Demain soir à Vitré (Ille-et-Vilaine) pour parler des "Enfants et des Nouvelles Technologies"

La Médiathèque de Vitré (Ille-et-Vilaine) m’a demandé de donner une conférence demain soir sur le thème « Enfants et nouvelles technologies ». Mon intervention aura lieu à la salle Mozart du Centre Culturel Jacques Duhamel, 6, Rue de Verdun, 35500 Vitré‎ (Tél. : 02 99 75 02 25). Plus d’informations sur www.paysdevitre.org/maidumultimedia.htm

"Comment aider nos enfants à grandir avec les nouvelles technologies ?", demain soir à 19H30, à Tourcoing

Je donnerai demain soir mardi 19 mai une conférence, intitulée « Comment aider nos enfants à grandir avec les nouvelles technologies ? », à 19H30, à Tourcoing.

Je suis invité par la Direction de la Prévention, de la Parentalité et du Partenariat avec la Justice, de la mairie de Tourcoing.

Mon intervention aura lieu dans la salle de projection du Frenoy (« studios des arts contemporains »), 22 rue du Fresnoy, Tourcoing

Programe :

19h00 : accueil dînatoire

19h30 : conférence débat : « Comment aider nos enfants à grandir avec les nouvelles technologies ? »

200 places disponibles, les 100 premiers inscrits se verront offrir par la mairie de Tourcoing mon livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, Internet, jeux vidéo… »

Inscription obligatoire auprès de la Direction de la Prévention, de la Parentalité et du Partenariat avec la Justice, de la mairie de Tourcoing, 127 rue Nationale, 03 59 63 44 14


Conférence ce soir à Lyon sur "Enfants et ados sur Internet : Aventures et mésaventures"

J’interviendrai ce soir à Lyon sur le thème « Enfants et ados sur Internet : Aventures et mésaventures », à l’invitation de l’association « ADH », soutenue par l’UDAF (Union Départemental des Associations Familiales) 69*.

La conférence aura lieu à 20H30 à l’Espace Jean Couty, 56 rue Sergent Berthet 69009 Lyon.

Pour se rendre à l’Espace Jean Couty :

En métro :
Ligne D jusqu’à la station Gorge de Loup.
– Sortie : Rue Sergent Berthet n°pairs.
– sur la place, prendre à droite jusqu’au niveau supérieur, puis à gauche, suivre les flèches « Espace Jean Couty ». (3 mn)

En voiture :
– De Bellecour, prendre le tunnel de Fourvière, puis, à la sortie du tunnel, 1ère à droite.
– Puis 1ère à droite direction Gorge de Loup, puis 1ère à gauche, et 1ère à gauche direction Parc Relais.
– Se garer dans le Parc Relais niveau 0 extérieur, situé devant la salle, (accord avec les TCL pour la sortie sans ticket).

* L’UDAF du Rhône (Union Départementale des Associations Familiales) regroupe 150 associations dans le département du Rhône. Elles ont toutes en commun « la défense des intérêts matériels et moraux des familles. L’UDAF gère également des services sociaux.
www.udaf69.fr

Remèdes de grand-mères pour petits maux high-tech


Une pub pour deux marques de riz ? Non ! Des conseils pour les petits tracas de tous les jours dans la vie high-tech : téléphone mobile tombé dans l’eau, batterie déchargée, disque dur en panne, DVD sale…

Qui n’a pas, un jour, fait tomber son téléphone portable dans l’eau ? Les gestes « qui sauvent » sont d’ouvrir le mobile, d’en ôter la batterie, pour prévenir les courts-circuits, et d’essuyer toutes les parties accessibles. «On peut également utiliser un sèche-cheveux, pas trop brûlant : cela accélère le processus», conseille Xavier des Horts, responsable du service communication France de Nokia, le plus important constructeur de téléphones mobiles dans le monde. Et pour finir, on peut plonger son appareil dans un… bol rempli de grains de riz (non cuits, bien sûr). «En raison de sa composition chimique, le riz va déshumidifier l’air et faciliter le séchage du téléphone», explique Paul Boutin, écrivain californien, spécialisé dans les nouvelles technologies (il écrit dans de grands quotidiens américains, comme le New York Times). Ce n’est pas par hasard si nos grand-mères mettaient quelques grains de riz dans leurs salières pour les préserver de l’humidité.

Comme quoi les bonnes vieilles recettes s’appliquent aussi aux objets les plus modernes. Voici quelques conseils de bon sens recueillis auprès des meilleurs experts. Cependant, attention : ils ne fonctionnent pas à tous les coups. Mais au moins, ils valent la peine d’être essayés.

La batterie du téléphone mobile. «Il ne faut pas la mettre constamment en charge, prévient Xavier des Horts. L’idéal est d’attendre qu’elle soit entièrement déchargée, mais on peut la brancher dès qu’elle est à moitié vide.» La recharge prend entre une et deux heures. Inutile donc de laisser le chargeur fonctionner toute une nuit. D’autant qu’il continue à consommer de l’électricité, même si la batterie est à nouveau pleine. «Si tout le monde enlevait son chargeur dès qu’il a fini d’agir, cela économiserait, chaque année, l’équivalent de la consommation d’une ville européenne de 100 000 habitants», ajoute Xavier des Horts. «Une astuce si votre batterie est en train de se vider, que vous n’avez pas votre chargeur sous la main et que vous allez avoir besoin quelques minutes de votre téléphone le lendemain matin : enlevez la batterie et mettez-là, protégée dans un sac plastique, au réfrigérateur, conseille Paul Boutin. Le froid ralentit le processus chimique à l’œuvre dans la batterie.» Au contraire, garder un téléphone portable au chaud, par exemple dans la poche de son pantalon, accélère le processus.

La batterie de l’ordinateur portable. «La durée de vie des batteries d’ordinateurs portables dépend énormément du soin qu’en prend l’utilisateur, préviennent les services techniques d’HP (Hewlett-Packard : numéro un mondial de la micro-informatique) France. Ainsi, lors de la première utilisation, si la batterie est vide, il convient de charger celle-ci à fond, puis de la laisser se vider une nouvelle fois complètement, avant de la recharger de nouveau. Mais si, toujours lors de la première utilisation, la batterie est en partie pleine, il faut la laisser se vider complètement, avant de la recharger. Lors des utilisations suivantes, lorsque la batterie est rechargée à 100%, il faut débrancher l’alimentation et laisser la batterie se décharger. Laisser une batterie déjà rechargée sous tension réduit sa durée de vie.»

Le disque dur de l’ordinateur. C’est souvent la partie la plus fragile de la machine. Il faut donc régulièrement sauvegarder ses données sur des CD-Rom que l’on grave, ou sur des disques durs externes. Que faire si son disque dur cesse de fonctionner ? «Si les fichiers n’ont pas été sauvegardés ailleurs et si le disque dur est physiquement abîmé, on ne peut pas récupérer ses données personnelles», estiment les services techniques d’HP France. On peut toujours faire appel aux services d’un expert en récupération de données, mais cela revient jusqu’à plusieurs centaines d’euros. «Une autre solution, qui ne coûte rien, celle-là, consiste, si l’on sait enlever le disque dur de son ordinateur, à le mettre au congélateur quelques heures, conseille Paul Boutin. Souvent, les problèmes de disque dur proviennent de pièces minuscules qui ne sont plus alignées correctement.» Refroidir le disque dur peut redresser les pièces défaillantes et lui permettre de fonctionner le temps de transférer les données les plus sensibles.

La cartouche d’encre de l’imprimante. Rien de plus frustrant que d’être en train d’imprimer un document important et de voir la cartouche d’encre refuser de fonctionner à deux pages de la fin. Si vous avez un sèche-cheveux (ce qui n’est pas évident au bureau…), chauffer la tête de la cartouche : cela devrait liquéfier l’encre séchée et permettre d’imprimer quelques pages supplémentaires.

Les CD et les DVD. Pour les nettoyer, il est inutile d’acheter un produit spécifique. Un alcool (vodka, whisky…) fera très bien l’affaire. En revanche, pour nettoyer un ordinateur ou un téléphone portable, mieux ne vaut pas utiliser de produit ménager courant. «Il faut se servir d’un chiffon doux et de produits non-corrosifs pour ne pas abîmer les touches du clavier et la dalle de l’écran, mettent en garde les services techniques d’HP. Il faut donc absolument acheter des produits de nettoyage spéciaux, proposés dans les grandes surfaces.» Même les recettes de grand-mères ont leurs limites…

N’hésitez pas à réagir à cet article. Vous pouvez me faire part de votre expérience en ajoutant un commentaire à ce texte.

Jacques Henno

Un site gouvernemental français pour apprendre aux enfants ce qu'est une "pandémie grippale"

Le site Info’ pandémie grippale, le portail d’information du Gouvernement français sur les menaces pandémiques grippales* (A (H1N1°, grippe aviaire…), propose des animations pour les enfants.

Ceux-ci peuvent ainsi apprendre ce qu’est une pandémie grippale, comment on l’attrape, comment se protéger, les symptômes et que faire en cas de maladie.

* Voici la présentation du site, telle qu’elle est disponible sur http://www.pandemie-grippale.gouv.fr/article.php3?id_article=2 :

«Le site Info’ pandémie grippale est le portail d’information du Gouvernement français sur les menaces pandémiques grippales. Il a vocation à permettre au plus large public de s’informer, de se préparer et d’agir en cas de pandémie grippale. Il comprend des informations pratiques et scientifiques de référence et détaille l’ensemble des mesures officielles et toutes les réponses aux questions qui se posent, aux différents stades de l’évolution de la situation en France et dans le monde.

Le site est géré par le Service d’information du Gouvernement (SIG), service du Premier ministre»


Un site gouvernemental français pour apprendre aux enfants ce qu’est une "pandémie grippale"

Le site Info’ pandémie grippale, le portail d’information du Gouvernement français sur les menaces pandémiques grippales* (A (H1N1°, grippe aviaire…), propose des animations pour les enfants.

Ceux-ci peuvent ainsi apprendre ce qu’est une pandémie grippale, comment on l’attrape, comment se protéger, les symptômes et que faire en cas de maladie.

* Voici la présentation du site, telle qu’elle est disponible sur http://www.pandemie-grippale.gouv.fr/article.php3?id_article=2 :

«Le site Info’ pandémie grippale est le portail d’information du Gouvernement français sur les menaces pandémiques grippales. Il a vocation à permettre au plus large public de s’informer, de se préparer et d’agir en cas de pandémie grippale. Il comprend des informations pratiques et scientifiques de référence et détaille l’ensemble des mesures officielles et toutes les réponses aux questions qui se posent, aux différents stades de l’évolution de la situation en France et dans le monde.

Le site est géré par le Service d’information du Gouvernement (SIG), service du Premier ministre»


Je serai ce soir à Flumet (Savoie) pour donner une conférence sur "Vos Enfants face aux Ecrans"

L’Association Vivre en Val d’Arly m’a demandé d’intervenir ce soir à 20H30, à la salle polyvalente de Flumet, en Savoie, sur : « Vos Enfants face aux Ecrans ».

Cette conférence a été organisée dans le cadre d’une « semaine sans télé » proposée par l’équipe enseignante de Flumet, en collaboration avec les associations locales.

Mon intervention vise à faire réfléchir les parents sur la place que les écrans doivent occuper dans l’éducation de leurs enfants.

D'après Google, plusieurs livres mentionnent le virus A (H1N1), mais ce n'est pas le bon…

Une recherche sur Google Books permet d’identifier 15 livres mentionnant les termes « A (H1N1) » et « Swine Flu », parus entre janvier 2006 et mai 2009.

Tous ces ouvrages sont, bien sûr, en anglais.

Aucun d’entre eux n’évoque le virus actuel, que l’OMS appelle officiellement A (H1N1) . Celui-ci serait une recombinaison d’éléments génétiques provenant de quatre virus différents : une grippe porcine européenne, une grippe porcine asiatique, une grippe aviaire et une grippe humaine (source : CDC – Centres de Prévention et de Contrôle des maladies américains).

Par exemple, Pandemic Influenza: Emergency Planning and Community Preparedness, publié en août 2008 par CRC Press, aux Etats-Unis, un des ouvrages repérés par Google, décrit en fait, p. 66, une « grippe porcine A H1N1, identifiée en 1930 » : « The classical swine flu virus (type A H1N1 influenza virus) was first isolated from a pig in 1930 (Shope, 1930) » (voir l’extrait ci-dessus).

D’après Google, plusieurs livres mentionnent le virus A (H1N1), mais ce n’est pas le bon…

Une recherche sur Google Books permet d’identifier 15 livres mentionnant les termes « A (H1N1) » et « Swine Flu », parus entre janvier 2006 et mai 2009.

Tous ces ouvrages sont, bien sûr, en anglais.

Aucun d’entre eux n’évoque le virus actuel, que l’OMS appelle officiellement A (H1N1) . Celui-ci serait une recombinaison d’éléments génétiques provenant de quatre virus différents : une grippe porcine européenne, une grippe porcine asiatique, une grippe aviaire et une grippe humaine (source : CDC – Centres de Prévention et de Contrôle des maladies américains).

Par exemple, Pandemic Influenza: Emergency Planning and Community Preparedness, publié en août 2008 par CRC Press, aux Etats-Unis, un des ouvrages repérés par Google, décrit en fait, p. 66, une « grippe porcine A H1N1, identifiée en 1930 » : « The classical swine flu virus (type A H1N1 influenza virus) was first isolated from a pig in 1930 (Shope, 1930) » (voir l’extrait ci-dessus).

La folie "Swine Flux" sur Twitter

Un petit sondage réalisé ce matin à 10H révélait que 206 messages, contenant les mots « Swine Flux », avaient été publiés sur Twitter au cours des 15 dernières minutes !

On trouve même sur le célèbre réseau social de microblogage des services sérieux, comme celui proposé par Veratect, une start-up américaine, installée dans la banlieue de Seattle et spécialisée dans la détection des risques sanitaires et la diffusion d’alertes auprès des administrations et des entreprises.

Veratect affirme avoir détecté le problème de la grippe A (H1N1) dix-huit jours avant que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ne publie son premier rapport sur le sujet. La société a décidé d’utiliser Twitter pour mettre à la disposition du public, 24H sur 24, les informations dont elle dispose sur l’épidémie.