 13h25 à 14h15 : intervention devant quatre classes de 3°

• de 14h20 à 15h15 : intervention devant quatre autres classes de 3°

• de 15h20 à 16h : rencontre avec les délégués au Parlement des élèves et les délégués de classes de 3° pour un temps de questions/réponses

• de 18H à 20H : conférence débat avec les adultes (parents, enseignants et éducateurs) :
Nos collégiens et Internet : anges ou démons ?
«Les nouvelles technologies (Internet, jeux vidéo, téléphone mobile…) sont indispensables à l’éducation de nos enfants, mais peuvent poser un certain nombre de problèmes : expositions à des contenus non sollicités (pornographie, apologie de l’ultra-violence, du racisme, de l’ultra- minceur …) ; prises de contact par des pédophiles… ; exposition d’informations privées et compromettantes sur les blogs ou les réseaux sociaux ; échanges de photos dénudées par téléphones portables (les « sextos ») ; « phishing » (courriers électroniques frauduleux tentant de récupérer les identifiants d’un compte en ligne, pour y voler des éléments)… Comment les parents, les enseignants et les éducateurs peuvent-ils aider les collégiens à éviter ces pièges et, au contraire, à tirer le meilleur profit des écrans ?»

Participation à la table-ronde "L'image du mineur", dans le cadre des 10èmes Assises Nationales des Avocats d'Enfants


Vendredi 20 novembre, j’ai participé à la table-ronde « L’image du mineur », organisée dans le cadre des 10èmes Assises Nationales des Avocats d’Enfants, dont le thème, cette année, était « Clic Droit : l’enfant et les moyens de communication ».

J’ai présenté les rapports que les enfants entretiennent avec les nouvelles technologies (le résumé de mon intervention est disponible ici : http://dl.avocatparis.org/com/assises_mineurs/interventions/Henno.pdf).

Jean Hauser, professeur de droit privé à l’Université de Bordeaux IV, a détaillé le cadre juridique du droit à l’image, tandis le commandant Duval, officier de police du groupe internet de la Brigade de protection des mineurs de Paris, a décrit le rôle de cette brigade face aux nouvelles technologies.

Puis, j’ai animé les échanges entre la salle et les intervenants.

http://www.clicdroit.org/